► OOH LA LA PARIS.
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
ooh la la paris, réouverture. 02/11/14.
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez
 

 (napoana) + des oursons à la guimauve.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Caetana Jordão
membre
Caetana Jordão
✧ ÂGE : vingt-deux.
✧ JOB : danseuse dans une troupe.
✧ COEUR : fragile.
✧ MESSAGES : 536
✧ HERE SINCE : 03/12/2012

(napoana) + des oursons à la guimauve. Empty
MessageSujet: (napoana) + des oursons à la guimauve.   (napoana) + des oursons à la guimauve. EmptyVen 17 Mai - 3:34

Il est minuit et ce soir comme beaucoup d’autres soirs Napoléon doit venir dormir avec toi, tu ne saurais pas encore qualifier votre relation, tout ce que tu sais c’est que c’est plus que de l’amitié. Pourtant tu ne peux pas aller au-delà, du moins pour l’instant, t’aurais trop l’impression de trahir Max, puis non tu ne peux pas, non t’as pas le droit. Tu te déteste de penser à ça, une larme coule sur ta joue, tu l’essuie avec ta manche. Tu ne sais pas quand il va arriver, alors tu te dépêches de te changer les idées. T’ose pas allumer la télé, tu n’aimerais pas que Tiago se réveille, tu sais bien qu’il t’en voudrait de savoir que tu ramènes des mecs à votre appart en cachette, pourtant t’as pas envie de lui présenter Napoléon du moins pas pour l’instant, tu ne sais même pas si il se doute déjà de quelque chose, t’espère juste que ce n’est pas le cas. Le silence est pesant alors tu décides tout de même de tenter le tout pour le tout, t’allume t’as télé que tu baisse au maximum sans prendre le temps de changer de chaîne auparavant, il y a des choses étranges à cette heure-ci de la nuit.
Tu regardes ta téléphone, pas encore de message de Napo pour te prévenir qu’il arrive alors tu te fous sur ton lit, t’attrapes un bouquin que tu feuillettes, tu le pose t’as pas envie de lire, non pas ce soir, t’as pas la tête à ça, t’allumes une clope, tu tires un latte, tu la poses dans le cendrier, tu l’oubli, elle se consume, la fumée inonde la pièce et tu la récupères avant qu’elle se termine, tu tires une latte et tu l’écrases. Quand t’es seule tu penses trop et là c’est ce qui est en train d’arriver, tu sors de ta chambre a pas de souris, tu sais que le meilleur moyen pour ne plus penser c’est l’alcool alors même si ça fait pitié de boire seule dans sa chambre tu t’en tapes, ce n’est pas comme si t’allais t’enfiler la bouteille toute seule. Tu te sers un verre, tu fouilles dans tes vieilles cassettes, un de tes vieux galas de danse quand tu vivais encore en porto, tu t’assois par terre appuyée contre le lit, tu bois ton verre, tu t’allumes une clope, tu te regardes danser, ça te fais sourire.

Un message sur ton téléphone, Napoléon va bientôt arriver, tu te dépêches de finir ton verre et tu ramènes la bouteille dans la cuisine tout aussi discrètement qu’à l’allé, ça t’arrange qu’il arrive, tu sais pertinemment que si il n’était pas arrivé t’aurais continué de boire et il t’aurait sans doute trouvé dans un sale état. T’as pas envie de ça, t’as pas envie qu’il te juge ou bien même qu’il te prenne pour une alcoolique qui noie sa peine dans la vodka en regardant des vieilles cassettes. C’est tellement pathétique. Il y a des jours comme ça, où tu te foutrais des claques. Ton téléphone vibre une nouvelle fois, il est là, tu sors encore de ta chambre sur la pointe des pieds, si Tiago se réveille tu es morte t’en es sûre. T’ouvres la porte Napo est là, tu l’accueille avec un sourire, il a l’habitude, il sait qu’il ne doit pas faire de bruit alors il te suit sagement jusqu’à ta chambre sans rien dire. Tu t’installes sur ton lit, tu le regardes, tu souris. Votre relation tu la trouves bizarre des fois, autant il y a des jours où vous pouvez parler des heures, autant aujourd’hui t’as l’impression que c’est tout à fait le contraire, mais t’aimes pas ça, ce genre de situation te mets mal à l’aise alors comme à chaque fois tu brises le silence d’une de tes phrases des plus banales « Alors ta journée ? bien ? » t’esquisse un sourire et tu lui fais signe de t’asseoir « Je vais quand même pas te prier de t’asseoir à chaque fois. » tu t’allumes une clope une nouvelle fois, tu t’allonges sur ton lit, tu l’allumes, tu regardes Napo, tu souris, t’es bien, c’est bizarre, il te fait te sentir bien, tu sais pas pourquoi, tu sais pas comment, tu ne craches juste pas dessus parce que c’est tout de même putain d’agréable. A croire qu’avec lui la vie n’a pas le même goût, pas ce goût amer qui te donnes envie de gerber tes tripes, un peu comme une douceur, de la guimauve, ou même du chocolat, ou alors peut-être les deux.


