Les derniers beau jour de soleil, arrivaient sur Paris, pour lassait place a un hiver glacial, remplis de neige, de verglas, et d’une température inférieure a zéro. A force d’y vivre, on prend l’habitude, mais le pire c’était d’avoir encore un hiver seul. Le célibat, je crois qu’il m’aime de trop, j’en suis même sur il m’idolâtre, ce n’est pas possible autrement. Le pire dans tout ça, ce n’est pas d’être seule, c’est d’arriver au lycée tout les matins, croisait de nombreuses amis, et les voyant tous heureux en couple, alors que toi tu es toute seule, ou alors voir ton meilleur ami – quand il a du temps pour toi – et l’entendre parler des heures de son petit ami : Léandre. Moi aussi, je pensais, chaque jour, a avoir une chance, de tombé sur l’homme parfait mais ce n’est pas arrivé si souvent. Soupirant, je sortais de mes couvertures, saluant ma grande sœur au passage, et me dirigeais vers la salle de bain. Un rituel, je commence toujours par prendre ma douche. J’enfilais un short, ainsi qu’un petit débardeur. J’en sortais une demi heure plus tard, les cheveux lisses mais attaché en queue de cheval, a cause de la chaleur qu’il faisait déjà. Je pris mon petit déjeunée, et allait manger seule dans ma chambre. Aujourd’hui, je n’avais pas très envie de parlé a Cloé, depuis plusieurs jours nous sommes en froid, la raison : m’avoir reproché de sortir samedi soir.

Au bout d’une demi-heure, je sortais enfin de ma chambre, dans un silence pesant. « Bon, j’y vais. ». Je sortais de l’appartement et partais. Elle pensait surement que j’allais en cours, ou que j’allais bosser comme d’habitude a la boutique, mais pas du tout. Petit un, totalement merveilleux, c’était ma journée de congé, pour une fois contrairement a tout les autres soirs, quand je rentrerais chez moi, au lieu de me dépêchais et de prendre le bus pour rejoindre la boutique, je pourrais enfin m’étaler sur mon canapé, et manger du pop corn comme une grosses morfale. Petit deux, les professeurs se sont mis en grève aujourd’hui, donc pas cours, je n’ai pas tout suivit mais visiblement c’est une grève pour la suppression des postes. Je ne sais pas encore ou j’allais passer la journée. La première chose que je fis, fut d’envoyer un message a Pacôme pour savoir s’il était libre pour passer du temps avec sa meilleure amie, mais non il travail. Donc j’allais passé la journée seule.

Je me dirigeais vers la tour Eiffel, avantage quand elle se trouve au bout de votre rue. Je vérifiais mon sac, j’avais tout de ce qu’il y avait d’important pour une bonne journée au soleil. Je m’arrêtais en chemin, achetant une glace a la fraise et arrivais a la tour Eiffel. Ce qui j’aime le plus la bas, c’est simple, surement le fait de pouvoir s’allonger sur l’herbe qui l’entoure est admiré une des merveilles qui fait l’histoire de la France, quasiment a elle toute seule. Je m’allongeais, posé ma glace a coté de moi, sortais une bouteille d’eau fraiche, ipod, portable et lunette de soleil a la man in black. Je souriais, admirant le ciel et mangeant ma glace, en même temps, faisant très attention a pas en mettre partout. – note a moi-même : manger allongé c’est pas évident -. Je mettais mes écouteurs et partais dans mon monde. « cause it’s a beautiful night, we looking for something dumb to do .. hey baby i think i wanna marry you. ». C’est dingue, comment Bruno Mars, peut m’emporter loin. J’ouvrais les yeux, et comptempler le ciel. Vous avez déjà joué au jeu ou vous devez trouver les formes dans le ciel ? Je trouve ça très drôle. Comme une enfant, je cherchais des formes quand tout a coup, j’apercevais un visage. Je me relevais d’un coup, et sans y réfléchir, renversais ma glace sur mon t-shirt. Avantage de ce beau temps, le maillot de bain en dessous du t-shirt, je l’enlevais, et me retrouvais en maillot de bain, quand tout a coup, je vis Alessio. Le fameux visage que j’avais vu dans le ciel était la. Je m’allongeais sur le ventre, comme si je ne l’avais pas vu, gardant mes écouteurs, et continuant a chanté, comme si de rien n’était.

