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ooh la la paris, réouverture. 02/11/14.
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 Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver.

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MessageSujet: Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver.   Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. EmptyLun 18 Juil - 18:30

La journée fut des plus banales, bien trop banales même, je m’ennuyais. D’ordinaire passionné par mon travail, aujourd’hui je n’avais qu’une seule envie ne rien faire du tout. Cependant je me montrais toujours assez dévouer avec mes clients et les gens que je retrouvais ici. Bref quelques dossiers traités je pris la peine de m’attardé plus longtemps sur une affaire que je trouvé bien plus intéressante. Assit sur mon bureau je fixais le fond d’écran de l’ordinateur enfin du MacBook qui me servait pour mon travail et quelques fois de façon personnel mais très rarement en ayant un autre pour cela. Bref le bleu de l’océan me rendait assez nostalgique. Mes yeux s’attardèrent sur la femme qui se tenait à mon bras, ces longs cheveux blonds ressemblaient à une cascade l’or, elle avait les yeux les plus beaux du monde et le simple fait de voir son visage angélique accélérait le battement de mon cœur. Elle était la plus belle chose que je n’avais jamais vue et cette simple pensée me rendait fou. Je n’avais jamais ressenti une telle chose pour une personne, moi le dragueur perdu que j’étais depuis des années, était amoureux, ce n’était pas un banal amour mais elle provoquer en moi des choses incroyables et je réalisais que c’était presque fou d’aimer une personne si fort, je l’aimais plus que n’importe quoi, j’étais sure que je ne pourrais jamais aimer une femme si fort. A mon bras tout me semblait parfait, le souvenir de notre mariage me vint en mémoire, le plus beau moment de ma vie, j’étais pleinement heureux de l’avoir près de moi. Je souris bêtement en pensant à la chance que j’avais de l’avoir et en une seconde à peine ma pensé fut dévier. Le désir s’installa en moi, il me prit et m’attrapa dans toute mon âme, il me tira dans des envies maladroites dont je n’aurais jamais dû penser. Et pourtant mon corps s’embrassa, mes muscles se tendirent et il se mit à m’obséder. Je le voulais, je le désirais, je rêvais, je frissonnais, il fallait qu’il soit là à tout prix, contre n’importe quel prix, c’était obligatoire, c’était lui à cet instant je ne voulais rien d’autre. Il le fallait, je craquais.

Attrapant mon Iphone, le code, je me rendais dans les messages écrivant plutôt rapidement « Je veux te voir. Passe chez moi vers 16 heures » j’envoyais en posant avec une certaine impatiente le téléphone sur mon bureau. Je fixais l’écran attendant une réponse, j’étais un homme patient réellement mais cette fois je n’avais pas envie d’attendre, j’étais aussi ainsi lunatique et impulsif. Camille mon assistante arriva avec le sourire, elle était plutôt gentille en réalité elle était vraiment gentille, c’était une femme douce et très serviable. Passant ma main dans mes cheveux elle me demanda l’autorisation de partir plutôt, un diner avec son petit ami. Elle était encore jeune, tout juste sorti de Master mais elle était promettant, je le savais alors elle avait sa chance près de moi. Bref lui accordant, j’attendis patiemment seize heures. Après un coup de fil de ma tendre épouse, j’appris qu’elle allait travailler un peu plus tard que prévu. Egoïste, cela m’arrangeais. Je quittais le bureau aux alentours de quatre heures, ma voiture garé devant je me rendais rapidement dans notre chez nous. Bref fermant la porte derrière moi, j’allumais la télévision, c’était une habitude, je ne le regardais pas souvent et pourtant elle était souvent allumé. Passant sous une douche je me détendais totalement oubliant ma culpabilité dans tous les cas il était déjà trop tard pour regretter. Sans me rendre compte, il était déjà l’heure et j’étais tout de même en retard ce qui commençait à devenir une fâcheuse habitude. Je me rendis à la porte. J’ouvris avec le sourire « Pardonne moi je suis un peu en retard » je me décalé pour le laisser entrer, passant mes mains dans mes cheveux humides je réalisais que je portais tout juste une serviette sur mon corps encore mouillé. Mon regard s’arrêta sur lui « Et j’suis pas habillé et je t’ai pas dit bonjour … Je suis impoli » je ne pus m’empêcher de lui voler un petit baiser que je prolonger. Encore une fois j’étais un égoïste, je ne pensais qu’à mes envies mais c’était ainsi, je ne résistais pas, je ne lui résistais pas … Bon dieu Pacôme tu me rends dingue pensais-je.
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MessageSujet: Re: Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver.   Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. EmptyMar 19 Juil - 14:06