Dernière édition par Caetana Jordaô le Dim 19 Mai - 3:03, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

(napoana) + des oursons à la guimauve. Empty
MessageSujet: Re: (napoana) + des oursons à la guimauve.   (napoana) + des oursons à la guimauve. EmptyVen 17 Mai - 22:56

    des oursons à la guimauve.


tu décomposes le temps. tu espères ainsi le réduire considérablement. que les viles minutes qui te séparent de l'heure fatidique s’évaporent, ne soient plus qu'un étranger souvenir. que tu puisses cesser de noyer ta torpeur ainsi que ta terrible attente dans quelqu'autre que rimbaud. et tu t'imagines déjà chez elle! même en son seuil, peu t'en importe, tant que la voir t'es possible ; ton cœur réagi d'une manière que tu as longtemps pensé avoir oubliée. ce soubresaut de jadis t'apparait des temps anciens. l'amour, est-ce bien ce sentiment ? tu te permets de douter. sans doute, n'oses-tu pas l'avouer totalement. aurais-tu tant de crainte quant à une telle vérité ? l'ampleur te ferait-elle tant remonter dans le temps ? tu noies tes peurs dans ces quelques lattes que tu expires. ton esprit confus n'est plus alors qu'un lointain souvenir. les volutes sombres naissent d'entre tes lèvres. à la manière d'une mort d'apparence concrète, mais si volatile. ta médecine achève tes pensées et ta tête se rejette en arrière. tu expies ta douleur dans l'herbe et te voici bien haut, ou si bas! telle est la question. ta raison n'est plus qu'un lâche vacancier, et tu tires à la manière d'un pauvre type en manque. dans l'extrême vérité il n'en résulte guère ainsi. tu n'en as pas vraiment ni le besoin ni l'envie, un simple calmant. même, il te semble avoir entendu ton psychiatre te le conseiller afin que tes nerfs s'apaisent.

tu parles, une main sur le cœur l'autre serrée sur un paquet d'ourson à la guimauve, parait-il que Caetana en raffole. tu espères la ravir, ou du moins la faire sourire. ne serait-ce que le moindre signe de joie de sa part serait pour toi suffisant. l'heure tant espérée pointe enfin le bout de son nez cabossé, et tu t'attèles déjà la rédaction d'un message à son adresse. « j'arrive dans pas longtemps, tu veux toujours bien de moi ? » tu crains de puer cette horreur qui crame le cerveau. l'absinthe des temps déchus. tu t'imagines le vent emporter l'odeur du joint. un faible rictus se dessine alors. puérile réflexion. la faible lueur des lampadaires éclaire, fantomatique!, ta traversée et tu te voies presque comme l'un de ces grands explorateurs. la nuit noire t'accompagne alors, et tu ne tardes guère à apercevoir l'appartement de ta chère amie. n'est-elle pas davantage ? tu fais taire cette voix, et la refoules en ton for intérieur.

