Aujourd’hui je ne travaillais que la matinée, il faut dire que pendant une semaine j’avais enchainé des heures tellement crevante que j’avais en quelques sortes exigé qu’on me donne m’ont après midi. Après tout je suis humain avant d’être médecin et j’ai le droit à un peu de repos. Je suis prêt à donner pour mon métier, et je pense que je l’avais bien montré, des heures de dingues et sans oublier que je dormais très peu la nuit. Ma patronne m’avait donné non seulement mon après-midi mais elle c’était arrangée avec un collègue à moi pour que j’aie également ma journée du lendemain alors que je n’avais pas de repos avant deux jours normalement. Il faut dire aussi que la semaine dernière mais journée de repos avait sauté tellement il y avait du boulot, c’est ça le passage de l’été à l’automne, le temps change d’un coup et il y a de suite une épidémie de maladie. Ce matin je faisais donc 7 heures – 12 heures 45. J’étais heureux, la première chose à laquelle je pensais c’était une bonne douche car en se moment on ne peut pas dire que je passais des heures sous la douche et j’en rêvais et sans oublier une méga sieste oh oui j’en rêvais déjà mais avant ça il fallait que je fasse mon travail et je comptais bien le faire sérieusement. En même temps il y a des corps de métiers ou ne peut se permettre de faire n’importe quoi. Tout le diagnostic de la journée était en général des grippes, des angines, des rhums et quelques gastro aussi. Il n’y avait rien de plus rien de moins, on peut dire que c’était vraiment des bases.

12h25 : Mon rendez vous était sur le point de se terminer, il me restait une seule patiente à voir et à moi le week end. J’étais plutôt impatient mais ce n’est pas pour çà que j’allais couper court à mon rendez vous je l’ai prends toujours très aux sérieux. Alors que mon patient sortait je regardais sur mon petit calepin mon prochain rendez vous, c’était Mlle Sanders, alors je fis appel de ce nom, et une petite tête blonde fit son apparition devant moi. Je lui fis un sourire avant de la faire rentrer dans le cabinet puis je fermais la porte derrière nous comme à mon habitude. Je ne laisse jamais une porte ouverte quand il y a un patient mais cela va de soi tous les médecins font ça, c’est un peu le secret professionnel. Je lui fis signe de s’asseoir sur la chaise devant mon bureau et m’installa derrière le mien. Je n'ausculte jamais personne direct en arrivant je pose toujours des questions surtout quand c’est des patients que je n’ai jamais eu. J’ai mes habitués, ce que je suis toujours puis parfois comme aujourd’hui des personnes que je vois pour la première fois.

« Alors que puis-je pour vous »

Je demande toujours à mes patients ce qu’ils ont ensuite je regarde et je donne mon diagnostic, du moins parfois je ne peux pas en dire plus certains patients on besoin d’examen. Ce que j’aime quand nous sommes médecin à l’hôpital c’est qu’il m’arrive de faire passer les examens à mes propres patients alors que si j’avais mon cabinet, je ne pourrais pas, je ne pourrais que donner une ordonnance pour justement aller passer des examens à l’hôpital. Et c’est aussi pour ça que quand j’ai eu la chance d’avoir un poste à l’hôpital j’ai préféré plutôt que de me mettre « à mon compte »

Je ne l’avais jamais vu avant mais je peux dire qu’elle avait un charme fou, c’était incroyable mais bien évidement je restais professionnel. Elle avait un regard et un air, une femme vraiment charmante.. Je lui passais un papier puis lui dit :

« Il faudra me le remplir avant de partir afin que je puisse compléter mon dossier sur ordinateur »

Quand je reçois une nouvelle patiente je remplis un dossier en général, numéro de téléphone, adresse, numéro de sécurité social, afin un petit formulaire administratif puis je lui dis :

« J’aurais aussi des petits questions pour compléter également le dossier, j’ai besoin de savoir vous vez déjà été hospitalisé enfin des petits choses mais on verra ça à la fin… »

Ce que j’aime le plus de ce côté-là c’est que quand je trouve une femme belle, je sais très vite si elle est marié ou célibataire car je le vois sur le formulaire, d’ailleurs j’avais bien hâte de le savoir avec elle. Même si la plus part du temps cela n’a pas d’importance enfin je veux dire par là que certaines sont célibataire mais ce n’est pas pour autant que je les revoies ou qu’il ce passe quelques choses.

Dire à mes patients que tout va bien ? Franchement j’aimerais le dire tous le temps si je pouvais quoi que si les maladies n’excitaient pas je n’aurais plus de métier mais peu importe même si j’aime ce que je fais je préfère me reconvertir plutôt que les maladies existent. Je voyais bien qu’elle avait l’air tendu, ce n’est pas la première fois qu’une patiente et mal à l’aise dans mon cabinet et je peux vous dire que ce n’est pas toujours facile à gérer. Elle voulait que je lui dise que tout va bien pour qu’elle puisse rentrer, si c’était le cas ou si je le pouvais je le ferais, mais je sentais que c’était un peu de l’humour enfin façon de parler, elle essayait de se détendre, un petit sourire ce dessina sur mes lèvres alors qu’elle s’excusa, j’étais surpris qu’elle s’excuse si elle savait ce que j’avais pus prendre dans « la gueule » ou encore ce que j’avais pus prendre comme humour déplacé.. Alors je répondis :