    Pacô Et Léandre ♥

    Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Thlouisprades1Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Norl34Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Louis013Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Victor14Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Louis014Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Norl76
Aujourd'hui j'avais passé disons ma matinée à m'empiffrer de pâtisseries. Cela arrivait très souvent lorsque je sentais en moi une contrariété incongrue. Boulimique? Peut-être. De toute manière, j'avais besoin d'un taux de glucose important pour faire disparaître mes tracas quotidiens. Je finissais donc mon dernier crumble aux framboises avant de sentir mon portable vibrer. Qui cela pouvait bien être? Clémence pour me dire qu'elle s'était achetée une nouvelle robe tendance? Elisa pour me proposer à nouveau une fête familiale? Je soupirais. Je détestais être dérangé lorsque je m'extasiais face à une sucrerie. Péché mignon certes. Agrippant mon portable de ma poche, je vis affiché sur l'écran Léandre. Tiens dont, Monsieur refaisait surface. Fortement comique, et Tentant. "Je veux te voir. Passe chez moi vers 16 heures." Encore une nouvelle fois, il aimait me donner des ordres. Avec évidence, j'allais répondre positivement à cette invitation. J'étais bête. Je fréquentais le maris de ma sœur, et je n'avais aucune honte à l'admettre. Certainement que les remords sans suivaient sans cesse. J'étais idiot. Je léchais ma cuillère avant de terminer le dernier morceau de crumble, avant de filer dans les transports. Ce moyen de locomotion assez énervant. Il était temps que je passe mon permis. Mon amie ne cessait de me le répéter. Mais j'étais paresseux. Je ne voulais pas perdre des heures devant un écran à répondre si oui ou non, j'aurais la priorité si cette voiture venait vers la gauche ou bien la droite. Très peu pour moi. Non merci. Un bref regard sur ma montre suffisait à lire: 15h30. J'allais être sans doute en retard. Mais monsieur allait patienter. J'aimais me faire désirer. Enfin chez lui je frappais à la porte. Elisa ne devait pas être là. Putain que j'étais cruel. C'était dégoutant. Mais le mauvais côté chez moi l'emportait toujours sur le bon. Pathétique. Finalement j'étais à l'heure. Merde j'aurais bien voulu le faire patienter un peu. Mais non, Monsieur Verlaine avait la fâcheuse habitude de faire le contraire de ce qu'il pouvait penser. Sacré Verlain"Pardonne moi je suis un peu en retard." Mec pt'ain dis pas cela avec des yeux brillants et une voix sortit tout droit d'un film à l'eau de rose. C'est tellement dramatique. Il me laissa entrer. Comme par hasard, et triste hasard ou non, il n'était disons pas vêtu. Bon d'accord, il n'était pas à poil non plus, mais disons que...J'aurais du venir en retard. Cela m'aurait empêcher de fantasmer comme un porc sur lui. Oui un porc. En plus chez lui. Il y avait des affaires de ma sœur qui traînait dans l'appartement et je...Non je ne pouvais pas. "Et j’suis pas habillé et je t’ai pas dit bonjour … Je suis impoli." Tu m'étonnes que t'ai pas habillé. Tu le fais exprès? Tu cherches vraiment à ce que je...Arf, je me prenais la tête pour rien. Il m'embrassa. Certes, ce n'était pas le baiser du siècle, mais il en fallait très peu pour que je le pousse à tout hasard sur cette table au milieu de la salle à manger. Facile. C'était si simple. Monsieur sentait bon. Si bon comme une sucrerie qu'on aurait envie de croquer. Puis ces cheveux bouclés et mouillés qui longeaient le long de sa nuque. Aie. Je divaguais. Un simple Bonjour aurait suffit. Mais tout n'était point simple avec Léandre. Il était inhumain. C'est cela il devait venir d'une autre planète. Ce type c'était Apollon. En plus beau d'ailleurs. Je le poussais légèrement, assez honteux, avant de répondre une idioties aussi grosse que moi. "J'ai une éventuelle idée! Tu t'habilles et moi je prépare le café hein? C'est pas une excellente idée? AAAAH..." Nerveux moi? Non. Pas du tout. Mon comportement se comparait sans le moindre doute à une pucelle effarouchée.








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MessageSujet: Re: Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver.   Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. EmptyDim 24 Juil - 15:41

Je ne me contrôlais plus, j'étais devenu un de ces ingrats de série B qui trompait leur copine à tout bout de champ sans réelle culpabilité et sans l'intention d'arrêter un jour mais en réalité c'était encore pire, à coté de moi Jack Newman des feu de l'amour était l'homme le plus respectable du monde et le plus bon aussi. Je m'étais marié il y a six mois désormais avec la femme la plus fantastique que le monde ai porté, elle avait une beauté à couper le souffle, le genre de beauté qui vous donne l'impression que dieu existe et qu'il à créer un ange, sa douce peau porcelaine, ces cheveux or et son regard qui vous fait chavirer. Je ne me pensé pas capable de tombé amoureux comme ça mais elle me retourné dans tout les sens du terme, elle me donnait même envie de croire en des choses que je n'avais pas soupçonner et je me montrais encore capable d'agir en parfait salopard en lui brisant le coeur alors qu'elle l'ignorait encore. Fricoter, embrasser, désirer, coucher et s'amuser avec son petit frère n'était pas dans mes meilleures actions. Je n'étais pas homosexuel mais ce jeune homme avait le don de provoquer en moi des choses que je ne soupçonné pas. J'avais découvert le plaisir charnel de l'homme et je ne m'en lassé pas une seule seconde. C'est ainsi que je me retrouvais devant chez lui comme ci de rien n'était, comme ci c'était une chose normal de le vouloir. Dans mon appartement je déposais mon regard de séducteur sur Pacôme qui se trouvait désormais face à moi, faussement gênée par ma nudité à demi présente. Il semblait parti un peu ailleurs et je tentais de le refaire venir à moi par un sourire dès plus charmeur " Tu semble stressé ca va ? " je n'étais pas dupe je savais très bien l'effet que je provoquais sur lui mais il en provoquait aussi chez moi bien que je me montrais un peu plus doué pour caché mes sentiments naissant.