J’aimais ce genre de moment, c’est quasiment tout ce que j’aime. Le soleil en plein mois d’octobre, tout ça me rappelait Marseille. Si j’étais encore la bas, j’aurais surement un petit ami, c’est même sur. Il serait un beau métisse dans le genre de Bruno Mars, que je l’aime lui. Mais bien sur, dans une journée comme celle-ci, j’aurais sécher les cours, s’il n’avait pas grève, et je saurais parti avec toute ma bandes de copines, bronzé sur la plage, ou se poser tranquillement au calantes avec un bon pic nique, marchait tranquillement sur le vieux port, entourée de tes plus grandes amies, glace a la main, sans s’en mette partout sur son t-shirt. Courir, sauté dans la mer tout habillée, toutes ses choses, qu’on ne peux pas faire en ce moment a Paris. Bien sur il fait chaud, mais entre les cours et le travail, c’est totalement impossible. Dieu, merci. Dieu ? Enfin plutôt monsieur le président de la république. Grâce a ce charmant jeune homme, je peux totalement profité d’une journée ensoilée au lieu d’aller m’ennuyer en cours d’économie et de mathématique. Merci, de vouloir supprimer des postes. Non, enfin pas vraiment mais je me comprends, c’est un con, de vouloir faire ça aux enseignant mais en même temps, les heures de cours en moins, ça m’arrange.

Je regardais, autour de moi, assez étrange, pas grand monde et encore moins de monde en maillot de bain. Au fond de moi, j’espérais qu’Alessio ne m’avait pas reconnu. Etrange, vous me direz, un si beau garçon qu’est ce qui me prend ? C’est pourtant très simple. C’est un garçon charmant, cependant, il y a qu’un seul souci. C’était il y a deux trois semaines, a une des dernières soirées de vacances, ou tout le monde déprime a l’idée de reprendre les cours. C’est la que je l’avais rencontrée, charmant et très beau, on avait tout suite sympathiser, ce qu’il peut paraitre étrange vu mon âge, un flirt, et puis plus rien. Dès qu’il a découvert mon âge, ça la comme qui dirait refroidie, encore pire qu’un sac de glaçon dans notre dos. Je n’avais pas compris, en réalité, je ne comprends toujours pas. Il doit avoir vingt ans et j’en ai dix sept, et dix huit dans quelques temps, enfin en mars mais bon. Je veux dire, de nos jours, dans notre génération y’a pire que ça genre sept ans de différence les trois ans ce n’est pas grand-chose, enfin je trouve après.

Je sentais qu’il se rapprochait petit a petit, alors que j’allais faire genre, de ne pas entendre grâce a mes sublimes écouteur d’ipod, l’un tombait de mes oreilles. Je soupirais, et me retournais sur le dos, afin de voir son visage. Je posais ma main, au dessus de mes yeux, pour pouvoir l’apercevoir. Mon cœur s’accélérait un moment et j’essayais de me calmer. J’affichais un tout petit sourire, j’avoue j’étais un peu gênée en maillot de bain devant lui, heureusement que j’avais encore mon short, mais la ma glace tombé sur mon t-shirt, je ne pouvais pas le remettre. Je regardais autour de moi, et revenais vers lui. « Salut toi, tu va bien ? Tu es pas censé être en cours ? ». Je rigolais et lui lançais un petit truc, comique ? « Non, papa. Je laissais un blanc et reprenais la phrase. Tu connais les mots : grève et suppression de postes ? ». Je le regardais, j’adorais prononcer ses mots encore et encore, quel joie. A quelques semaines des vacances de toussaints on pouvait encore profiter de Paris, du soleil et des glaces. « Euh .. Non, personne. Je t’en prie, installe toi. ». Je me décalais, et lui laissais une place, sur une sorte de serviette sur laquelle j’étais allongé avec un petit sourire.

Je dois avouer quand se moment, j’étais souvent distante avec les garçons. Je ne sais pas trop, pourquoi. Surement après l’histoire avec Matt, ce jeune homme que j’avais rencontré, il m’a dragué, m’a fait croire a une éventuelle relation, et finalement n’a plus donner de nouvelle. J’avais été très affectée par ça, surtout quand j’ai appris qu’il venait de démanger pour l’Angleterre, sans avoir le bon sens de me le dire. Quelques fois, les garçons sont idiots, et franchement ça devient de pire en pire. Heureusement quelques fois il y en a des biens comme Yannie, c’est un garçon adorable ou le mieux de tous, mon meilleur ami : Pacôme. L’avantage avec lui, c’est qu’il ne peut avoir de sous entendu, il est gay. Mais ça reste un homme, un vrai. Vous ne savez pas le genre de garçon, qui passe son temps a se coiffé ou a se maquiller, non au contraire, déjà il se maquille pas. Pour moi, c’est la personne la plus importante de ma vie, que demandez de plus. Enfin, voila, le seul en qui je peux avoir confiance a coup sur.