« Pas besoin de s’excuser… On remplira les papiers à la fin... Alors des crampes et des fourmillements vous dites ? »

Je réfléchissais 5 minutes, vous savez combien il y a de maladie qui contienne ses deux symptômes ? Énormément et bien plus encore certaine que je dois plus connaître, oui j’ai beau être médecin je peux vous dire qu’avec toutes les maladies qu’il y a dans le monde on ne peut pas les connaître toute par cœur et que ce soit moi ou mes confrères, on fait souvent aux mieux qu’on peut, notre répertoire de maladie en tête et déjà très développé. Il y avait aussi le stresse qui causait ses symptômes, la plus part du temps le stresse recouvre beaucoup de symptôme que d’autre maladie plus grave exprime aussi.

« Vous êtes stressé en ce moment ? »

Les fourmis pouvaient être le stresse, les crampes un peu moins, elle survienne plus après un surcroit de sport. J’avais besoin d’en savoir un peu plus sur elle, j’avais parfois besoin de connaître l’environnement de la vie de mes patientes, je ne peux pas donner un diagnostic sans avoir tous les éléments. Je n’allais pas non plus lui dire un truc au hasard sans l’avoir un peu ausculté. Mais en général pour ce genre de chose on ne peut rien faire visuellement. Des fourmillements, des crampes, ce sont plutôt des problèmes intérieurs. Parfois les fourmillements peuvent aussi décrire que le canal carpien et boucher, du moins quand cela concerne les mains Enfin juste pour dire qu’on ne peut jamais décrire une maladie comme ça sauf les cas normaux, comme les grippes, les rhumes ect…

« Vous avez d’autres symptômes ? »

Je vous savoir si elle pouvait m’en dire un peu plus pour que je puisse essayer d’éliminer certaines maladies de toutes celles qui existent. Je me levais pendant qu’elle me répondait je voulais qu’elle vienne sur la banquette s’allonger, je ne pouvais pas faire beaucoup plus étant donnée que ses symptômes étaient à l’intérieur du corps et non réellement visuelle. Mais il fallait tout de même que j’écoute son battement de cœur, que je prenne sa tension voir où elle en était de ce côté-là.

« Surtout ne vous inquiétez pas je suis là et j’espère sincèrement que je pourrais vous rassurez mais vous aurez peut-être des examens à passer… Vous avez des symptômes pas réellement visuels pour moi, seule des radios peuvent en dire plus… Sauf si il ne s’agit simplement que de stresse comme des crises de panique et des crises d’angoisses mais ces deux cas recouvrent beaucoup de symptômes... »

Ce n’est pas toujours simple de donner un diagnostic à ses patients surtout dans ces cas là mais j’allais faire au mieux que je peux mais dans 80 % des cas sauf stresse je ne suis pas sur qu’elle pourra avoir une réponse immédiate sans faire d’examen. C’était bizarre mais sa petite bouille, son charme faisait que je compatissais avec elle. J’avais tellement envie de lui dire tout de suite qu’elle allait bien et qu’elle pouvait rentrer chez elle qu’elle ne s’inquiète pas mais je ne suis pas un ami pour essayer de la rassurer et je dois prendre mon rôle de médecin au sérieux.. J’essayais de faire en sorte de ne pas la stresser dans les propos que je pouvais utiliser ou encore dans ma manière de faire, je voyais une petite fille douce en face du moins. Peu être que je me trompais que dans la vie elle était extravertie, enfin je ne sais pas trop mais pour l’instant je ne cherchais pas à savoir qui elle était je cherchais juste à savoir comment elle allait..

« Depuis combien de temps vous avez ses symptômes ? »

J’aimais mon métier, ce que j’aimais le moins c’était devoir annoncer parfois de mauvaises nouvelles. Je préférais nettement rassurer une personne parce qu’elle n’a pas grand-chose. Mais dans mon métier on ne choisit pas et tout arrive. Le pire c’est quand je dois annoncer les choses les plus graves, un éventuel cancer, du moins je ne peux l’annoncer officiellement sans examen, on ne voit jamais un cancer sans radio, on peut simplement supposer, mais en général on préfère faire faire des examens plutôt que d’inquiéter nos patients sur d’éventuelles maladie grave alors que parfois c’est juste un hasard et qu’il n’y a rien. Dernièrement un de mes confrères c’est fait viré après qu’une patiente et porté plainte contre lui. Il avait annoncé à celle-ci parce qu’elle avait des symptômes qu’elle avait un cancer du poumon. La pauvre femme s’est rendue malade et après examen elle n’avait pas de cancer je peux vous dire que même si c’était un soulagement pour elle et qu’elle préfère ça après des examens plutôt qu’on lui confirme ce n’est pas professionnelle d’annoncer quelques choses qu’on ne peut être sur. Elle commençait à répondre à mes diverses questions, puis elle m’annonça qu’elle avait eu un autre symptôme d’ailleurs, qu’une fois elle avait perdu l’usage de son bras, enfin façon de parler elle avait eu un coup de faiblesse comme on peut dire.