Alors que je m'appuyais contre le mur, il se mit à parler de café et j'avoue que je me senti un peu perdu pendant quelques secondes. Je le regardais dans les yeux sans dire un mot, qu'avez t'il aujourd'hui ? Une chose est sur il y avait quelques choses de différent mais j'aimais bien trop son coté faussement choqué par mes actes plus ou moins recherché. Arquant un sourcil " Du café ? Hum ... Si tu y tiens la machine est dans la cuisine " je n'ajoutais rien en me rendant dans ma chambre. Déposant la serviette sur le lit, j'ouvris l'armoire et attrapais le première jeans que je vis. Banal et de couleur foncé, je l'enfilais rapidement, une chemise blanche que j'enfilais avant de le rejoindre dans la cuisine alors que je continuais à mettre mes boutons. Je pris place contre le bord de la porte " Tu t'en sors ? " demandais-je poliment alors que je voyais en train de faire je ne sais quoi avec notre machine à café et tout ces choses. Il semblait totalement perdu et pris dans des pensées que je ne comprenais pas. Ne pouvant pas résister à ceci, j'approchais doucement me plaçant derrière Pacôme, mes mains se baladèrent sur son dos avant de se déposait sur ces hanches. J'avançais doucement et déposais un tendre baiser dans son cou " Je ne te connaîtrais pas je penserais que tu me fui ... Que t'arrive t'il mon beau ? " je restais près de lui, mes mains toujours à leur place et mon visage proche de lui.
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MessageSujet: Re: Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver.   Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. EmptyVen 29 Juil - 20:04

    Pacô Et Léandre ♥

    Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Thlouisprades1Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Norl34Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Louis013Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Victor14Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Louis014Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Norl76
M'évertuant tant bien que mal à faire un café à demi correcte, je sentais l'odeur du shampooing qu'utilisait Léandre pour laver ces cheveux. Bien évidemment, je n'avais pas demander à mes narines taquines de s'enfuir afin de renifler ces douces odeurs de produits. Il c'était pendant plusieurs minutes échapper de mes yeux fidèlement passionnés, sans doute pour vêtir quelque chose d'un peu plus décent. J'en soupirais de soulagement. A vrai dire, non pas que je détestais le voir à demi-nu, loin de moi cette idée, mais j'étais très réservé. Stressé lorsque j'étais en sa présence. Ce type me fait un effet assez décalé par rapport à mon caractère actuel. Ce que je voulait dire par là, c'est que je perdais tous mes moyens en sa présence, quitte à redevenir un puceau troublé. Or, le plus surprenant dans tout ceci, c'est qu'il n'ignorait rien de mon comportement. Au contraire cela l'amusait, voir l'excitait. Un vrai sadique dans toute sa splendeur. Voilà comment je me retrouvais à faire du café. Je n'avais jamais réussis à faire un café correcte, et ce n'était guère aujourd'hui que j'allais enfin réussir cette tâche surtout avec Léandre dans les parages. Je me débattais tant bien que mal avec la machine à café. "Tu t'en sors ?" Sa voix si sensuellement rauque, provoqua un sursaut soudain chez moi. Et merde, je ne l'avais pas sentis arriver, pourtant la cuisine était envahis par son parfum. C'était inutile de mentir. Je ne m'en sortais nullement avec cette machine à la con. L'idiot que j'étais finis par rougir comme une pivoine, ne sachant contrôler certains frissons qui hérissaient mes poils sur mes avant-bras lorsque je sentis aussi délicatement que possible ses mains sur mon dos puis mes hanches. Ma colonne vertébrale reçue elle aussi une sorte de décharge électrique non "Bienvenue" qui me laissait pantois, et amèrement vexé de ne point contrôler ses sentiments si soudain, si abruptes. Son baiser sur mon cou finis par briser mes barrières si durement installés. Ce type était le mal incarné. Ceci dis, je ne disais pas cela de façon négatif. Démoniaque certes, il arrivait toujours à dissimuler ses sentiments sans que je sache ce qu'il pouvait bien mijoter contrairement à moi. Le moindre ressentiment, ou fait et geste se lisait si facilement sur mon visage. "Je ne te connaîtrais pas je penserais que tu me fuis ... Que t'arrive t'il mon beau ?" Fuir? Comment pouvait-il penser une chose aussi idiote et insignifiante? Je ne fuyais pas au contraire. J'essayais de rester humble face à ses sentiments qui me tuaient, mais d'une certaine façon qui me rendaient tellement paisible. Putain, c'était tellement bon de ressentir ce genre de chose. Dans un sens je souffrais. Je volais le mari et à ma sœur. Certes, j'étais un sacré connard, mais c'était si bon d'être dans ses bras. De sentir son souffle près de mon oreille. Je détestais le savoir dans les même draps que ma sœur. J'étais un salaud d'égoïste. Mais c'était bien plus fort que moi, j'étais amoureux de cet apollon qui sans doute un jour, me laisserais vaguement mourir sous les flots de mes pensées et de mes larmes salées. Pour l'heure je me débattais toujours avec le filtre à café. Finalement, j'abandonnais toutes tentatives de paraître normal sous peu de devenir un idiot finis. "Je te fuis pas voyons. Réfléchis je suis là. Si j'aurais tant bien que mal voulu fuir, je ne serais pas là Léandre. Je suis juste un peu stressé en ta présence. Comment dire, c'est difficile de l'expliquer. Ce n'est pas un sentiment désagréable, mais j'en ai marre de ressembler à une gamine de seize ans folle amoureuse ou hystérique. Mais tu fais chier Léandre, sérieux comment tu peux réussir aussi facilement à me rendre bête? Regarde moi je suis pathétique. Et ton café là, j'y arrive pas. Je ne suis pas bon à marié. Verlaine, tu parles d'un Verlaine."