En regardant Alessio, je me dis que c’est un garçon qui a l’air d’être parfait. Il faut le dire. Beau garçon, pour ne pas dire très beau, musicien, avec un petit accent qui fait tout son charme. Il avait l’air d’être ce genre de garçon a qui on peut faire confiance. Enfin c’est ce que je pensais… Je l’écoutais quand il reprit la parole. J’avais du mal a le croire c’est impossible, il avait l’air de quelqu’un de si charmant. Ce fameux jour, il était encore en couple. Je posais ma main sur mes yeux, essayant de me dire que je rêvais, mais finalement pensais qu’heureusement ça n’a pas été plus loin.. Mais j’aimais entendre des compliments, attirante, superbe. Oh mon dieu c’est vraiment une bonne journée. J’affichais un petit sourire, et tout en regardant le ciel je répliquais doucement.

« Mais, t’en a de la chance toi. Tu peux pas avoir de problèmes, mes parents sont mort ! ». J’avais dit ça, sur un ton ironique, bien sur mes parents étaient mort, mais on aurait pu croire que je le disais avec un sourire, comme si j’étais contente. Non il me manquait beaucoup, mais je préférais me dire que de la ou ils sont, ils me trouvent bien et sont fiers de moi au lieu de penser au pire. Je tournais la tête, vers lui. Visiblement j’avais cassé l’ambiance, je laissais le blanc se faire, mais il reprit très vite la parole. J’essayais de comprendre mais j’avais du mal. J’avais l’impression ce qu’il recherchait c’est une relation libre, et je ne veux pas, ce n’est pas mon genre. Je suis vierge, enfin non, je ne suis pas vierge, vu que je me suis fais violée mais en principe, je préfère croire que je suis vierge, vu que je ne le voulais pas quand on m’a violée. C’est comme si, j’étais vierge a mes yeux.

« J’essaie de comprendre, vraiment mais j’avoue avoir du mal. J’essaie de bien réfléchir a ce que tu dit et je réalise bien. Je suis contente que tu me dises tout ça. J’avoue que moi aussi, j’essaie de t’éviter, parce que tu me perturbe aussi mais surtout parce que j’avais du mal a comprendre, un jour, pote, un jour pas pote enfin voila.. Tu veux quoi ? Alessio, dis moi vraiment ce que tu veux ? ou ce que tu attends de moi. »

J’avais l’impression d’être dans un gouffre sans issue, vous savez ce genre de truc, ou on ne peut s’en sortir, qu’en savant les attentions des deux concernées aux yeux des autres. Je fis un petit sourire, amicale ou plus, je ne sais pas trop a lui de décider. A croire, comme ça si les gens, nous entendaient on se croirait dans une série télévisé de bas étages.

Pendant un instant, un très cours instant tout était différent. J’étais parti dans mes pensés, pensant a mes parents, a mon père que je n’avais pas connu, mort le jour de ma naissance, ce fameux vingt quatre mars qui restera a jamais gravé dans ma mémoire, mais pourtant j’ai l’impression de le connaitre. En effet, Cloé la connu, et quand j’étais petite maman me disait toujours qu’elle était le portrait craché de mon père, que ce soit niveau physique que caractère. Oui, d’après elles et quelques photos, que j’avais vu papa était un brun ténébreux et maman était blonde, donc nous sommes toutes deux comme notre père. Grâce a Cloé, je voyais a quoi ressemblait mon père. Ça devait être quelqu’un d’aimant et d’attentionnée envers sa femme, et sa famille, avec un fort caractère vu celui de ma grande sœur. Je ne sais jamais, comment prendre le jour de mon anniversaire, un accident de voiture a cause d’un homme ivre qui lui a foncé dedans, et il est mort, alors qu’il venait voir sa fille, qui allait bientôt naitre. Du coup, j’avais vécu avec ma mère, mais rien n’avait été pareil. Elle avait changé, c’était devenu une prostitué, qui couchait avec son mac. Bien sur, petit je ne le savais pas, mais je l’ai vite découvert, mais je ne lui en voulais pas, elle faisait tout pour qu’on est une belle vie. Très vite, tout ça a dégénérer quand elle a fait emménager son mac : Jack, a la maison. C’est a treize ans, pendant que maman était parti « bosser », qu’il est entré dans ma chambre, et m’a violée. Pendant deux ans, je n’ai rien dit. A quinze ans, j’en ai parlé a ma sœur, et on s’est enfui pour Paris, sans donner de nouvelles a personne, avec quelques vêtements, sans beaucoup d’avenir. Dès le lendemain, on apprenait dans le journal qu’une femme avait été tué, dans son appartement par son « compagnon ». Cette femme, c’est ma mère, et malheureusement Jack la tué, parce que j’avais pris la fuite avec ma sœur. Il est parti en prison, pendant que nous deux orphelines construisaient leur avenir.

