► OOH LA LA PARIS.
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 faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune

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MessageSujet: faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune   faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune EmptyJeu 16 Mai - 23:24

BRUNE GRACIEUSE ORSINI


nom complet ▲ Brune Gracieuse, il y a aussi Orsini pour son nom de famille, mais elle préfère oublier cette partie de son identité. lieu de naissance ▲ Dans un quelconque hosto de Paris, cette ville qui est comme une prison à ses yeux. âge ▲ Déjà dix-neuf années sur cette planète. nationalité ▲ Elle est française, mélange d'un corse et d'une parisienne. diplômes, études ▲ Elle a eu son bac, mais elle n'a pas eu le courage d'en faire plus, pas pour le moment. métier ▲ Vendeuse en boulangerie. statut matrimonial ▲ Célibataire, mais jamais seule dans son lit. orientation sexuelle ▲ Hétérosexuelle, les hommes, il n'y a que ça de vrai pour elle. situation financière ▲ Les fins de mois sont souvent difficiles, mais elle a toujours connu cette manière de vivre. idole(s) de vie ▲ Elle-même, pourquoi idôlatrer quelqu'un qui n'en a rien à faire de votre petite personne ? nombre d'amis facebook ▲ Aucun, elle ne trouve pas l'intérêt de s'inscrire là-dessus. moyen de déplacement ▲ Ses jambes, le bus ou encore le métro. groupe ▲ La javanaise. avatar ▲ Ksenia Vasylchenko. crédits ▲ TUMBLR.