Elle c’était allongée sur la banquette et je commençais à prendre son pou et à écouter le battement de son cœur, il battait un peu vite mais je sentis que ce n’était rien d’anormal seulement le fait qu’elle ne devait pas vraiment être à l’aise. Ce n’est pas la première fois que des patientes ou un cœur qui bat plus vite parce qu’elle n’apprécie pas toujours le fait d’être chez un médecin, il n’y a jamais de rien rassurant et la peur fait battre son cœur.

« 11.6 Vous avez plutôt une bonne tension. »

En général la tension d’une personne en stresse varie complètement de la normal 12. Il n’y avait donc la pas grand problème de ce côté-là alors il fallait qu’elle passe des examens. Elle était ma dernière patiente et je devais ensuite partir, j’avais fini ma journée, mais si je lui disais qu’elle devait attendre pour des examens j’en suis sûr elle allait stresser et pourtant, c’est ce que je fais en général, on ne donne jamais de rendez vous dans l’immédiat, il y a toujours de l’attente, alors juste comme ça je regardais le carnet de rendez vous et je constatais que sur ce coup là elle avait de la chance car la salle d’examen était libre pendant deux heures. Les médecins passant des radios ne travaillaient pas avant ce lapse de temps alors je lui dis :

« Vous savez en général pour passer des examens on doit toujours prendre des rendez vous qui font attendre une petite semaine selon le monde, mais je viens de voir que la salle était libre, je finis mon service après vous, je suis disponible, donc si vous étiez psychologiquement prête et que vous avez le temps je veux bien vous faire passer les examens dans l’immédiat, mais je ne vous oblige à rien, parfois les patientes préfère être prête, enfin c’est vous qui voyez, parfois attendre une semaine peut faire montrer le stresse je veux pas vous mettre la pression en faite, je veux simplement être la pour vous aider. »

Je ne voulais pas qu’elle se sente obligé, elle allait faire des examens et je ne savais pas ce qui pourrait s’en découdre, cela pouvait être positif comme négatif alors il fallait qu’elle soit prête. En général ma patronne ne me dit jamais rien quand je continue mon travail alors que je suis censé avoir fini, de toute manière qu’elle patron n’autorise pas ses employés à faire des heures supplémentaire. Surtout que je suis très bien vu ici… Je ne pouvais pas trop diagnostiquer une maladie comme ça, bien sûr plusieurs trucs d’après ses descriptifs pouvaient me traverses l’esprit mais aucune ne pouvait être dite avec certitude si ce n’est le stresse et elle ne m’avait pas l’air d’une femme réellement stressé. Je repris le chemin de mon bureau m’asseyant et lui dis :

« Vous pouvez revenir vous asseoir, je ne peux malheureusement rien vous pronostiqué sans faire des examens, cela peut être tellement de chose vous savez.. La première chose est bien évidement le stresse mais vos symptôme regroupe tellement de chose…»

Ses symptôme me faisaient aussi penser à une maladie, mais c’est une maladie que honnêtement j’avais pronostiqué une fois dans ma vie, une maladie très rare mais une maladie qui est malheureusement impardonnable, cette maladie ne peut être que diagnostiqué après des examens mais honnêtement cette maladie je ne la connaissais presque même pas avant de l’avoir diagnostiqué, oui avec toutes les maladies du monde on ne peut les connaître tous par cœur mais on fini par en connaître un peu plus à chaque fois en diagnostiquant les maladies aux patients. Malheureusement d’ailleurs, j’aime mon métier mais si je pouvais dire à chaque patients qu’ils n’ont rien j’en serais bien heureux.

« Je vous laisse réfléchir en remplissant le petit formulaire et je vais prendre votre carte vital en attendant. Selon votre réponse je vous ferais soit passé les examens de suite, sois je vous donnerais de quoi apaiser ces petits soucis et je prendrais un rendez vous pour la prochaine fois. Vous avez peut-être besoin de venir accompagner je ne sais pas… Quoi qu’il arrive vous n’êtes pas seul car je suis là, on se connait pas mais je suis médecin et je prends toujours soin de mes patients »

J’aurais bien rajouté surtout quand elles sont jolies mais je crois que je n’avais réellement pas envie de la stresser un peu plus ou de lui faire du rentre dedans alors qu’elle n’avait pas vraiment l’air d’humour pour ça et ce que je comprendrais d’ailleurs mais je ne sais pourquoi j’avais vraiment envie de l’aider. J’ai toujours besoin et l’envie d’aider mes patients mais son charme m’envahissait complètement.