Je revenais a la réalité, quand je sentais Alessio près de moi. Je remettais mes cheveux en place, et continuais a admiré le magnifique ciel que Paris nous montrait aujourd’hui. Oh … Son père aussi était mort, c’est tragique. Je pensais être la seule, dans cette situation, bien sur aucune n’est pareil, je ne pense pas que le sien est mort et que sa mère s’est faite tué, enfin j’espère pour lui. Je souriais, quand même, j’avais l’impression que malgré ça, ma vie était plutôt pas mal, dans l’ensemble. Hormis le fait, d’avoir dix sept ans et de faire une terminale es, plus un boulot dans une boutique de fringue, pour payer le loyer. Bien sur Cloé, aussi faisait la même chose enfin.

« Je suis désole, je veux pas te rendre « me vuelves loco ». Je .. je sais pas quoi te dire. Tu sais, beaucoup de fois, on m’a dit se genre de chose, et ça n’empêche pas les gens de souffrir. Prenons un exemple simple. Bon a mon avis, t’es pu un puceau hein. Bref, tu as déjà du coucher avec une fille, juste pour le bon temps. Tu ne t’es jamais demandé, et si pour elle c’était plus que ça, tu l’aurais donc fait souffrir. , j’étais en train de me perde, dans ma grande argumentation. Je soupirais et reprenais. Tout ça pour dire, que je pense que dans toutes les histoires ont souffre, c’est comme quand on s’engueule avec notre meilleur ami, on souffre alors que ce n’est pas fait exprès. »

Je regardais le ciel, il avait peut être compris ce que je voulais dire après tout, j’espère parce que tout devoir répéter non merci. J’entendais les notes de musiques arrivaient et ça me faisait rire, on faisait souvent ça avec Yannie, normalement la, j’aurais du me mettre a danser et faire le show, mais ce n’est pas Yannie. De plus, je rangeais mon ipod dans mon sac, et écoutais la douce mélodie. Un moment de calme, et de sérénité dans le centre de Paris, c’est bien rare.

En repensant a tout ça, une citation me vint a l’esprit. Je ne sais plus trop de qui elle venait, mais je l’aimais beaucoup, c’est un truc du genre : « on dit toujours que les animaux ne parlent pas, pourtant plus d’un chien m’a dit je t’aime. ». Je trouve cette phrase assez véridique. En effet, beaucoup de personne le disent sans vraiment le penser. Beaucoup d’hommes, juste pour nous avoir dans leur lit, nous feraient la plus belle déclaration d’amour qu’il soit et ensuite nous jettes comme une merde, quand ils ont eu ce qu’ils voulaient. J’avoue que j’avais du mal à croire Alessio. Je ne connais aucun mec, qui ne couche pas sans sentiments. Un mec c’est comme un fusil, pour pas qu’il ait de panne, quand on s’en sert, il faut le nettoyer très souvent. Oui, je sais c’est une comparaison très fine. Pour moi, c’est clair et net, ça n’existait pas. J’étais toujours obnubilé par ce ciel, qui était à vrai dire magnifique. Je ne sais pas pourquoi mais aujourd’hui particulièrement, il m’attirait. On aurait dit un moment d’été a Marseille, enfin même s’il fait plus chaud que ça la bas, mais ici c’est pas mal non plus.

« Dit tu n'es pas entrain d'essayer de me convaincre de donner une chance a notre possible histoire ? Surtout que tu sais que tu me plais ! » . J’avalais ma salive pendant un petit instant. Oh mon dieu. Je venais juste de comprendre, mon monologue, et je me demandais ce que j’allais faire. Je réfléchissais, essayant de trouvé une bonne réponse, vous savez ce genre de réponse, ou on ne bégaie pas, enfin pas un truc du genre fille intimidé, ça ferait bizarre, vous voyez. Surtout que je ne suis pas ce genre de personne. J’affichais un petit sourire, en attendant de trouver une réponse.