un second message. tu lui annonces que tu l'attends, le cœur ouvert. tu occultes la dernière partie afin d'éviter toute ambiguïté. tu crains de faire tout foirer si tu laisses trop tes sentiments transparaître. tu vérifies alors que tu es un brin présentable, et tu t'avoues un peu déçu. les cheveux relevés comme si tu venais de les ébouriffer, un débardeur gris chiné limite trop grand, un slim noir porté un peu bas et des vans défoncées bordeaux. tu as connu davantage d'élégance. elle vient à ta rencontre, et un bonheur innommable te prend alors tout entier. tu as envie de la prendre dans tes bras, de la serrer tout contre ton cœur. tu refoules tes pulsions et n’émet pas le moindre son : le dragon qui dort, tu le crains. dans le silence, vous montez tous deux, toi ne pouvant dévier ton regard de son dos. même une fois dans sa chambre tu ne parviens à t'en empêcher. tu la fixes ainsi, un pâle sourire peint sur le visage. elle s'assoie sur son lit, et toi tu restes planter là. « Alors ta journée ? bien ? » tu sursautes presque, et tu rends compte que tu n'es en train de contempler un rêve. « oui, oui. enfin, j'ai rien foutu. genre, j'ai écrit encore et encore. et j'ai fumé pas mal. et toi ? » tu avoues, détaché. « Je vais quand même pas te prier de t’asseoir à chaque fois. » trop timide pour oser. alors, tu t’exécutes comme un enfant se faisant prier. tu te déchausses puis t'allonge à ses côtés, et tu grimaces à la vue de la cigarette. « de ma part c'est assez hypocrite, mais j'avoue ne pas aimer lorsque tu te niques la santé à coup de cigarette. t'es trop bien pour ça. » tu confesses, protecteur. tu prends alors conscience du présent que t'as trimballé, et tu te campes sur tes coudes, lui présentant le paquet de douceurs. « c'est pas grand chose mais je me suis dit que t'aimais sans doute. puis au pire, si t'aimes pas je me ferais une raison. » ta contemplation ne s'achève guère, et tu surprends à caresser ses cheveux.
Revenir en haut Aller en bas
Caetana Jordão
membre
Caetana Jordão
✧ ÂGE : vingt-deux.
✧ JOB : danseuse dans une troupe.
✧ COEUR : fragile.
✧ MESSAGES : 536
✧ HERE SINCE : 03/12/2012

(napoana) + des oursons à la guimauve. Empty
MessageSujet: Re: (napoana) + des oursons à la guimauve.   (napoana) + des oursons à la guimauve. EmptyLun 20 Mai - 0:46

Tu lui as ouvert la porte, t’as souris, t’es bien heureuse de le voir Napoléon c’est un peu ton rayon de soleil, ce petit truc qui te fais voir que tu n’es pas totalement au fond du gouffre, que tu as encore une chance de t’en sortir. C’est malheureux à dire mais tu n’arrives pas à lui montrer ton affection pour lui, pourtant elle est bien là, mais tu penses toujours à Max et puis t’as peur. T’as peur qu’il t’échappe lui aussi, qu’il te quitte, qu’il te laisse comme Max, tu veux plus t’attacher, à personne, plus jamais. T’as tellement peur. Avant t’étais pas comme ça tu prenais la vie comme elle venait sans te soucier de quoi que ce soit, tu vivais librement, t’avais peur de rien, au contraire, plus tu prenais de risque plus tu t’éclatais. Un bon nombre de fois il a fallu te surveiller quand t’étais gosse tant tu ne mesurais pas les risques, pourtant t’étais heureuse. Puis tu es tombée amoureuse, ça aurait pu être n’importe que, mais non, il a fallu que ce soit lui, un mec qui n’avait rien à voir avec toi, avec ton mode de vie, avec ta façon de voir les choses, vous étiez deux opposés et pourtant vous vous attiriez comme des aimants, quel paradoxe. Les histoires d’amour finissent mal en général, c’est ce que tu as entendu quand Tiago est venu te chercher à l’aéroport Charles de Gaulle, tu ne saurais dire son nom, faut dire même que niveau musique française t’es pas calée, genre même pas du tout. Pourtant elle a bien raison cette dame-là, c’est presque si t’irais pas lui envoyer une carte afin de la féliciter d’avoir une chanson avec des paroles si pertinentes.