Sa façon de parler, j’aimais ce qu’elle était du moins ce que je voyais car je ne la connaissais pas. Elle avait l’air d’être une femme qui se bat, une femme qui n’a jamais eu tout sur un plateau d’argent et qui même comme ça était la forte. Je me trompais peut-être après tout je ne la connaissais pas du tout mais honnêtement c’est l’image qu’elle pouvait me donner à cet instant présent et je trouvais ça réellement impressionnant. C’est pour ça que au-delà de mon métier de médecin d’aider mes patients j’avais en moi un petit côté personnel qui voulait y mettre du sien et d’ailleurs je crois qu’elle l’avait bien compris au fond. Elle me demanda si c’était si grave que ça ! Mince je ne voulais pas du tout lui faire peur et je compris que je devais peut-être faire plus attention à ma façon de faire car grave ? Je ne savais pas trop …

« Je ne voulais pas vous faire peur, ne vous inquiétez pas il se peut que je ne trouve rien vous savez les examens c’est surtout une façon d’en être sur ... »

Je lui fis un petit sourire je voulais tout faire pour la détendre et après avoir réfléchit pendant quelques minutes elle me fit comprendre qu’elle voulait faire les examens aujourd’hui, et qu’elle ne voulait pas être accompagné, je levais mes yeux, j’étais surpris, du moins impressionné. Elle voulait se battre seule et inquiétez personne. Je ne suis jamais tombé amoureux mais je crois sincèrement que je pourrais être amoureux d’une femme comme elle. Du moins celle-ci était ma patiente et non une amie que je croisais dans mon cabinet ou une ouverture serait possible. Bizarrement j’avais envie d’être là pour elle, je voulais essayer d’être cette amie qui serait à ses côtés pendant les examens bien qu’elle ne voulait appeler personne. Dans tous les cas j’allais faire tout mon possible pour faire les choses correctement afin qu’elle ne soit pas trop inquiétez. Je finissais de remplir les papiers, et commença à faire les nécessaire avec la carte vital ect… Elle avait fini par remplir son formulaire, qu’elle me redonna. Je regardais, j’avais avant les examens besoin de regarder un peu ce qu’il y avait. Je vis qu’elle ne connaissait pas ses vrais parents, qu’elle était donc une fille qui avait du être adopté. Honnêtement en voyant ça j’avais encore plus envie d’apprendre à la connaître et d’en savoir un peu plus sur elle.

« Merci tout est parfait, ce que je vais vous proposez va peut-être paraitre déplacé enfin le prenait pas mal, je ne sais pas comment vous proposez ça … Nous allons faire les examens vers 13h30 – 14h00, il y a un petit restaurant juste à côté de l’hôpital voulez vous y aller ? Oublier si c’est très déplacé, je veux juste essayer de vous détendre avant les examens. »

J’aurais pus tout aussi bien proposer la cafétéria de l’hôpital mais c’est pas toujours bon puis c’était assez mal vu que je mange avec une patiente au sein de l’hôpital dans la cafétéria, même si elle pourrait être une amie à moi et que cela soit tout à fait normal après tout je suis médecin de quelques amis à moi et j’ai le droit en dehors de mon service d’être avec eux au sein de l’hôpital en attendant que je reprenne et personne ne sais que je ne connais Chloé que depuis quelques minutes. Mais je trouvais ça mieux de sortir un peu de l’hôpital pour qu’elle se détente mais tout en restant pas bien loin. Il était à même pas 30 mètres, le petit restaurant était complètement collé à l’hôpital. Puis je me rendis compte que c’était réellement très déplacé la pauvre venait d’apprendre qu’elle devait faire des examens et même si elle n’avait rien elle allait peut-être stresser un peu ce qui est normal quand on fait des examens nous avons tous peur. Je ne voulais pas la mettre encore plus mal à l’aise et je me sentais un peu gêné de demandé ça mais j’en avais envie pour l’aider un peu essayer de lui faire penser à autre chose juste avant les examens surtout qu’elle était déjà très courageuse de le faire dans l’immédiat même si elle serait au moins très vite soulagé si par chance il n’y avait rien. Par contre s’il y avait quelques choses je crois que je me sentirais encore plus coupable de lui avoir proposé dans l’immédiat mais on ne peut jamais réellement savoir. La raison de l’examen c’était pour voir si c’était le stresse ou non, si c’était le cas simplement une ordonnance avec des médicaments pour la détendre si c’était autre chose… Selon ce que c’était on avisera..

Dans la vie de tous les jours j’étais quelqu’un de très dragueur qui pouvait faire facilement du rentre dedans à une fille et ce même quitte à me prendre un râteau il ne faut pas croire mais même les mecs comme moi on se prend des recalages même si beaucoup de filles me trouve mignon et que parfois il m’arrive d’en jouer. J’étais donc un mec avec beaucoup de facilité et pourtant quand j’étais dans mon travail je perdais toute cette facilité, mais il faut dire que c’était délicat si certaines femmes le prenait mal et allait se plaindre à la direction je pourrais avoir des problèmes et c’est pour ça que j’avais ce changement de comportement le fait d’avoir de la facilité en dehors du travail et moins en service. C’était très dur d’attendre une réponse de sa part, je crois que j’allais être soulagé si elle le prenait pas mal, je ne voulais certainement pas la faire fuir alors je rajoutais :

« Je sais que vous ne voulez pas inquiétez vos amis et faire les examens seuls mais considérez que avec mon au moins c’est plus facile, je serais là pour vous accompagnez et nous nous ne connaissons pas même si quoi qu’il en soit je m’inquiète pour tous mes patients … »

J’étais quelqu’un qui prenait soin de ses patients et qui aimerait qu’ils aillent tous bien pourtant on peut dire que au boulot je suis quelqu’un avec un cœur énorme et pourtant en dehors de mon travail, si mes patients connaissent ma réputation je crois qu’ils seraient bien surpris car j’étais tout autre, on disait souvent que je n’avais pas de cœur. C’est bizarre d’avoir deux facettes de soient mais il faut dire que le côté professionnel n’a rien à voir avec sa vie privée.