« Et si c’était ce que je voulais faire ? ça ferait quoi ? ». je me mordais la lèvre, et lui lançais un clin d’œil. D’un seul coup, je lui prenais sa guitare. A mon tour de jouais. Yannie m’avait appris quelques trucs. Je savais jouer, correctement, en ce moment j’apprenais le piano avec lui. Normal, il doit me faire devenir une rock star. On était parti loin ce jour la, mais en réalité, j’aimerais être une rock star, d’après lui et Pacôme, je sais chanter, alors pourquoi pas en profiter non ? Mais bon, tout ça n’est qu’un rêve, dont je ne verrais jamais la fin, c’est impossible. Je regardais la guitare, la réglé pour le morceau et commençait a joué la chanson que j’adorais en ce moment. Jamais je ne pourrais remercier Yannie de me l’avoir appris. Une des plus belles chansons, que je connaissais au monde. Someone like you, de Adèle. J’avais très envie de chanté, mais j’essayais de me retenir. La fin de la mélodie, arrivait et je lui rendais gentiment sa guitare. Je lui déposais un bisous sur la joue avec un petit sourire. « Merci ». Naturellement, merci de m’avoir prêté ta guitare. Pas autres choses enfin quoi d’autres ?

Je souriais, et sans le vouloir, je posais ma main, sur la sienne. Je le regardais dans les yeux et retirais ma main. Puis je revenais en regardant le ciel. On se croirait dans un film romantique.

J’adorais joué de la guitare, tout ça grâce a ma loute de Yannie. D’habitude, c’est les garçons qui aiment ça. J’avoue que souvent je craque sur les musiciens, et tout ça. Vous savez, ce genre de garçon romantique et classe en même temps. C’est charmant, et adorable, enfin bref. Ce n’est pas trop le moment, de penser au garçon charmant. Je regardais Alessio, avec un petit sourire, je me mordais la lèvre, et retournais la tête, histoire de ne pas me faire grillée – bah oui, je matte hein -. Mais dans ma tête, tout se chahutait, je voyais son visage partout, surtout dans les nuages dans le ciel, j’arrêtais donc directement de regarder ses nuages, de merde, pour être polie. Je souriais, et rigolais, en même temps, je ne sais pas pourquoi. Mon portable se mit a vibré. J’affichais un petit sourire, et jetais un coup d’œil dessus. Cloé : Je finis a 20heures, rejoint moi au macdo, ce soir.. Ahahaah, un bon mac do, ce soir. Oui, je suis comme toutes les adolescentes, j’aime manger des cochonneries.

Je voyais Alessio, s’approchais de moi, et quasiment s’assoir sur moi. J’essayais de resté zen, même si mon cœur s’accélérer. Il faut dire que sa phrase d’avant ne m’avait pas beaucoup aidé à me sentir normal. Enfin, pas dans cet état, dirons nous. Je fis un petit sourire, et le regardé. On était assez proche la, et je me demandais quoi faire. Tout est différent, vous voyez la ça aurait été Pacôme, je lui aurais fais un bisou, mais la différence c’est que Pacôme est mon meilleur ami, alors c’est une habitude, mais on n’est pas amoureux, on s’aime mais voila. Non, je suis pas amoureuse de Alessio, pour vous dire, je suis jamais tombé amoureuse alors.. Je me mordais la lèvre, et le regardait. Au bout de quelques minutes, a se regarder comme ça, je m’avançais et l’embrassais pendant un moment, avec un petit sourire, je me décalais et dit en rigolant.

« Voila, maintenant tu sais ce que ça fait d’embrasser Clémence Vanderosieren. Oui, je sais c’est le plus beau jour de ta vie. ». Bien sur, c’était ironique, c’était surement pas le plus beau jour de sa vie, et je n’étais pas aussi sur, de moi pour dire ça, mais je trouvais ça drôle a vrai dire. Je le poussais et me levais, courant dans l’herbe. Non loin, près de l’herbe il y a une sorte de fontaine. J’aime bien y aller, c’est apaisant. Je m’approchais de la fontaine, alors que lui, était encore le bas sur la serviette, si je puis dire. Je trempais mes mains dans la fontaine, et me mouillée, un peu le dos, pour bronzé c’est plus facile quand on est trempée, c’est un truc de fille. Après avoir mouillée mon dos, je revenais doucement vers la serviette.

Je refaisais mes cheveux, et reprenais la route. Je prenais place de nouveau sur la serviette, et affichais un petit sourire. « ça va, tu t’en est remis ? ». J’avoue que ça me faisait rire, c’est vrai il n’avait pas l’air d’avoir bougé, alors. Je m’allongeais sur le ventre, faisant bronzer mon dos, tout récemment mouillée. J’allais faire fureur avec mon sublime bronzage.

