Né dans les quartiers riches de Paris,je n'ai jamais eu à me plaindre de quoi que ce soit dans ma vie,tellement que mon père était riche.Malgré qu'il soit britannique,il avait implanté sa société à Paris et obtenu un excellent succès.Ma mère,elle,ne faisait que de le suivre,puis ce qu'elle avait arrêtée de travailler suite à l'ordre que lui avait donné mon père. Il lui avait demandé à quoi ça servait qu'elle travaille alors que le salaire de mon père était équivalent de celui de vingts personnes au moins.Un peu réticente,elle dut acceptée et renoncée aux seules choses qui pouvaient encore la distraire.Mais elle m'eut.

Mes parents avaient tout de même trouvé le temps de me concevoir et lorsque je naquis,j'ouvris pour la première fois mes yeux dans un hôpital avec un tas d'infirmières rien qu'au trousse de ma mère.Heureusement que ma naissance ne fut médiatisé,car à l'époque,mon père était tellement au haut de l'échelle,qu'il pourrait être une excellente proie.Ma mère avait trouvé son nouveau passe temps."Moi".Elle ne cessait de m'acheter un tas de trucs,luxueux,alors que j'étais pas encore en âge de porter des choses.Mais comme elle me le répétait souvent " On est jamais trop petit pour les marques".Mon enfance se passa luxueusement.Pour être sur que l'avenir me sourira,ma mère avait décidé que je prendrais des cours d'anglais,pour être bilingue lorsque je serais plus vieux.J'étais encore bien trop jeune pour pouvoir me rebeller.Jusqu'à ce que j'atteigne ma période de crise d'adolescence.J'en avais marre de cette routine qui s'installait,marre de travailler pour faire plaisir à mes parents,ou bien ne faire que des compliments aux autres,pour être bien pisté lorsque je serais en âge d'être dans le monde du travail.C'est comme ça,que je commençais à fumer,que ce soit en dehors ou chez moi,je m'autorisais même à piquer les cigarettes que mon père fumait en cachette sans que ma mère l'apprenne au risque que cette dernière s'énerve sur lui.Je finis donc par attiser la colère noire de mes parents,qui voulaient m'envoyer en pension,mais apparemment ils étaient mitigés car peut-être serais-je pire ? Ils me gardèrent prêt d'eux et rien que pour quelques cigarettes fumées alors que j'avais quinze ans,je dus passer mes mercredis après-midi avec un psychologue.J'avais l'impression que j'avais commis un meurtre,alors que je me contentais simplement de fumer.Ma mère me dévisageaient,comme si je n'étais plus son fils à croire que je l'a dégoutais,même certain.Pourtant,nous étions proches,malgré ses intentions étouffantes,elle restait ma mère.Mon père,lui,c'était à peine si je le voyais,sans cesse derrière son ordinateur ou bien au téléphone,tout portait à croire qu'il s'en "foutait royalement " de moi.Ma mère et moi finirent par avoir une conversation,et depuis les choses s'arrangèrent,elle était là pour m'écouter,pour me conseiller.Je demandais pas d'attention particulière,j'avais pas besoin d'amour pour vivre,enfin ça,c'est le discours que je tentais de tenir,il y avait toujours une fille que vous avez aimé.Elle venait visiter Paris,mes parents voulaient que je lui fasse connaitre cette ville,pas très enchanté à l'idée de marcher sous un soleil aussi ébouriffant,je dus l'accueillir poliment.Mais rien qu'à voir son visage,sa manière d'être,il n y a pas eu besoin que je fasse semblant.Après fin tragique,comme d’habitude.Je rentrais à l'université,mon père voulait que je devienne banquier,vu mes notes dans les domaines scientifiques,j'étais fait pour ce travail.Mais à croire que lorsqu'il me disait quelque chose,je faisais le contraire,je me rendis compte à quel point la photographie était importante pour.Je prenais des photos à tout va et lorsque je fus sur que j'aimerais travailler dans ce domaine,j'en parlais avec mes parents.Ma mère fut heureuse du fait que j'avais trouvé quelque chose qui me plairait,mon père,moins.Il s'énerva,si bien que je crus qu'il allait casser toutes les ba babioles se situant à ses alentours.J'eus pas peur,je ne bougeais pas d'un seul centimètre alors qu'il s'approchait de mon visage.Il tenta de me faire retrouver la raison et je lui répondis " T'es mon père,t'as des contacts.A toi de me trouver quelqu'un qui travaille dans ce domaine et au moins,tu pourras te féliciter d'avoir fait quelque de bien dans ta vie pour moi." Plus un mot de sa part,puis ce qu'il essaya de trouver quelqu'un dès le lendemain.Voilà comment j'ai atterri ici.En tant qu'assistant et étant donné que j'ai commencé très tôt,je pus vite obtenir le poste de "photographe professionnel" très vite.Je prenais des photos pour des couvertures de magazines tel "Vogue ; Elle", de quoi faire envier pas mal de monde.