Je ne sais pas réellement ce que je cherchais en lui proposant de passer le midi avec elle. Etait ce réellement un sentiment de vouloir lui faire changer ses idées, ou cette petite tête blonde m’avait tapé l’œil et c’était une manière pour moi de la connaître un peu plus et de draguer. Je crois que je ne suis pas réellement capable de répondre à mes propres questions, du moins c’est en réalité peut-être un peu des deux … Mais une chose est sûr je pense que j’avais réellement envie de l’aider. Tout d’abord en faisant mon métier de médecin car après tout avant qu’elle n’entre dans mon cabinet je ne la connaissais pas, je crois même que je l’avais jamais croisé. Enfin peut-être que si je ne sais pas mais une chose est sur je pense que si c’était le cas je me serais rappelé de ce visage à moins que je n’étais trop ivre pour. Alors que je l’avais invité à prendre un repas avec moi elle accepta, j’étais surpris, franchement j’avais peur qu’elle m’envoie balader en beauté après que je lui apprenne qu’elle allait faire des examens, mais elle accepta volontiers, du moment que je pouvais faire en sorte de lui changer les idées et au moins comme elle dit, elle n’allait pas stresser dans son coin ainsi. Tout était prêt il ne me restait plus qu’à l’inviter à diner, il fallait d’abord que je range un peu à droite à gauche pour laisser l’endroit propre, elle me racontais au même moment qu’elle savait faire face aux épreuves que rien ne pouvait surement être pire que la mort… Ou un truc du genre, je baissais mes sourcils, j’espérais sincèrement que ce ne soit pas ça. Pour être honnête si je lui demandais de faire des examens c’est que j’avais une idée en tête, mais franchement deux chances sur 100 000 que cela arrive, de plus cette maladie apparait plus sur les personnes d’une cinquantaine d’année. Elle était bien trop jeune pour développer cette maladie, mais avec ce qu’on voit de nos jours je préférais être sur qu’elle allait bien. En même temps c’est mon rôle en tant que médecin. J’espérais juste que mes pensées négatifs seraient fausses car si elle avait cette maladie que j’avais en tête celle qui s’appelle la SLA, elle était malheureusement mortelle… Mais bon comme je disais des symptômes peuvent appartenir à tellement de maladie, qu’il est dur de ce faire réellement un ordre d’idée. Le cabinet était parfait, je finissais simplement en rangeant le formulaire que j’avais pris le soin de lire un peu puis je me levais. Je retirais bien évidement ma blouse blanche laissant apparaitre simplement ma tenue de tous les jours le Alejandro en dehors de son métier de médecin. Je lui fis un sourire avant de rajouter :

« Je suis heureux que vous ayez acceptés, j’espère sincèrement que je serais à la hauteur pour essayer de vous faire penser à autre chose même si en tant que médecin c’est pas nous les plus douées puisque on pense toujours dans notre travail aux patients d’après, aux examens d’après ce qu’on va faire au travail.. Alors je risque d’y penser… » finissais je par dire sur un ton un peu ironique pour lui faire comprendre que je ferais tout pour la détendre puis je rajoutais : « Mais si vous avez des questions j’ai beau ne plus être en service je répondrais »

Je lui fis un petit sourire, puis je lui fis signe de passer, une fois que j’avais ouvert la porte, ce qu’elle fit. Nous étions fin prêt pour nous rejoindre au petit restaurant du coin, manger j’adorais ça et cela aller lui faire un peu de bien avant les examens, je ne voulais pas qu’elle tombe dans les pommes en plus de cela … Je fermais la porte à clé derrière moi, c’était mon cabinet et mes confrères avaient le leurs, alors sauf en cas d’extrême urgence nous n’allions pas dans les bureaux des uns et des autres. Ma secrétaire avait pris congés, il faut dire qu’elle avait fini sa journée également car en général, elle avait les mêmes horaires que moi et j’étais censé avoir fini à cette heure ci. J’allais simplement faire un peu d’heure supplémentaire. Nous nous dirigions vers le restaurant puis une fois dedans, nous rentrâmes à l’intérieur. La placeuse vint vers nous et je répondis à sa question : « une table pour deux » Oui Mademoiselle. Elle nous installa à une place, c’était parfait, nous allions être tranquille et pas trop dérangé. Une fois installé la serveuse se présenta nous donnant la carte du restaurant nous pouvions commencer à choisir, mais pour être honnête je viens souvent ici et je prends toujours la même chose alors mon choix était fait, je demandais tout de même un petit apéro

« Un Whisky pour moi svp »