dix points sur ton personnage

père ▲ Dans le dictionnaire la définition de ce mot est la suivante « Homme qui a engendré un ou plusieurs enfants », c'est bien le cas du mien. Mais un père, c'est aussi un exemple, quelqu'un en qui on peut avoir confiance et surtout qui nous aide à construire notre avenir et surtout qui est là pour nous aimer, nous soutenir. Moi mon père, c'est un taulard, le genre qui a passé plus de temps derrière les barreaux qu'auprès de sa famille, qui a n'a jamais rien fait pour rendre un tant soit peu d'honneur à ceux qui l'attendaient à l'extérieur. Pour moi, c'est un monstre pour qui je n'ai jamais et je ne montrerais jamais d'affection. Il a tout fait pour me détruire même quand il n'était pas auprès de moi et je lui en voudrais toujours pour ça. Au lieu des caresses sur les cheveux, les sourires, j'ai eu seulement droit aux baffes et aux insultes qui résonnent toujours dans mes oreilles. C'est un monstre et au fond ça me fait peur parce que je lui ressemble plus que je ne le pense. aristide ▲ Vous vous demandez sûrement qui est Aristide ? Il s'agit tout simplement de l'être humain en qui j'ai le plus confiance, celui à qui je confie chacun de mes secrets en étant certaine que jamais personne n'en sera rien. C'est mon chien, mon meilleur ami. Je n'avais pas réellement l'envie de prendre un animal de compagnie jusqu'à ce que ma voisine me parle du fait que sa chienne avait eu des petits et qu'elles les donnaient. Quand elle m'a avoué qu'il lui en restait plus qu'un et qui si personne ne le prenait elle devrait s'en débarrasser, mon cœur s'est serré douloureusement. Ça m'a un peu fait penser à moi, la fille dont personne ne voulait et qui avait dû prendre son courage à deux mains pour s'en sortir. Je suis littéralement tombée amoureuse en voyant sa petite gueule pour la première, un vrai coup de foudre. Depuis, il est toujours à mes côtés et ça me déchire littéralement quand je dois le laisser seul à la maison quand je vais travailler. dépendance ▲ Je n'avais pas grand-chose, je me croyais forte et je voulais surtout oublier le fait que ma vie n'était qu'une misérable succession de chaos, j'ai donc choisi la facilité. Ça à commencer par la cigarette alors que j'avais tout juste quatorze ans avant qu'on me propose pendant une soirée quelque chose d'un peu plus fort et j'ai sombré, littéralement. Je ne vivais que pour ça, même si dans la journée j'essayais de faire semblant que tout allait bien, une fois hors du système scolaire, plus rien n'avait d'importance. Entre ça et l'alcool, j'ai rapidement perdu le contrôle et j'ai commencé à m'en rendre compte en voyant les regards de ma mère, en écoutant les sermons de mon frère qui ne voulait pas de ça pour moi. Mais je ne pouvais pas abandonner, ça me faisait me sentir mieux et au fond de moi je croyais en avoir vraiment besoin. Il a fallu que je fasse une overdose et que je passe à deux doigts de la mort pour que je comprenne que je foutais ma vie en l'air plutôt que de la rendre meilleure. Heureusement j'avais encore un peu de volonté pour m'en sortir, pour redevenir quelqu'un. dopwelgancy ▲ Ce mot, c'est mon port de salut, ce qui m'a aidé à m'en sortir et je n'en remercie jamais assez celui qui en est à l'initiative. Cette association se trouvait dans mon quartier, mais je n'y avais jamais porter d'importance avant de vivre cette expérience qu'est une overdose, avant que je comprenne que je sombrais littéralement. Il m'a fallu un moment avant de trouver le courage de pousser la porte afin de demander de l'aide, mais je l'ai fait et malgré ce que j'ai pu croire, ça m'a fait un bien fou. Quelqu'un était là pour m'écouter, pour comprendre pourquoi j'avais pris cette direction alors que j'avais encore toute la vie devant moi. Pour la première fois, j'avais l'impression d'être importante et c'est une étrange sensation. C'est grâce à Camel, qui est à la tête de Dopwelagency que j'ai pris conscience que j'avais une raison de vivre assez importante, moi et que je ne devais pas faire en sorte de me détruire car cela ne ferait qu'une chose, conforter les gens qui avaient déjà une mauvaise opinion de moi. Ça n'a pas été une partie de plaisir, je ne dirais jamais le contraire, mais c'est grâce à tout ça que j'ai pris la décision de me faire sevrer et surtout de prendre un nouveau départ, ce qui commencerait en partant de chez moi. J'ai donc fait une demande d'émancipation et à dix-sept ans j'ai pris mon envol vers la plus belle des directions, mon destin. rêve ▲ J'avais un grand espoir quand j'étais encore une gamine, quand je croyais que tout était tout simplement possible dans la vie. C'est alors un séjour à l'hôpital, quand j'avais sept ans, après une opération de l'appendicite que j'ai décidé que je voulais travailler dans le domaine médicale, ou tout du moins sanitaire et social. Le fait de voir qu'on pouvait aider les gens, leur permettre d'avoir moins mal a été comme un éclair pour moi qui commençais déjà à voir que le monde n'était pas toujours rose. Je rêvais de devenir infirmière ou bien encore aide-soignante. Pendant les années qui ont suivi, je me suis raccroché à ça avant de prendre conscience que je me faisais plus de mal qu'autre chose, j'en étais incapable. Oh, je n'étais pas une mauvaise élevée puisque j'ai tout de même eu mon bac S avec mention assez bien, mais personne n'était là pour me dire que je pouvais le faire. Puis j'ai sombré littéralement et plus rien n'avaient d'importance, je n'avais plus de rêve. Maintenant que je revis, je me dis que je peux peut-être faire quelque chose de mon avenir, que je ne suis pas obligé à rester vendeuse en boulangerie jusqu'à la fin de mes jours. Alors je me tâte, reprendre mes études ou pas, mais ça coûte cher et je sais qu'il va me falloir du temps avant de pouvoir me lancer. Alors j'attends, mais je désespère pas, je ne désespère plus. hommes ▲ C'est un sujet assez évasif, je le sais, mais pour moi ils sont tous pareils, aucun ne m'a donné envie de lui laisser mon cœur et je me dis que c'est peut-être mieux ainsi, j'ai déjà assez trop souffert comme ça. Alors je laisse les hommes venir à moi, me séduire et je leur laisse croire qu'ils sont différent de leurs congénères pour leur simple plaisir. Je les laisse alors utiliser mon corps, même si dans un sens j'ai bien conscience que moi aussi j'use d'eux. Mais je ne me sens pas la force pour le moment de m'ouvrir assez pour laisser la chance à l'un ou à l'autre de me faire sentir aimer, l'amour est un sentiment beaucoup trop destructeur. J'avance donc en changeant de compagnon chaque soir, dès que j'ai envie d'un peu de compagnie, que j'ai envie d'avoir le sentiment d'être importante pendant un petit moment. Aucun ne se plaint et moi non plus, tout le monde y est gagnant. gracieuse ▲ En voilà un prénom bien étrange, mais il est comme la personne qui le porte, peu commun. Quand j'ai posé la question à ma mère, elle m'a dit que ce prénom avait une certaine signification à ses yeux, que je le tenais de son arrière-arrière-grand-mère, une femme fantastique. Je ne pourrais le dire puisque je ne l'ai jamais connu, mais elle a dû se retourner un nombre incalculable de fois dans sa tombe en voyant que sa descendante n'était pas digne d'un tel cadeau. Il paraît qu'en latin cela signifie faveur, le bienfait et bien entendu la grâce. Je crois que pour ce qui est de l'impact sur ma personnalité, c'est tomber un peu à côté. Ce choix a été aussi fait par ce que je mon père n'était pas présent à ma naissance, derrière les barreaux et que j'étais une sorte de bonne chose qui arrivait dans leurs existences. Ça leur est vite passé je crois, même si ma mère a toujours tout fait, ou tout du moins à fait semblant de me garder à flot. Il est facile de faire semblant de ne pas voir son mari en train de s'en prendre à sa fille en la couvrant de gifles sans raison apparente. Peu m'importe maintenant, ce prénom est juste synonyme de ce que je ne serais tout simplement jamais. sport ▲ On ne peut pas dire que j'étais très sportive auparavant, je faisais même le nécessaire pour pouvoir sécher cette matière quand j'étais au collège ou encore au lycée. Mais ça a pris une certaine pour moi depuis que j'ai arrêté de me défoncer à longueur de temps, depuis que j'essaye de me retrouver en accord avec moi-même. Alors trois fois par semaine, je fais un jogging soit avant d'aller au travail quand je ne suis pas trop flemmarde ou le soir afin de me détendre complètement. Je dois avouer que j'ai ainsi gagné en endurance et que je me sens beaucoup mieux, j'élimine d'une manière saine et bonne pour ma santé. Bien entendu, je ne me vois pas courir le marathon ou quelque chose dans le genre. Alors moi qui n'étais pas une ardente défenderesse du sport, j'encourage mon entourage à me suivre certains jours pour qu'ils découvrent que ça ne peut faire que du bien. Sauf si on omet les courbatures, mais ce n'est qu'une légère contrepartie. paris ▲ C'est la ville qui m'a vu naître, grandir et surtout me détruire, il y a bien longtemps que je ne me sens plus à ma place ici. Je rêve d'avoir un jour les moyens de partir pour m'installer dans une ville plus petite où pourquoi pas à la campagne, au milieu de nulle part, dans un endroit où personne ne serait qui je suis. J'ai toujours rêvé de laisser derrière moi les bruits de la circulation, des cris ou encore cette odeur presque constance de gaz d'échappement dans l'air. Paris est ma prison depuis tellement longtemps maintenant que j'ai cru pendant un moment que j'allais y finir ma courte vie. Mais non, maintenant je sais que je peux faire ce que je veux pour avoir une vie meilleure et je sais que tout sera beaucoup plus facile ailleurs. famille ▲ C'est une notion assez étrange à mes yeux, comme vous avez déjà pu le comprendre. Un père toujours absent qui préférait ses coups louches plutôt que de s'occuper de sa femme et de ses enfants. Pendant ce temps, ma mère jouait la gentille petite épouse en attendant qu'il sorte de prison et quand il était de retour, craignait le moment où il allait y repartir et où elle retomberait dans la dépression. Viens ensuite mon frère, c'est le seul en qui j'ai pu réellement compter pendant les années où j'ai cru que je ne valais rien, lui-même avait eu des coups durs mais il avait réussi à les surmonter. Il a toujours été plus fort que moi, je crois qu'il en avait besoin pour pouvoir tenir à bout de bras le rôle d'homme de la famille quand l'autre minable n'était pas là. C'est le seul qui est un tant soit peu d'importance, pourtant je n'ai gardé aucun contact avec lui, pour pouvoir me reconstruire et surtout ne pas souffrir encore une fois. Je sais que j'ai fait quelque chose de mal et je le regrette, surtout que je sais qu'il va m'en vouloir à mort. Alors j'attends le bon moment pour reprendre contact, pour lui ouvrir à nouveau ma petite existence, pour qu'il voie enfin que sa petite sœur a bien changé.