J’avais très envie de rire. Je ne sais pas encore pourquoi, mais j’avais l’impression de l’avoir gêné, c’était assez drôle a voir. Pleurer ? De joie ou de tristesse. Je savais bien qu’il rigolait mais plus qu’il se foutait de moi ouvertement, c’était a mon tour, de rire. Je faisais genre de le croire, essayant de verser une larme comme lui, mais visiblement, je ne sais pas parler sur commande. Je suis pas se genre de fille, a savoir pleurer comme ça, sauf si je vois un film triste comme Pearl Harbor, N’oublie jamais, ou le temps d’un automne. Bref, ce n’est pas vraiment le moment de parlé de ça. Je le regardais, puis le ciel, ainsi de suite, sans vraiment savoir ce que je voulais. Rendre accro, quelqu’un ça fait toujours plaisir. Je souriais, après cette phrase, c’est bien la première fois qu’on me dit ça, parce que franchement, j’ai pas embrassé des tonnes de garçons hormis Pacôme, Matt et des gens en soirée, quand on joue aux jeux de la bouteille. Je n’eu pas vraiment le temps de répondre, il s’avançait tellement vite, que je n’eu le temps de réagir. Je m’étais laisser faire, je n’allais pas le rejeter non. Mais contrairement a lui, quand il se reculait, je n’avais pas l’air choqué. Je lui fais un petit sourire et m’allongeais sur ma serviette a nouveau, plaçant ma main sur mes yeux, afin de mieux voir.

Oh mon dieu, il était très musclé, hallucinant. Des abdos, comme on les voit dans les films américains du genre comme Brad Pitt, dans Troie, quand il fait Achille, il me fait fondre, avec ses longs cheveux blonds. Sinon je préfère les cheveux cours mais lui. En même temps, qui n’aime pas Brad Pitt, impossible. Je le regardais avec un sourire et continuait de bronzé, doucement. Je devais lui dire, quelques choses, mais je ne savais pas vraiment comment lui dire. J’avais peur qu’il le prenne mal alors que ce n’était en rien méchant

« Alessio …je .. Je peux pas être a toi. Tu vois, j’appartiens a personne. Même si on est en couple, j’aimerais beaucoup qu’on soit en couple, ce n’est pas le problème, mais je n’appartiens pas a quelqu’un. J’ai ma liberté, et tu as la tienne, je ne suis pas jalouse donc voila mais … Je ne sais pas si tu comprends tu vois. Je suis ta petite amie, mais je suis en rien comme ta propriété privée tu vois… ».

Tout ça paraissait confus dans ma tête, et je ne voulais en rien du tout, qu’il le prenne mal. Ça me ferait passer pour la méchante de service, alors que je ne le suis pas du tout. Je veux dire, on appartient a quelqu’un quand on est marié, mais pas qu’en on est que en couple, on n’appartient pas a la personne. Je ne suis pas le genre de fille soumise, voyez vous… Je le regardais et essayais de voir ce qu’il en pensait avec ses expressions sur son visage, mais je n’y voyais pas grand choses.

« Enfin, si tu veux de moi comme petite amie … ».

Je souriais, et continuais a bronzé, laissant la main près de mes yeux, afin de ne pas avoir mal aux yeux. J’avais peur, mais peu de gens peuvent comprendre, appart Pacôme. J’avais hâte de le voir, pour lui raconter tout ça, il me parlerait de Léandre et enfin je pourrais répliquer moi aussi.

La chaleur, j’en pouvais plus. Je regardais mon haut, remettant bien le haut de maillot de bain, en réalité c’est un bandeau rose fluo, mais vraiment magnifique. Je regardais ensuite, mon ventre, si j’avais grossit, je soupirais, regardant mon ventre, ark, ce n’était pas très beau. Heureusement, que j’étais bronzé, ça faisait tout ressortir. Je tapotais ce petit ventre, qui me perturbais tant, je sentais encore mes petits abdos, en dessous, alors je souriais, doucement. Les gens devaient vraiment me prendre pour une folle, c’est dingue. C’est comme si je parlais a une personne imaginaire sauf que la je comptemple mon ventre. Je tournais ma tête, et regardais Alessio, pour voir, s’il avait compris, ou bien s’il ne voyait pas, que je regardais mon petit bidon. Personnellement, je préférais qu’il ne capte rien, mais bon ce n’est pas moi qui décidais alors.

