nom complet ▲ ERWAN ERIC DUBOIS lieu de naissance ▲ DANS LA PROVINCE DE QUÉBEC DANS LA VILLE DE QUÉBEC âge ▲ VINGT-TROIS ANS nationalité ▲ CANADIEN diplômes, études ▲ DIPLÔME À L'UNIVERSITÉ LAVAL EN CRIMINOLOGIE ET DIPLÔMÉ DE L'ACADÉMIE PARAMÉDICAUX DE QUÉBEC métier ▲ PARAMÉDIQUE (AMBULANCIER) statut matrimonial ▲ CÉLIBATAIRE DEPUIS DEUX ANS orientation sexuelle ▲ HÉTÉROSEXUEL situation financière ▲ AISÉE, MAIS CECI NE M'IMPORTE PEU... idole(s) de vie ▲ MON PÈRE, ANCIEN OLYMPIEN EN PATINAGE DE VITESSE ET TRIPLE MÉDAILLÉ D'OR nombre d'amis facebook ▲ J'EN AIS BEAUCOUP TROP moyen de déplacement ▲ MA AUDI Q7 ET MA BMW groupe ▲ UN AUTRE MONDE avatar ▲ TYLER SEGUIN crédits ▲ SUMMER-LOVE

premier point ▲ Je suis un homme qui a beaucoup de patience, mais parfois, je suis capable de me frustrer assez rapidement lorsqu’il y a quelque chose qui ne fait pas mon affaire. Je ne veux pas dire que je suis un chialeur, mais je ne me gêne pas pour laisser savoir à quelqu’un que quelque chose ne fait pas mon affaire.deuxième point ▲ J’ai un grand amour pour les animaux. Je n’avais jamais eu la chance d’avoir un chien lorsque j’étais jeune et je me suis gâté en achetant un Labrador Brun. Il apporte de la vie dans ma maison et surtout que ma mère est heureuse de voir que je me suis trouvé un ami que je n’ai jamais eu lorsque j’étais petit. troisième point ▲ Je suis un homme très protecteur. Pas simplement parce que je suis un paramédique, mais après que ma copine ait perdu la vie après son cancer, je me sens très protecteur envers les personnes que j’aime le plus au monde. quatrième point ▲ J’ai un talent cacher. J’aime beaucoup le dessin et la musique. J’ai appris à jouer de la guitare à partir de cinq ans avec mon père. Il était un bon joueur de guitare et avec tout ça, j’ai commencé à dessiné. Je ne croyais pas avoir un talent de ce genre, mais beaucoup de gens me demande de leurs dessinés leurs tatouages tellement que je suis talentueux. Ceci m’encourage à ne pas avoir peur des stéréotypes parce que je suis content d’avoir ce côté mystérieux. cinquième point ▲ Ma mère était une bonne cuisinière et elle va toujours l’être parce qu’elle m’a montré tous ses secrets farfelu pour que je puisse bien me débrouiller ici à Paris. sixième point ▲ Je suis un grand sportif. J’ai toujours aimés les différents sports, mais le hockey a toujours été mon sport préféré. septième point ▲ J’ai un caractère assez spécial lorsque que je commence à travailler. Mon employeur en demande beaucoup de m’a part parce qu’il est impressionné par les études que j’ai pris et surtout du travail que je fais dans la vie de tous les jours. J’ai le caractère du bon cop/bad cop, mais je n’ai pas peur d’être toujours le bad cop. huitième point ▲ J’ai un très bon sens de l’humour et surtout lorsque ma sœur me demande de lui remonter le moral. Il n’y a pas simplement ma sœur, mais j’aime faire le clown et surtout pour apporter une atmosphère différent au travail. neuvième point ▲ J’aime beaucoup les défis. Je ne suis pas une personne qui va être paresseux et je ne prends pas la vie à la légère parce que j’aime apporter du changement dans ma vie. dixième point ▲ Je suis une personne qui est très curieux et je ne laisse jamais les choses passés lorsque je suis curieux, car je dois absolument trouver le problème et de le régler au plus vite.