Dernière édition par Pacôme-Léopold Verlaine le Dim 14 Aoû - 1:21, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver.   Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. EmptyDim 7 Aoû - 17:32

J'étais décidément un homme irrattrapable, j'étais là dans mon propre salon dans celui d'Elisa ma femme si douce avec son frère celui pour qu'il elle aurait tout sacrifié sans même hésite une seule seconde, celui qui la rendait heureux en train de jouer les amants perdus. Mais ce garçon si jeune soit il avait prit sa place dans ma vie et je me montrais là incapable de lui refuser quelques choses. J'avais toujours était un homme assez libre et responsable de chacun de ces actes, j'avais l'habitude d'assumer et pourtant je cachais à ma femme mes aventures qui plus ai avec son frère. Je le revoyais encore la première fois ou je l'avais rencontré, il y avait un visage si fin et si parfait que j'avais cru tout droit sorti d'un magasine de mode, il était tellement parfait, bon et brillant que j'avais cru rêver bien sur je n'avais pas réellement compris tout ça le premier jour, j'étais tellement amoureux d'Elisa que j'aurais pu tout faire pour elle et la journée c'était passé des plus normalement possible même si il m'était arrivé de sentir son regard sur moi mais étrangement je n'avais pas trouvé ça désagréable. En réalité je n'avais pas imaginé que je puisse désirer et avoir des sentiments pour un homme et pourtant sa simple présence me troubler au plus profond de mon âme et je me montrais là à ne plus rien contrôlais du tout. Bien sur chaque jour je ressentais la culpabilité de ne pas être fidèle à la femme que j'aimais car aussi incroyable que cela puisse sembler mes sentiments envers Elisa était des plus sincère mais avec Pacôme c'était autre chose, une sorte d'évidence, de la fusion et de la chimie, je n'arrivais pas à être loin de lui trop longtemps. Mes mains se posèrent sur ces hanches et dans une discrétion totalement je déposais mes lèvres dans le creux de son cou. L'odeur de sa peau me rendait plutôt dingue mais je tentais de resté calme contre lui alors qu'il semblait totalement perdu " Je te trouve très beau alors en gamine de seize folle amoureuse ou hystérique " je mimais des guillemets en répétant ces paroles. Je lui fis mon plus sourire en caressant doucement son visage, j'avais parfois peur de le briser tellement il m'était précieux " Dis pas ça, t'es pas stupide moi je te trouve adorable. Puis si tu veux je peux bien me tenir et moins te provoquer ... Si c'est ce que tu veux " j'avais ce besoin constant de le rassurer et de faire en sorte qu'il aille bien. A mes yeux il était devenu une sorte de diamant que je me devais de protéger. Je ne le voyais pas comme un enfant mais comme un homme que je voulais avoir à moi " Oublie ce café veut tu ! " je lui souris, il était tellement gênée que la seule chose qui semblait l'intéresser était son café. Cependant pour lui faire plaisir, je m'occupais de lui faire rapidement un café. J'attrapais un filtre et tout ce qui fallait et en quelques minutes le café se mit à passer " Tout simple pas vrai ? " je souris en attrapant deux tasses dans lequel je versais le café et je lui tendis la sienne après l'avoir préparer comme il le prenait d'habitude, bonne mémoire oblige.
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MessageSujet: Re: Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver.   Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. EmptyMer 17 Aoû - 2:18




    Pacô Et Léandre ♥

    Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Thlouisprades1Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Norl34Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Louis013Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Victor14Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Louis014Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Norl76
Faire un café. Voilà ce qui me rendait plutôt soucieux en ce court instant. J'avais beau avoir un Dieu vivant près de moi, il semblait que j'étais préoccupé par cette satanée machine à café. Ce qui était totalement faux. Je faisais mines d'être ailleurs, mais hélas Léandre me perturbait bien plus que cette foutue machine à la con, dont je ne savais même pas l'utilité pour ma part. J'étais un piètre menteur. Je haïssais par dessous tout le goût amer du café. Seulement voilà, j'avais eu un besoin fondamental, presque consistant d'inventer une histoire à dormir debout. Oh! Bien évidemment je n'étais pas fier de ce mensonge débile, qui allait de nouveau me faire passer pour un con. Mais qui ne voulait pas inventer des conneries aussi grosses que soient pour éviter de passer pour une vierge effarouchée voir énamourée? Puis merde, j'étais un mec. Un peu virilité mon pote! Un enfant. Oui cela résumait parfaitement mon état d'esprit. J'avais beau avoir vingt-ans bientôt un an de plus dans le sillage, j'étais un cas désespéré. Le genre d'homme qui ne voulait pas grandir malgré lui. Une approche plus distinguée, mais à la fois discrète, et un fin baiser au creux de la nuque pour m'éviter toutes distinctions plausibles. J'étais à nouveau perdu, mais fortement dépendant de lui. C'était une sorte de nicotine non désagréable. "Je te trouve très beau alors en gamine de seize folle amoureuse ou hystérique." Aaaaaah. Une groupie psychopathe. Enfin, il fallait bien l'admettre. J'avais été capable avec un égoïste et une cruauté atroce de voler l'homme dont ma sœur été follement amoureuse. Alors pour l'heure, jouer l'innocent peu farouche était tout même drôlement comique. Entre nous j'avais le désir d'envoyer cette machine de merde à travers la pièce et d'avouer une bonne fois pour toute à Léandre mon état de stress lorsqu'il était près de moi. Au lieu de cela, je lâchais les filtres à café, pour mieux me concentrer sur ces paroles. C'est bien beau de vouloir jouer l'élève attentif. Mais ce jeu devenais fortement difficile. "Dis pas ça, t'es pas stupide moi je te trouve adorable. Puis si tu veux je peux bien me tenir et moins te provoquer ... Si c'est ce que tu veux " Putain mais il avait le le don de me dire des trucs qui me rendait complètement Gaga. Pire en transe. L'enfoiré. Ouais, j'étais peut-être dur dans mes propos, mais j'aimais ce type. Adorable moi? Très franchement j'y croyais pas trop. J'étais plutôt futé et étrangement avide par moment. Oh Grand Dieux! Non, je ne voulais pas qu'il s'éloigne. Mais bien évidemment, Mister Verlaine préférais jouer le faux innocent. Je l'aurais bien attaché. Pire, je lui aurais carrément monté dessus. Et puis, les choses auraient finis encore dans une sorte d'euphorie de plaisir, mais là non. Je voulais jouer le méchant. Diffamation ! Mais à quoi je pensais? Je portais très mal le costume de méchant. "Oublie ce café veut tu !" Bébé si tu savais comme j'en ai rien a foutre de ce foutu café. Mais comment te le dire sans paraître trop brusque? Très bonne question. Mystère et boules de gomme. Sans même le réaliser je passais une main dans ces cheveux mouillés. Mes doigts se perdirent dans ces cheveux; à vrai dire avec un sourire presque incertain et enfantin j'entortillais mes doigt dans ces boucles brunes. Punaise je rêvassais déjà. Je voyais déjà la tasse de café devant moi. Je ravalais ma salive. "Je pense que tu devrais te sécher les cheveux. Je ne veux pas que tu attrapes froid. Je ne saurais jouer les infirmières vois-tu. Je n'ai pas le diplôme requis." Un chaleureux clin d'œil pour la route, et j'ajoutais à cela mon envie irrésistible de lui sauter dessus. Mais Verlaine savait se tenir. Oui, monsieur Pacôme connaissait l'art des bonnes manières. Je finis par boire ma tasse de café. Même si je détestais le café, il était inutile de dire que celui de Léandre était délicieux. Du moins pour la personne qui adorait le café. Que j'étais con. J'aurais dû lui dire dès le départ que je préférais les Chocapics. Au lieu de cela, avec son sourire d'Italien Macho, il m'avait posé cette tasse avec un sourire ravageur. Oui, c'était évident, j'aurais été un con de refuser son café qui en l'occurrence avait été fait avec un amour certain. Ceci n'avait ni queue ni tête. Tout comme ma vie d'ailleurs.
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MessageSujet: Re: Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver.   Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. EmptyJeu 25 Aoû - 16:10