Je souriais et n’eu encore le temps de réagir lorsqu’il m’embrassa de nouveau, je me mordais la lèvre, après qu’il s’est reculais, et remettais mes cheveux en place. – Oui, c’est un toc, une habitude, je suis tout le temps en train de remettre mes cheveux en place, et me morde la lèvre, surtout après qu’on m’embrasse, c’est un reflex. On m’a souvent dit que beaucoup de garçon trouvait ça sexy, et que ça les faisaient fondre, mais ça ne m’est jamais arrivée a moi -. Je me demandais, si on était mignon. Je veux dire par la, quand les gens nous regarde, ils nous trouvent charmant, adorable, mignon ou tout simplement le couple gnagna. Je ne veux surtout pas être ce genre la, je trouve ça trop horrible. Je ris, un petit peu, lorsque son accent lui jouée des tours.

« Tu y es presque. C’est une proposition, tu me demandes d’être ta petite amie ? Parce que si c’est le cas, je dirais oui, tout de suite mais si ça ne l’est pas je ne dirais rien et tu feras comme si, tu n’as rien entendu. »

Je lui fais un clin d’œil, et le vit partir doucement, je souriais, et reprenais ma place allongée posément sur le sol, je passais mes mains sur l’herbe qui a mon avis venait d’être tondu, on sentait cette odeur, d’herbe coupé, il y a peu, j’aimais beaucoup cette odeur, on pourrait se croire en été et j’adore l’été. Je souriais, quand il revenait, son petit geste de bras, me fit compris le message qu’il essayait de faire passer, mais je ne savais pas trop quoi faire. J’hésitais pendant un moment, et m’avançais un peu plus vers lui, puis finalement je me posais doucement sur son torse, près de lui. Mes cheveux allaient être mouillée, mais tant pis.

« Jaloux ? ». J’avoue que sur le coup, je fus choqué. Je regardais autour de moi, j’allais devoir venir au sujet phare de la conversation. Je prenais une grande respiration. « Bon, vu que tu es jaloux, autant que je te le dise tout de suite. Il y a un garçon qui a la place la plus importante dans ma vie depuis un long moment. Il s’appelle Pacôme, il est très beau, charmant, attentionnée, adorable avec moi. C’est mon meilleur ami, je passe beaucoup de temps chez lui, quasiment tout mon temps libre en réalité. J’ai déjà dormis avec, pris des douches avec, enfin moi j’étais en maillot de bain, je l’ai déjà embrassé, je l’appelle mon bébé, ou mon amour. On se fait tout le temps des câlins et quand je vais pas bien, c’est a lui que je parle. Voila, tu le sais. Maintenant va falloir t’y faire, parce que ma relation avec Pacôme, ne changera jamais, mais alors jamais. Et si tu l’aimes pas, je ne pourrais pas rester ainsi, il gagnera toujours. » Je le regardais et souriais, j’espérais qu’il ne le prenne pas mal, vraiment. C’est vrai, Pacôme est trop important pour moi, et jamais personne n’a réussit a nous séparer et ça n’arrivera pas maintenant. Je regardais Alessio et répliquais. « Oh, j’ai oublié de te dire .. Il est gay. ». Bien sur que oui, Pacôme est gay, mais franchement ça ne me dérange pas le moins du monde, maintenant j’espérais encore une fois qu’il ne soit pas homophobe ou quoi.

« Bah écoute, je sais pas, on m’a jamais dit ça. Alors je dirais que mon truc c’est d’être naturel. Ça marche comme réponse ? » Je souriais, je ne savais pas quoi dire c’est bien vrai on ne m’a jamais dit ça. Jamais on m’a dit que je perturbais les gens … Je regardais, autour de moi et souriais a l’entente du mot « petite amie ». C’est beau, surtout avec le petit accent sexy. J’entendais alors, le mot : « enfance ». J’essayais de détourné la conversation vers un autre sujet, il savait déjà que mes parents étaient mort, je n’allais pas non plus lui dire, que je m’étais fait violée, que je me suis enfuie de Marseille et autres. Surtout pas la première fois, qu’on se parle vraiment. « Mes rêves, c’est idiot, mais j’aimerais devenir une rockstar. J’ai un ami Yannie, qui m’apprend a jouer de la guitare, piano et il trouve que je chante bien donc voila mon rêve, sinon je vais être psychologue je pense .. Et toi ? ».