Ne connaissant pas encore les goûts par cœur de Chloé car je venais de la rencontrer je la laissais choisir, bien sur quand j’étais en service je ne buvais pas comme quand j’étais en soirée, à chaque fois un seul verre à table, soit un verre de vin à table soit un apéro mais jamais les deux. Je sais qu’un verre se dissipe assez vite avec la nourriture mais plusieurs je risque ma place et trois fois pires encore si cela est découvert. Je peux vous dire que je ne prendrais certainement pas de risque inutile. Au fond j'appréciais vraiment le fait de venir ici avec elle et d’apprendre à la découvrir. Pour la bonne raison que l’image qu’elle m’avait donné d’elle dans mon cabinet m’avait réellement plus. Une femme prête à se battre par ses propres moyens préférant être seul que inquiétez son entourage. Je trouvais ça réellement courageux et d’ailleurs j’enchainais sur ce sujet :

« Vous savez enfin peut-être qu’on peut se dire tu ? »
En attendant sa réponse je préférais continuer de la vouvoyer. « Je vous connais pas mais je suis assez admiratif envers vous, les gens de ne jour ne supporte pas la solitude est on souvent besoin des uns et des autres, et le fait que vous préférez mener cette bataille seule du moins je ne sais pas si on peut parler de bataille puisque pour l’instant nous ne savons pas grand-chose mais le fit que vous préfériez être seul que d’inquiétez les autres je trouve ça vraiment remarquable… »

Je lui fis un sourire, je la trouvais vraiment jolie, il faut dire que je suis très attiré par les blondes alors déjà de ce coté là. La serveuse revint avec mon verre et ce qu’avait commandé Chloé, demandant si nous avions choisi notre plat alors je répondis :

« Pour moi une Pizza Régina »

J’en raffolais …

Je crois que les moments que je préfère le plus dans la journée ce sont les heures de repas, que voulez vous je suis un très grand mangeur et je pourrais passer mes journées à manger si je pouvais mais ne tentant pas le diable. J’étais vraiment content que Chloé est dit oui pour venir prendre le repas du midi avec moi j’espérais vraiment réussir à lui changer les idées et à la détendre. Alors que j’avais demandé un petit whisky elle commanda une bière en me demandant si avant les examens elle pouvait je lui fis un sourire et lui répondis :

« On aura des prises de sang à faire mais je préfère que vous, enfin tu le fasses Agen le matin alors oui tu peux prendre une bière, on la fera plus tard … »

Je lui fis un sourire, c’est vrai qu’une bière avant les prises de sang ce n’était pas terrible mais de toute manière elle avait déjà mangé ce matin et elle allait encore manger là donc je préférais que pour cela elle repasse. Je voulais voir par la prise de sans si elle ne manquait de rien comme le fer, le calcium ou encore du magnésium qui peut parfois expliquer ce genre de petit symptôme mais nous allions attaquer directement les examens alors si il y avait quelques choses la prise de sang ne serait que confirmer les analyses alors que si je ne trouvais rien pendant les examens là la prise de sang serait un peu primordial pour déterminer ce qui lui manquait dans le corps. Nous n’en étions pas encore là de toute manière. Les commandes des boissons venaient d’arriver sur la table et nous venions de commander notre repas. J’avais déjà hâte qu’il arrive. Puis Chloé me parlait du fameux formulaire, en effet je l’avais lu et c’était normal ce n’était pas pour décorer ou encore pour m’immiscer dans sa vie en tant qu’humain et la mettre dans mon lit en la touchant non ce n’était pas ça c’était purement professionnelle. Un médecin à besoin de savoir diverses choses sur ses patientes pour déterminer le côté psychologique je dirais ou encore pour voir si il n’y a pas de problème de santé dans le passée, ou de maladie héréditaire. De ce côté-là je crois que les réponses n’étaient pas clair de mon côté mais elles n’avaient pas l’air d’être au clair pour Chloé non plus car j’avais bien compris sur le formulaire qu’elle avait été adopté. Pas facile de découvrir son passée niveau santé sur sa famille quand ce n’est pas elle qui nous à élevé.

En tout cas je pouvais bien voir le parcours qu’elle avait mené dans sa vie et j’en étais impressionnée, je connaissais beaucoup de filles superficielles, plein d’argent de papa et maman jamais seule et toujours avec ses amis. Le genre de filles qui sans sa popularité ou sans ses amis n’existent plus et je suis sur qu’elles préféraient ce suicider plutôt que d’être seules.

« Alors j’espère sincèrement que vous n’aurez pas besoin de vous battre seule pour la simple raison que j’espère que vous n’avez rien… »

Le vouvoiement reprenait toujours de plus belle entre elle et moi pourtant nous étions deux jeunes du même âge environ, cela devrait justement être plus dur de nous vouvoyez, mais c’est surement le côté professionnel qui nous joue des tours et ceux même quand je suis en dehors de mes fonctions enfin du moins ce n’était pas non plus grave. Le repas arrivait, je m’en léchais les babines, enfin j’évitais de le faire devant elle quand même elle me prendrait pour un porc qui ne pense qu’à manger, mais l’expression décrivait bien ma faim à ce moment là du moins comme d’habitude. Elle me demandait ensuite si je venais ici alors je répondis :

« Oui je mange souvent à la cafétéria de la pizza mais j’aime aussi venir ici, histoire de sortir un peu du monde du travail en étant dans un autre lieu que l’hôpital. Mais je n’ai pas la chance de connaître les serveurs, enfin quand on va dans un lieu à force on connait les serveurs mais ici c’est jamais les même à croire qu’ils finissent tous par fuir en même temps il y a des métiers ou des endroits où les patrons sont tellement odieux qu’il y a du nouveau personnel sans arrêt ça à l’air d’être le cas ici. La dernière fois j’ai vu la patronne, et elle n’avait pas l’air très aimable… »