T’es bien consciente que si tu te l’autorisais tu pourrais être heureuse et arrêter de te détruire comme tu le fais, tu pourrais tenter de vivre pour deux, comme tu l’avais promis à Max quand ils ont emportés le corps, quand tu l’as vu pour la dernière fois. Mais c’est trop dur, tu n’y arrive pas, t’aurais jamais pensé que ce soit si dur. Alors tu laisses le temps faire, tu sais bien qu’un jour tu partiras, tu ne sais pas quand tu ne sais pas comment, mais t’attends patiemment que ça se fasse. Tu pourrais avoir l’air d’une dépressive, d’une fille qui veut en finir, pourtant ce n’est pas tout à fait le cas, t’es juste mal. Oui c’est ça t’es mal, il n’y a pas d’autre mots pour définir cette sensation que tu éprouves. « oui, oui. enfin, j'ai rien foutu. genre, j'ai écrit encore et encore. et j'ai fumé pas mal. et toi ? » T’avais toujours pensé que Napoléon était un garçon intelligent, intéressant, qu’il aurait pu avoir une très bonne perspective d’avenir pourtant il aimait cette marginalité et c’est peut être ça qui le rendait unique dans son genre. Le genre de mec qui vivait sa vie comme il l’entendait sans se soucier de quoi que ce soit et tu admirais ça. « tu sais … un jour j’aimerais lire ce que tu écris… » tu n’étais pas tant intellect que ça, pourtant tu t’intéressait à beaucoup de chose et notamment les mots posé sur un papier. Sans trop se faire prier il s’installait à tes côtés, tu souriais. « de ma part c'est assez hypocrite, mais j'avoue ne pas aimer lorsque tu te niques la santé à coup de cigarette. t'es trop bien pour ça. » tu grimaçais, tu n’aimais pas qu’on te dise quoi faire surtout quand il s’agissait de ta santé pourtant tu ne pouvais pas lui en vouloir de se préoccuper de toi, alors sans vraiment broncher tu écrasais ta cigarette à peine commencée dans le cendrier. Tu n’aimais pas entendre les gens te complimenter, pourtant prise au dépourvu tu l’avais entendu dire et ça te faisais mal. Mal parce qu’il t’était impossible de lui montrer à quel point cela te touchais. A trop vouloir te protéger tu te renfermais sur toi-même. Tu le regardais sortir un paquet d’oursons à la guimauve, comme si il savait. c'est pas grand-chose mais je me suis dit que t'aimais sans doute. puis au pire, si t'aimes pas je me ferais une raison. » tu le regardais, quelque peu interloquée, comment avait-il deviné, il n’était pas sûr de son présent, tu affichais une immense sourire, le sourire d’une enfant. « c..comment tu le sais ? » c’était sans aucun doute tes douceurs favorites. « pas besoin de se faire une raison, j’adore ça. »
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

(napoana) + des oursons à la guimauve. Empty
MessageSujet: Re: (napoana) + des oursons à la guimauve.   (napoana) + des oursons à la guimauve. EmptyJeu 23 Mai - 19:41