Plus j’y repenser et plus tout ce que j’ai dit, personne ne pourrait un jour me séparer de Pacôme. C’est comme dans le film « jeux d’enfants » c’est quelque chose de tellement fort que personne ne peut le détruire, c’est une évidence a lui tout seul, c’est juste la personne incroyable. Bien sur, on n’ira pas finir comme dans le film. Non, aucun de nous deux veut finir dans une cuve ou le béton va couler et finirons par mourir. J’avoue que la scène de la fin, me fait toujours un truc que je ne peux expliquer, quand il s’engouffre dans le béton a prise rapide, on comprend que leur rêve va se réaliser, c'est-à-dire d’avoir un amour qui jamais ne se détruira. C’est pour ça, qu’il s’embrasse avant de ne plus pouvoir respirer. Bien sur, je n’allais pas sortir avec Pacôme, mais si un jour, il devait mourir, je ne sais pas encore ce que je ferais. J’aurais du mal a vivre sans lui, c’est mon évidence, la seule partie de moi, qui me connait entièrement sans me juger. C’est mon meilleur ami et ma plus grande fierté.

Je regardais Alessio, je venais de me rappeler, Pacôme était bi, mais plus avec des tendances gay. Normal, sinon il ne serait pas avec Léandre, même si je le déteste voila. En réalité, je le déteste pas, le seul truc c’est qu’il est étrange et qu’il me prend petit à petit mon meilleur ami, surtout trop. Je n’aimais pas ça, le problème avec moi c’est que je suis une grande possessive mais que envers Pacôme, comme si c’était obligé. Je souriais, déjà pour lui j’étais parfaite, j’aurais préférer sois qu’il ne le voit pas soit un tu es belle, mais parfaite ça fou la pression. On met un mannequin a coté de moi, du genre Barbara Palvin, je ne fais pas le poids. Mais j’avoue que je trouvais ça assez mignon de sa part. Je souriais une deuxième fois, et encore grâce a lui. Je le regardais et attendais qu’il finisse sa phrase.

« Mais bien sur, je suis ta petite amie. C’est évident. ».

Je tournais ma tête, regardant de nouveau ce magnifique ciel, qui me rendait joyeuse. Je sais, je suis perturbais par un ciel, mais que voulez vous j’adore le ciel ça me fait penser qu’a n’importe qu’elle moment de notre vie on peut s’envoler vers la liberté et un rêve encore inconnu pour l’instant. Le ciel c’est comme la colombe pendant la guerre, c’est le synonyme de la liberté, et de la réalisation de soi, de ses rêves, de ses espoirs. Je le regardais et entendais une sorte de soupir de soulagement, a propos de Pacôme surement. Je le regardais et entendait le nom Camille, je me rappelais en connaitre une, et je l’adorais c’est une personne charmante et vraiment adorable, je l’aime beaucoup. Mais est-ce la même ?

« J’espère que ça te dérange pas que Pacôme soit gay ? . Je laissais un petit blanc et revenais doucement a reprendre la parole. Camille, c’est Camille Duchemin ? »

Si c’était elle ça serait totalement génial. J’ai confiance en elle, c’est une personne charmante, alors. Encore heureux, qu’ils ne connaissaient pas mes amis. J’ai une bande et une bande d’amis qui déchire par-dessus tout. On peut y trouver Pacôme, Ella, Aaron et Cheshire, sans m’oublier bien sur. C’est simple, je les adore tous. Je souriais, quand il m’apprenait son rêve, aussi étrange que cela puisse être, nous avons le même rêve, mais surtout mon plus grand rêve était simple je voulais juste donner un sens a ma vie, aider les gens en me disant lors de ma mort, que ma vie sur terre, aura aider des vies et que j’ai quand même changer le monde a ma façon.

« J’adorais beaucoup, mais je sais quasiment joué et Yannie est mon ami, je peux pas lui faire ça. Soyons réaliste, si je suis avec toi, je préfère t’embrasser, te prendre dans mes bras, que plutôt apprendre a jouer quelque chose. Tu vois ? J’aimerais mieux t’avoir dans mes bras, que jouer de la guitare avec toi. »

J’allais me lançais dans une relation étrange, il n’a pas l’air d’avoir du temps pour moi, et avec mon travail on allait ce voir peu souvent. Je passe mon bac, plus mon job sans oublié ses études et mes amis, Pacôme, Camille enfin tout ça quoi. Je gardais le sourire, quand même. Je ne sais pas pourquoi, j’étais heureuse ici mais bien sur je n’étais pas amoureuse. J’avais des sentiments pour lui mais je ne pense pas que j’étais comme les autres amoureuses. En même temps, ça ne met jamais arrivé, jamais au grand jamais je ne suis tombé amoureuse, j’ai jamais eu de petit ami et tout ça a cause de Jack, de mon viol. J’avais l’impression qu’a ce moment précis, je pouvais enfin passer au dessus de tout ça.