Je me demandais parfois si j'aurais le courage de parler de tout ça à ma femme. Ce simple mot me faisait frisonner, bon dieu ce que je pouvais être égoïste. J'étais un homme de la pire espèce trompant une femme parfaite avec un homme parfait. Je serais sans doute mort dans une ancienne époque. A une époque j'avais aussi connu la déception amoureuse. Je vivais encore en Italie dans notre maison familiale. J'étais un garçon assez impatient et déjà bien dragueur à cet époque, je ne collectionné pas les femmes comme des jouets mais j'aimais assez m'amuser et profiter de la vie comme tout les hommes de mon age je supposais. Ma petite amie de l'époque était une petite brunette qui vivait à quelques mètres de chez moi ; Anna était une jeune femme pleine de vie déjà promise à un grand avenir. Nos parents étaient de bon amis et passaient quasiment tout leur week end ensemble il était tellement facile d'être semblable et d'être amis et parfois un peu plus. En réalité pendant de longues années elle avait obtenue toute la confiance qu'elle aurait pu avoir de ma part, l'homme dragueur que j'étais ne voyait que par elle malgré que j'étais à l'époque encore un " enfant " mais Anna était tout ce dont j'avais besoin, une amie présence, de la bonne humeur et un visage angélique. Nous avions commençait à sortir ensemble au secondaire, comme deux gamins flirtant doucement l'un avec l'autre comme deux gamins se découvrant doucement l'un l'autre. Je pouvais dire que ce petit brun d’énergie fut mon premier amour, celui d'un garçon naïf mais au fond je ne regrettais aucun de ces moments. Premier amour et premier coeur brisé quand elle était parti avec un autre copain. Avec le recul je ne lui en avais pas voulu d'avoir découvert d'autre chose, nous n'étions que deux gamins après tout. Mais en rencontrant Elisa toutes ces choses me semblait tellement futiles, l'amour que j'avais pour elle était plus fort que tout ce que je pouvais possédais. Elle était tellement parfaite que je pensais parfois que c'était un ange tout droit sorti des dieux et j'avais tant pensé ne pas la mérité jusqu'à ce qu'elle pose ces mains sur moi.

En dehors de ça Pacôme agissait sur moi comme une équation chimique. Je ne m'imaginais pas vivre sans lui en toute réalité. J'avais eu tant de fois la possibilité de lui dire non, de mettre un terme à notre relation et à toutes ces choses que nous vivons ensemble dans le dos de femme qui me voyait sans doute comme la personne la plus honnête et la plus douce que le monde ai porté mais en réalité j'étais assez loin de ça et je me demandais si elle se doutait parfois. J'inventais des histoires en tout genre, rendez vous d'affaire, affaire à l'étranger pour trouver un moyen de passer quelques nuits auprès de Pacôme mais j'en avais tellement besoin. Dans ma cuisine enfin dans notre cuisine à Elisa et moi nous jouions à un petit jeu que je n'avais pas envie d'arrêter. Mes mains se baladant doucement sur son corps s'attarda,t doucement sur des petits bout de lui qui me rendait assez dingue et à cet instant précis je désirais une chose, ces lèvres. Je les fixaient pendant un long moments me demandant quand il allait se décider à me voler un baiser, impatience quand tu nous tiens. Je ris doucement " Me sécher les cheveux ? Et si tu m'embrassais plutôt ? " je n'avais pas vraiment envie d'attendre ces lèvres et je rêvais de cet instants depuis plusieurs longues secondes. Bien sur que je le provoquait un peu mais je mourrais d'envie qu'il se lâche un peu " Alors tu te décide ou tu veux que je t'apprenne les bases de la médecine ? " je restais assez calme en réalité même si à l’intérieur c'était le bouillonnement.
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MessageSujet: Re: Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver.   Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. EmptyDim 28 Aoû - 20:30