J’avais envie d’en savoir un peu plus sur Chloé bien sur j’avais lu le formulaire, mais c’était le médecin qui l’avait lu alors c’était dans le cadre professionnel, maintenant l’homme en moi sans son uniforme de travail avait envie d’en savoir un peu plus sur elle alors je lui dis :

« Alors tu fais quoi dans la vie, tu as des frères des sœurs ? Je sais mes questions sont bizarres je le sais déjà mais c’est le médecin qui le sait pas moi… »

Je lui fis un sourire j’espère qu’elle allait bien le prendre. Le côté en moi médecin c’était déjà intéressé à elle du moins c’était normal, c’était mon métier, et ce n’était pas un choix mais un peu comme une obligation d’en savoir plus maintenant je voulais voir si elle allait accepter de me le décrire à nouveau mais à moi Alejandro. Je commençais à manger cela faisait énormément de bien, je crois que je préférerais mourir si la nourriture n’existait pas plutôt que de vivre, encore pire si le sexe n’existait pas. J’étais un homme intégré, loyal, et très sérieux au travail du moins quand les filles ne me draguaient pas et que j’arrivais à garder mon calme, devant elle. Mais en dehors j’étais plus le genre de mec à batifoler à droite à gauche à m’amuser et ce même quand je suis en couple. J’essaie toujours d’être fidèle mais je ne sais pourquoi cela me rattrape toujours. Je suis en couple avec une femme en ce moment, elle est gentille, c’était une amie à la base et je voulais ne pas la tromper mais à peine quelques jours après j’avais déjà une patiente dans mon lit. Je n’avais rien cherché mais elle vient dans mon cabinet et elle m’allume complètement je n’ai pas pus résister. Voilà c’est moi ça et je sais que c’est horrible j’ai 26 ans je devrais penser à l’avenir à me poser et dès que j’essaie, je fais toujours n’importe quoi … Je voulais savoir si elle avait quelqu’un dans sa vie mais sans lui demander trop directement. Le formulaire le demandé mais c’était plutôt du genre fiancé, marié, veuf ou célibataire. Comme sur les fiche des impôts un peu et si nous sommes ni fiancé ni marié ni veuf ou dit toujours célibataire même si on est en couple depuis 4 ans alors je lui dis :

« Tu n’as pas un petit ami à prévenir que tu es ici ? Enfin que tu vas faire des examens, tu ne veux pas inquiéter tes amis mais un petit ami c’est fait pour être présent dans ses moments là… ? … »

Honnêtement je passais réellement un agréable moment en compagnie de Chloé, j’apprenais un peu plus à la connaître même si j’en savais déjà beaucoup plus sûr elle que ça se trouve certaines de ses connaissances C’est peut-être même sur puisque c’était assez personnel Il faut dire que c’est un peu mon métier qui malheureusement oblige les gens à me dire « tout » Oui je dis bien malheureusement car au fond je trouve ça horrible de demander à des gens qu’on ne connait pas de nous confier leur vie privée, en général c’est assez bah privée comme le nom l’indique et ce n’est pas toujours évident de le dire à un inconnu. Quoi que sur certains points c’est peut-être plus facile que de le dire à ses propres amis, surtout quand il s’agit de chose grave qui touche notre vie. Nous échangions enfin une vrai discussion sans tabou, nous ne parlions plus de moi le médecin et d’elle la patiente mais de nous les êtres humains derrières nos rendez vous. Cette fille m’impressionnait réellement et je la trouvais en plus de ça très belle à regarder. J’avais beaucoup de chance d’être la en sa compagnie, parfois je peux remercier mon métier pour m’offrir de si belle rencontre. Non je ne saute pas sur toutes les filles qui passent dans mon bureau et qui sont belles sinon j’aurais pas fini, mais parfois c’est plus fort que moi comme avec Chloé j’avais simplement envie de passer un peu de temps avec elle de lui faire oublier un peu ses tracas de la vie… Enfin ses tracas de la vie, oui du peu que je connaisse ça avait l’air d’être un peu le cas mais je parlais surtout sur le fait que je voulais qu’elle oublie cet examen. Même si le moment venu aller arriver plus vite, oui le temps passe tellement vite de nos jours, nous sommes le matin entrain de se lever tranquillement de notre lit, et sans même que l’on puisse dire ouf on se retrouve déjà le soir dans notre lit mais cette fois pour dormir et nous n’avons même pas vu la journée passer entre temps. C’est dingue tout de même, nous profitons plus de la vie, nous n’avons même plus le temps, le travail nous prends tellement de temps qu’on ne passe même plus de temps avec les vrai, nos amis nos familles, nous sommes le plus souvent avec nos collègues.. En parlant de collègue elle me dévoilait donc son métier même si je l’avais bien évidemment lu sur le formulaire, du moins je ne l’avais pas lu non plus de A à Z je l’avais beaucoup survolé aussi car j’étais tellement pressé d’aller manger, et j’étais gêné de lire sa vie sur un petit bout de papier et ce devant ses yeux.