si belle. elle te semble presque la matérialisation d'un poème de Paul Verlaine. « mon rêve familier », tu te remémores en arborant un sourire niait. pareil à ce pauvre poète qui s'éprendra un jour de Rimbaud, rêves-tu d'elle ? certainement, de ses lèvres que tu prends avec fièvre et passion, et même de ses cheveux dont tu humes la merveilleuse odeur. tu te retiens d'ailleurs de faire davantage que de les caresser, et tu refoules ton impulsivité. pourtant, elle est bien constante. toujours la même, dans ton cœur elle demeure. jamais volatile. par contre, t'aime-t-elle ? tu frisonnes rien qu'à imaginer cette possibilité. un rêve devenu réalité. tu te berces de pareilles illusions. comme l'a stipulé ce cher homme à la bouteille d’absinthe, elle semble te comprendre. tu t'efforces de le croire, pauvre marginal, que ton âme valdinguée puisse être ouïe par quelqu'un! est-ce donc, tu oses enfin le prononcer, l'amour ? si véritable qu'il ne peut être vécu que par quelques chanceux ? tu t'imagines même, si dans ton cœur il nait, sa superbe réciprocité. tu pourrais embrasser ses cheveux, son visage dans son complet, et ses lèvres que tu profanerais à la manière de Roméo sur celle de Juliette. ces mirages t'emportent tout entier, et tu te sens si ridicule. la réalité est bien moindre. les certaines tendresses que vous avez parfois, sont tes nombreux soleils. tous aussi brillants que ceux que te procurait, jadis, Anaëlle ? le doute s'insinue et tu médites. non, Ana, Ana, c'était différent. toi-même, tu l'étais quelque peu, tout autre. comme-ci ces quatre années t'avaient causé un si important chamboulement! ton cerveau et ton cœur reversés, tu t'amuses à imaginer. ton sourire se perd dans les volutes de sa beauté. ta belle Caetana. tu te détournes de ta contemplation, gêné. tu crains qu'elle ne remarque ton indiscrétion. quelque part, n'est-ce pas simplement l'un de tes souhaits les plus chers ? qu'elle le sache, le devine de tes méandres à découvert ? parfois, tu portes même ton cœur dénudé, comme pour qu'elle y lise ses lignes étroites et branlantes. tu la souhaites de découvrir à la manière d'un livre ouvert.

« tu sais … un jour j’aimerais lire ce que tu écris… » la réalité, tu l'as presque oubliée, et voilà qu'elle te fouette de par sa jolie voix. tu hésites. la crainte d'être incompris demeure, et tu ne te vois que refuser. que trop longtemps, tes idées ont été contestées. depuis ce voyage dans les tréfonds du désespoir, alors qu'il était censé te libérer de ton malheur, tu envisages encore parfois de t'affranchir de la vie. simplement passagère, cette éventualité. la terre te rappelle, et tu y reviens et tu peines à lui répondre. « oh... et bien... » tu ne peux donc t'y résoudre. « j'aimerais tellement... mais, ce que j'écris est atrocement personnel. » tellement paradoxal, tu es. tu ne souhaites que qu'elle te découvre, mais dès que tu pourrais lui en offrir la possibilité, tu te replies au fond de ta noirceur. « mes sentiments, mes peines. ce pour qui mon cœur bat. » tu aurais pu ajouter pour toi, mais tu n'en es pas véritablement certain. « mais, je tiens à te dire que je te fais confiance, sincèrement. » plus qu'à n'importe qui. « juste que la personne que je suis à l'intérieur n'est pas vraiment appréciable. » sombre, quelques instants. et dans ton esprit lui de nouveau ces pauvres lettres qui ornent toujours ton dossier : sociopathe. « je suis désolé. » tu expires. dès que tu lui as présenté le paquet de douceur, son visage t'a semblé être celui d'une enfant. une vision si belle que tu aurais aimé coucher tes vers dessus. tu te vois ainsi rassuré. « c..comment tu le sais ? » un sourire nait sur tes lèvres. « pas besoin de se faire une raison, j’adore ça. » un bonheur sans nom te prend, bien que tu en caches la majeur partie. alors, tu l'ouvres, et lui laisses tout entier. « tu me rassures! » tu affirmes avant de laisser ses cheveux tranquille. « j'ai eu une petite intuition. je suis passé devant et ils m'ont limite interpellé. » tu l'admires un peu en silence, bien que ton regard se détourne dans son complet, de peur encore, de l'alerter. « et, toi, ta semaine, ta journée ? » n'importe quoi tant que cela vient d'elle.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

(napoana) + des oursons à la guimauve. Empty
MessageSujet: Re: (napoana) + des oursons à la guimauve.   (napoana) + des oursons à la guimauve. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

(napoana) + des oursons à la guimauve.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
► OOH LA LA PARIS. ::  :: Corbeille :: abandonnés-