    Pacô Et Léandre ♥

    Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Thlouisprades1Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Norl34Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Louis013Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Victor14Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Louis014Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Norl76
En prenant mon courage à deux mains, comme-ci en l'occurrence ma vie était en danger, je bu une gorgé de ce café. Certes, il devait-être délicieux, mais personnellement je le trouvais amer et dénué de goût. Le sucre. Voilà ce qu'il manquait et qui manquerait encore et encore à mes sensibles papilles gustatives. Je me forçais a adopté une expression plutôt passible que dégouté. C'était d'une impolitesse incongrue que d'oser prétendre que son café était peu exquis. Ceci dit, d'une certaine manière j'étais drôlement ridicule. Je me prenais la tête pour une malheureuse tasse de café, alors que l'homme de mes rêves, l'homme dont j'étais certainement amoureux. Du moins, je l'étais et non pas certainement, me demanda avec une infime délicatesse et d'une surprise peu attendue de l'embrasser. Comment voulez-vous que je refuse? J'étais dingue de lui. Dément de sa façon d'être, de ses mimiques, de son parfum, de sa bouche et de son corps si joliment dessiné."Me sécher les cheveux ? Et si tu m'embrassais plutôt ?" Certes, il pouvait me donner autant d'ordre qu'il le désirait, j'étais capable de tous les accomplir sans broncher un mot. Hypnotisé, ou peut-être trop fier d'avouer qu'il exerçait une sorte d'envoûtement presque étrange sur moi. Je me laissais vaguement aller par le fils de mes pensées. Alors que ces mains touchaient le long de ma colonne vertébrale, je me voyais déjà bousculé par des envies d'ailleurs et d'autres choses. Mon front frôla le faut de sa tête. Je sentais encore ses cheveux mouillés. L'odeur de son shampooing. Son odeur. Celle qui restait imprégnée sur l'oreiller. Cette fameuse odeur qui me berçait aussitôt la nuit et qui me réveillait avec le sourire le matin. J'avais beau avoir vu tout de lui. Ces défauts ainsi que ces qualités, mon cœur battait la chamade de nouveau. Il battait comme-ci j'allais étouffer. En effet, cela allait sans doute recommencer sans cesse. J'étais perdu, incontrôlable lorsque j'étais près de lui. Je n'avais toujours pas pris l'initiative de poser mes lèvres sur les siennes. J'étais d'un naturel pensif, égaré par l'amour que je ressentais pour lui. Je me détestais. Comment pouvais-je autant rêver de cet homme en face de moi, sachant qu'il appartenait à ma sœur? Mon âme était vouée à l'enfer sans aucun doute. Je n'avais nullement besoin de me confesser ou de prêcher la parole de Dieu. C'était hélas bien trop tard. Depuis les nombreuses secondes ou mon corps n'avait fait qu'un avec le sien. Mes mains étaient parcourus de léger frissons insaisissable. Elles avaient finis par s'abandonner sur la colonne vertébrale de Léandre en traçant de longues lignes imaginaires pour ensuite se bercer contre ses hanches. Divin. Cet homme était tout simplement parfait à mes yeux. Son corps me le rappelait sans cesse. "Alors tu te décide ou tu veux que je t'apprenne les bases de la médecine ?" Fougueux et impatient cet Apollon réussissait toujours à me faire rougir. Les bases de la médecine...Tiens donc. Un profond sourire s'afficha lentement sur mes lèvres. Le regard vaguement perdu dans ces yeux, je murmurais allègrement. "Tu es un homme décidément impatient. Peut-être un peu trop téméraire aussi." L'attirant contre moi, sans même tenter le diable et savourer le goût sucré de ses lèvres, je laissais avec délice et satisfaction l'irritation le ronger peu à peu. Mon nez toucha le sien, quand à mon souffle il se logea le long de sa nuque. Ma bouche s'évertua avec plaisir à donner de nombreux baiser sur les creux de son coup. Sa peau avait avec certitude un goût de miel. Je me sentais désireux d'aller plus loin, mais j'avais longuement réfléchis. Aujourd'hui, j'allais être raisonnable. Je m'imaginais mal finir nu sur la table de la cuisine avec Léandre sur moi. Bien entendu, cela était tout bonnement orgasmique, voir carrément tentant de se laisser faire par cet homme. Mais mon faux côté innocent se jouait de moi. Il réclamait un baiser. Seulement un baiser. Mon esprit devenait une sorte de débauche malsaine dont j'avais immédiatement honte. La tête légèrement baisser, le regard planté sur la serviette de Léandre, je me demandais avec satisfaction ce que cela pouvait bien faire si je tirais dessus. Une sorte de pochette surprise alléchante. Quel homme vicieux j'étais devenu. Pourtant cela m'amusait en quelque sorte. J'étais devenu aussi dévergondé qu'une nymphomane. Peut-être un peu moins à vrai dire. Rusé ou non, je jouais mon jeu à la perfection. Me délectant de mes préoccupations personnelles, et de cette fameuse serviette blanche, je retrouvais mes esprits saints avant de frôler aussi infiniment que possible, les lèvres de mon amant. Une simple caresse rien de plus, rien de moins. Je me détachais de lui avant de lui adresser de façon narquoise et d'un sadisme surélevé. "Tu devrais aller te sécher les cheveux. Tu vas tomber malade. Je déteste me répéter. Quand aux bases de la médecine, je pense que tu as fait ton travail correctement mon chou." Un clin d'œil révélateur, et je me voyais déjà assis sur le canapé, la bouche envieuse et désireuse ne pas être aller plus loin. Mais le visage qu'il affichait était tellement hilarant, que j'étais suffisamment satisfait de mes actes. J'allais le payer certainement. Mais j'en riais d'avance.
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MessageSujet: Re: Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver.   Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. EmptySam 3 Sep - 14:49