Québec, ma ville natale située dans les provinces de l’Est Canadien. Il n’y a que mes parents qui ne sont pas originaire de cet endroit. Tous les deux provienne d’une île fantastique dans le coin de l’Océanie. On parle de l’autre bout du monde près de l’Australie. La Nouvelle-Zélande est l’endroit que mes parents ont vécu tous leurs vies avant de déménager ici au Canada. J’étais curieux lorsque j’étais jeune. Curieux de savoir pourquoi je n’ai pas le même accent que mes parents. S’était évident qu’il ne venait pas du même pays lorsque j’ai posé ma question à mon père qui était surpris de l’endroit aussi. Ma mère m’avait répondu avec franchise et surtout avec un ton de joie dans sa voie. Moi et mon frère aîné, nous étions impressionnés. Faut croire que ce dernier n’avait pas remarqué l’accent dans la voie de mes parents. J’ai grandi au Québec dans la ville de Québec. Nous étions capable de voir sur l’île d'Orléans et l'île de l'Evie, mais quand on est jeune, on ne sait pas encore faire la différence. La saison hivernale était celle que j’aimais le plus parce que je pouvais jouer au hockey sur la patinoire que mon père fabriquait chaque hiver. Mon père m’avait impressionné lorsqu’il m’avait dit qu’il était un ancien Olympien lors des Jeux Olympiques. Le patinage de vitesse était son sport favori. Il avait tous les talents requis pour ce genre de sport, mais moi s’était le hockey avec mon frère. Il est devenu entraîneur de l’équipe de la Nouvelle-Zélande après sa retraite. Ma mère ne voulait pas le voir rien faire et il a aussi décroché un contrat pour enseigner se sport à des jeunes ici à Vancouver. Ma mère est enseignante dans une Université. Sa spécialité est l’histoire. Si ça ne serait pas de tous les romans que ma mère à publier, je crois que je n’aurai pas aussi bien dormir lorsque j’étais gosse. Lors de mon adolescence, je me suis fait extrêmement mal au hockey. Mon coéquipier n’avait pas fait exprès pour m’avoir coupé le tendon d’Achille, car un joueur de l’équipe adverse l’avais plaqué sur moi très brutalement. J’ai eu mon premier tour d’ambulance pour la première fois et j’avoue que je n’avais jamais pensé en faire de cette expérience mon emploi à temps plein. Ma mère trouvais que s’était une bonne et mon frère m’avais encouragé parce qu’il voulait lui aussi faire partie de mon monde. Je lui ai dit de ne pas se faire mal comme moi, mais il ne m’a pas écouté en se fracturant le tibia en jouant lui aussi au hockey. Nous avions fréquenté la même académie, car mon frère avait attendu que je sorte du secondaire pour prendre le cours ensemble et nous avions pris un cours de criminologie à l'Université Laval et ceci était simplement sur un coup de tête, mais on avait quand même une mentalité très avancé sur la matière. Moi et mon frère nous sommes très proche et j’aime la complicité que nous avons tous les deux. Ceci donne moins de trouble à mes parents pour la discipline. Après avoir passé deux ans à l’académie, mes parents ont voulu déménager en France avec nous. Ma mère avait signé un nouveau contrat, car il manquait des professeurs à l’Université et mon père avait ouvert son école de patinage de vitesse. Un endroit aussi pour que l’on puisse jouer au hockey, car il avait pensé à nous. Par contre, il fallait recommencer nos cours pour devenir paramédique. Ceci ne m’a pas déranger parce que j’avais déjà une bonne base pour en ressortir tout préparer. Je n’habite pas chez mes parents. Je me suis trouvé une belle maison près du centre-ville de Paris pour ma propre intimité. Comme vous le savez, à Paris ont trouvent toujours l'amours, j’ai fait une belle rencontre avec une jolie demoiselle. Céline et moi avions habité ensemble pendant deux ans. S’était le pure bonheur et maintenant, elle protège la maison avec ses ailles d’anges.