« Je vais souvent dans les bars et en boîte de nuit mais je me rappelle pas t’avoir vu, du moins je ne côtoie pas non plus tous les bras de Paris, il faudra que tu me donne ton adresse où tu travail, comme ça je viendrais te voir, et cela sera peut-être plus gay que de ce voir dans un hôpital pour des choses pas agréable à faire.. »

Je lui fis un sourire, j’avais très envie de la voir dans la vraie vie, enfin nous étions bien évidement dans la vraie vie, nous n’avions pas mis pause pour jouer à un jeu mais je voulais dire par là que je voulais là voir dans son univers et non dans un hôpital contrainte d’y aller car notre santé nous y oblige et ce bien évidement contre notre volonté. J’aimais beaucoup sa façon d’être, le fait qu’elle me demande si elle pouvait prendre une bière et après que je l’autorise elle en prenne une, du moins le fait que je l’autorise, non on ne joue pas à la femme terrorisé qui demande l’autorisation à son mari de faire ou prendre ce qu’elle désire mais bien sur c’était pour le bien des examens. Puis le fait de faire de l’humour sur un hôpital un peu trop « blanc » et j’y répondis :

« C’est vrai que la première chose qu’une personne dit quand elle vient à l’hôpital c’est que c’est trop blanc et ça fait peur, moi on m’a toujours dit que c’est parce que cela avait un effet sur notre organique et sur les bactéries ainsi que le blanc c’est la propreté et l’hygiène, mouais j’ai du mal à y croire pour la propreté et l’hygiène car si on repeint pas un mur blanc régulièrement franchement il reste pas blanc longtemps mais penche vers le beige..Je me suis toujours imaginés les mûrs des hôpitaux d’une autre couleur, mais je me dis quand tu perds un proche si tu es dans une chambre aux multiples couleurs qui représente la fête ça doit pas être très agréable non plus.. »

Je me mis à rire, enfin rien n’étais drôle mais mine de rien c’était peut-être mieux qu’ils soient blanc après tout un hôpital ce n’est jamais gay ou encore faudrait peindre que les murs des femmes qui viennent d’avoir un bébé, elles peuvent être jouissif alors que si tu es entrain d’attendre une greffe et que tu es dans une chambre qui te fait penser à la fête alors que tu vas peut-être y passer… Enfin je n’allais pas faire tout un épilogue juste pour une chambre mais je tenais à lui répondre car je sentais en elle que ce brun d’humour était en quelques sortes présentes pour se détendre.. Elle me racontait ensuite son enfance, qu’elle passait de famille en famille, je crois que si elle était ma copine, je la couvrirais de bonheur, elle donne envie de lui faire des câlins de la protéger, et pourtant sous son air de petite fille blonde je voyais une femme battante qui était loin d’avoir besoin de quelqu’un pour la protéger.

Elle me répondit sur le fait qu’elle n’avait pas de petit ami, j’aurais bien souris à ce moment là mais et alors ? Comme ci parce qu’elle n’avait pas de petit ami j’avais mes chances sans oublier qu’il ne fallait pas que moi j’oublie que j’en avais une. Mais à partir du moment où tu as trompé ta copine une fois existe-t-il réellement encore une chance pour avancer ensembles ? Pour le moment je ne lui avais même pas encore dit..Je n’arrivais pas à me poser avec quelqu’un, il fallait que je finisse toujours par la trompé par faire n’importe quoi mais je sais que le jour où je serais amoureux, je serais le petit ami idéal mais ce n’était pas encore arrivé ou du moins ça aurait pus mais avec cette fille nous avons rompu bien trop peur de perdre l’un et l’autre notre fierté…

« Hum je vois, en même temps je suis sûr qu’une fille comme toi peu frappé à n’importe quelle porte et trouver son bonheur très vite, quel homme pourrait résister ? »

Je voulais lui faire un petit compliment car je venais de voir ma montre, et je me rendis compte qu’une fois notre plat principal mangé, il nous restait qu’à manger le dessert et un petit café du moins si elle en prenait et qu’il était temps de passer aux choses sérieuses car je n’avais la salle que pour quelques petites heures ensuite elle était prise pour des examens, des rendez vous et elle avait fait le choix de le faire aujourd’hui je ne voulais pas la faire patienter maintenant qu’elle commençait petit à petit à s’y faire du moins quand on sait qu’on doit réaliser une chose même si on ne veut pas une fois que c’est mis dans la tête on est prêt et c’est encore plus long d’attendre quand au final on nous dit et bah non pour plus tard. Je finissais mon dernier bout puis lui dis :

« Je vais prendre un petit dessert, un café gourmand tu prends quelques choses ? »

J’avais peur que plus on approche et plus elle se sente mal je ne voulais pas la brusquer je ne voulais pas lui faire peur puis je mis ma main sur la sienne lui disant :

« Je sais qu’on se connaît pas mais je serais là quoi qu’il arrive en tant que médecin et en tant qu’homme derrière sa blouse »

Puis je me rendis compte que mon geste était peut-être un peu mal placé mais c’était sincèrement pour la rassurer, alors j’enlevais ma main de la sienne assez vite lui disant :

« Désolé »