Encore une fois je m’étais mis dans une merde incroyable, j’avais presque l’impression d’être un aimant à problème ne pouvant pas m’empêcher de m’attirer des problèmes mais contraire à ce que j’avais pu faire avant cette fois ci ce n’était pas un regret loin de là ou une action que je désirais oublier comme le mari qui trompe sa femme pendant quelques heures pour laisser le délicat amant disparaitre sans jamais ne vouloir le revoir. En toute réalité je ne savais pas du tout à quoi mènerait ce petit jeu de séduction avec Pacôme enfin en toute réalité ce n’était pas du tout un jeu, pendant quelques secondes j’avais cru à un petit jeux de séduction mais à la seconde ou j’avais réalisé cela j’avais direction compris que ce n’était pas un petit jeu de gamins. Il me faisait un effet fou et je ne pensais à rien d’autre qu’a lui à cet instant, mes pensées envers Elisa n’existait plus, j’étais comme coupé du monde dans les bras de ce garçon qui pourtant n’était pas censé être à moi. Je n’avais jamais cru à l’amour et en toutes ces choses, Elisa m’avait appris à aimer autre chose que moi-même, elle m’avait rendu humain et meilleur envers les autres et Pacôme était quand à lui ma tentation ultime, le fruit sacré que je ne pouvais toucher, il était ma pomme d’Adam. Il était désormais trop tard pour faire demi-tour ou pour avoir un quelconque regret, car au fond je n’avais aucun regret, je continuais à penser à lui la nuit quand je n’arrivais pas à dormir, à penser à lui seul dans mon bureau les yeux fermé, souvent seul il était le fruit de mes pensées, je me surprenais même à sourire parfois lorsque mes pensées se dirigèrent vers lui. Je pouvais être vu comme un connard, de toute façon je savais pertinemment que le jour où cela se produirait, ou la vérité éclaterais se serait la seule chose dont les gens se souviendrait par rapport à moi. Bon dieu je suis un être affreux pensais-je alors qu’au fond la seule chose que je voulais c’était déposé mes lèvres sur celle de Pacôme et me perdre dans ces yeux. Je ris doucement à ces paroles, il était un peu jeune parfois mais je voyais en lui autre chose qu’un gamin « La patience est une vertu que je n’ai pas mon cher » en réalité je ne l’avais jamais été, je passais mon temps à râler sous l’impatience, détestant faire la queue au super marché ou encore chez le médecin, préférant de loin faire autre chose que t’attendre. Ma grand-mère italienne et traditionnelle à ces heures perdues répétée toujours que la vie était bien trop courte pour laisser le temps filer, dans ces mots italiens c’était l’une des choses que j’avais retenu. Mes yeux se perdirent dans les siens pendant de longues secondes laissant un silence s’installait que je ne regrettais pas vraiment, je pouvais passer plusieurs heures de suite à me contenter de le regarder. Des frissons parcourent mon corps entier quand ces lèvres se posèrent dans mon cou. Oh douce sensation pensais-je. Je me perdis doucement dans mes pensées pas très catholiques de mon bel amant mais je ne pouvais pas lui résister, même si il me croyait parfois un peu trop macho et fort, un seul de ses sourires me faisait sourire totalement comme si j’étais l’idiot du village. J’attendais mon baiser avec une impatience un peu trop naissante, j’estimais qu’il était temps pour moi de profiter de ça ne souhaiter pas attendre plus que ça, c’était déjà bien trop long mais il ne sembler pas désireux à l’idée de me céder. Son petit sourire me frustra un peu, je n’aimais pas ce petit jeu même si il semblait l’adorer lui mais j’étais un aussi bon joueur « Si tu y tiens, je fini mon café avant » attrapant ma tasse je laissais tombé ma serviette sur le sol, affichant ma nudité sans aucun soucis de pudeur. Appuyé contre le buffet dans ma plus simple nature je fixais ces prunelles en dégustant mon café le plus lentement du monde possible. Provocation. J’approchais du canapé et de lui précisément. Je penchais doucement son corps sur le sien, le frôlant presque « Excuse-moi, je veux juste la télécommande » mensonge évident, je voulais le provoquer comme il venait de le faire et me frôler nu à lui me semblait être le choix le plus judicieux. Je pris place à ces cotés fixant la télévision durant quelques secondes.
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MessageSujet: Re: Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver.   Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. EmptySam 1 Oct - 16:45

    Pacô Et Léandre ♥

    Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Thlouisprades1Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Norl34Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Louis013Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Victor14Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Louis014Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. Norl76

J'attendais sagement que le présent se joue de moi. Ainsi allait la vie dans mon sens. C'était un jeu qu'il fallait amèrement apprécié et écouté sans broncher. Or, avec une évidence conquise j'admirais mon bel Apollon avec ce sourire qui ne cessait de s'étirer sur mes lèvres au fur et à mesure de mes propos taquins. " La patience est une vertu que je n’ai pas mon cher. " Certes, son impatience le rendait admirablement beau et séduisant. J'étais suffisamment futé pour me rendre compte que l'homme que j'aimais n'avais jamais acquis un certain degrés de patience. Voilà pourquoi, avec une taquinerie dévolue, je passais mon temps à le chercher et à accroître son impatience. Mes yeux ne cessaient de le détailler du regard. Oh Grand Dieu comment ! Je rêvais de pouvoir satisfaire mon appétit hautement surélevé. Autant vous dire que j'étais aussi impatient que lui seulement je savais avec un plaisir incongru me tenir aussi sage qu'une image sur ce fauteuil. " Tu es aussi borné que moi mon cher, mais j'admets admirer avec passion ton impatience...Tu es disons si sexy lorsque ta colère te rend sauvagement séduisant. " Je lui adressais un clin d'œil soudain avant de voir sa serviette retombée sur le sol. Tiens dont ? Monsieur Rimbaud voulait donc jouer à cela. Je me mordillais la lèvre inférieure avec méditation, laissant mon regard divagué avec soin sur son corps. Je me demandais naturellement, comment pouvait-il être merveilleusement parfait. Son corps ne faisait que me donner envie spontanément. Ma main s'accrochait avec fureur sur sur ce pauvre fauteuil qui ne m'avait évidemment rien fait. Aussi rusé que moi, malheureusement il s'approchait de moi l'air angélique me frôlant aussi adroitement que possible. Fiou, j'avais la tête qui tournait. Mon esprit était embrumé. " Excuse-moi, je veux juste la télécommande. " Que cherchait-il réellement ? Me faire succomber sans l'ombre d'un doute. Malicieux et dotée d'une lubricité malsaine, je me voyais déjà craqué sous ses avances avantageusement idylliques. " Mon admirable, mon beau Léandre je ne savais pas que tu savais avec élégance te déshabiller aussi vite que moi. Pour le coup, je suis assez surpris, mais tu risques d'attraper encore plus froid. Si c'est la télécommande que tu cherches mon adorable amour, elle est juste devant toi. " Me léchant adroitement les lèvres, de toute évidence j'étais prêt à passer à l'attaque. M'approchant délicatement de son oreille je glissais sous des petits gémissements audacieux ces quelques mots. " Oh Léandre ! Mon beau Léandre je suis sous le charme..." Soufflant ces propos jouer comme un acteur surdoué j'abordais une nouvelle fois une piste plus tentante sans la moindre tenue. Avec une sauvagerie presque incontrôlée je m'emparais de ces lèvres. Je sentais sa langue danser avec la mienne ce qui me rendait impudent téméraire. M'agrippant de toutes mes forces sur ces cheveux, le baiser fut si langoureux, que je me retrouvais avec la langue endormie et atrocement endolorie. Oh si vous saviez comme j'aimais jouer avec sa bouche. Trêve de plaisanterie, je n'en avais pas finis avec lui. Ma passion pour lui devenait aussi féroce que mes sentiments.

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MessageSujet: Re: Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver.   Heureux les amants séparés, qui ne savent pas, qu'ils vont demain se retrouver. EmptyLun 10 Oct - 10:19

J’étais incapable d’attendre, incapable de me tenir un seconde de plus loin de ces lèvres. Ce n’était plus un jeu désormais, je venais de comprendre que c’était devenu bien plus que ça à cet instant précis où j’étais incapable de lui dire non. Mes pensées envers Elisa été totalement oublié et la seule chose à laquelle je pensais était ce garçon et ces lèvres que je désirais tant. Je n’avais pas honte de ce que je faisais du moins pas à cet instant, je voulais l’embrasser pour l’éternité être contre lui et pouvoir être sien pour de long moment. Je souris en entendant ces mots « Hum tu sais que ce que tu viens de me dire me rend assez … Désireux » c’était assez faux en réalité, je n’avais qu’une envie depuis que je lui avais ouvert la porte, rien d’autre ne me faisait plus envie que cet homme. Je ne contrôlais plus rien malheureusement et ce n’était pas une mauvaise chose. Mes mains cassèrent doucement sa joue, passant mes doigts le long de sa nuque, passant ma main dans ces cheveux et ne voulant qu’une chose qu’il me cède. J’avais une folle envie de jouer les tentateurs et je n’avais pas envie de me priver de voir ces réactions. Ce n’était pas méchamment mais j’adorais provoquer ce genre de réaction en lui. Désir « Embrasse-moi » lui soufflais-je. Décidément l’impatiente n’était pas mon fort mais quand elle concerne Pacôme elle l’était encore moins. Allongé à moitié sur lui je souris doucement en voyant qu’il comprenait mes réelles intentions qui était bien sur loin d’une stupide télécommande dont je me fichais totalement, d’ailleurs je me fichais aussi de tout sauf de lui. Mes mains glissèrent sur lui, d’un air coquin. Je n’arrivais pas encore à réaliser que j’étais en train de tomber fou amoureux d’un homme qui n’était pas le mien et encore moins que ce dernier était le petit frère de la personne à qui j’avais promis fidélité, amour pour l’éternité. Je ris doucement à sa remarque concernant la télécommande « Sans vouloir te vexer mon beau, oublie cette télécommande » je n’avais plus envie de me préoccuper de ça désormais et j’aurais assez apprécier qu’il pense à autre chose là tout de suite, par pitié avait-je presque envie de lui souffler. Son souffle dans mon coup me fit sursauter, je ne sentis plus rien sauf mon corps lui obéir et faire tout ce qu’il voulait. J’aurais voulu que ce moment ne s’arrête jamais, je savais que cela était impossible, un jour ou l’autre Elisa apprendrait la vérité et je savais que tout allait changer. Faire un choix me semblait fou mais je venais de comprendre que ma vie sans Pacôme n’avait pas réellement de sens et j’avais besoin de lui-même si ma fierté m’empêchait de me montrer sincère avec lui. J’étais presque sûr qu’il pensait n’être qu’un jouet pour moi, le genre de jouet que l’on jeté après utilisation mais le considérer comme un jouet serait fou. Je prolongeais quelques secondes un baiser que je venais de lui voler alors que mes lèvres glissèrent doucement vers son oreille « Je crois que je suis en train de tomber follement amoureux de vous Pacôme Verlaine » summum du péché, honte la plus totale pour un homme marié mais pourtant je n’avais jamais été aussi sincère avec une personne. En réalité je n’avais jamais dit une tel chose à Pacôme, nous ne parlions que rarement de sentiments et j’avais ce besoin qu’il sache, que j’étais fou de lui, fou amoureux de Pacôme Verlaine.
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