l'heureux propriétaire

prénom ▲ Camille. pseudo ▲ Jools. âge ▲ Dix-huit ans. pays ▲ France. j'ai connu ollp grâce à .. ▲ Bazzart. suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ Je venais d'être validé sur l'ancienne version. l'type de lien que je préfère ▲ Tous, mais j'ai un petit coup de cœur pour les liens un peu tordu. ma chanson du moment ▲ Radioactive - Imagine Dragons. ma fréquence de connexion ▲ Surtout en semaine, le week-end très peu. et mon super mot d'la fin .. ▲ Trop contente de revoir le forum réouvert, c'est super. recenser son avatar ▲
Code:
<span class="pris">KSENYA VASYLCHENKO</span> ▲ Brune Orsini


Dernière édition par Brune Orsini le Jeu 16 Mai - 23:36, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune   faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune EmptyJeu 16 Mai - 23:24

L'HISTOIRE DE MA VIE


J'ai mal, terriblement, mais je garde la bouche bien fermée afin de ne pas faire entendre les sanglots qui veulent passer mes lèvres, cela ne ferait que le rendre plus furieux et je n'ai pas envie d'en recevoir plus. Cela ne fait même pas deux jours qu'il est rentré, j'ai senti mon cœur se serrer douloureusement quand maman est entré avec un grand sourire et nous à annoncer la grande nouvelle avec à mon frère et moi. « Papa rentre les enfants, nous allons pouvoir reprendre notre petite vie de famille. » Je n'ai rien dit, du haut de mes dix ans j'ai compris depuis longtemps que notre cellule familiale à éclater depuis longtemps, mais je la laisse croire ce qu'elle veut, ça la rend heureuse. J'ai bien vu le regard de mon frère s'éclairer en entendant ses mots, il faut avouer qu'il a toujours eu une bonne relation avec notre géniteur, peut-être tout simplement parce que c'est un garçon. Autant dire que moi j'appréhendais déjà les retrouvailles, je ne le connaissais pas vraiment au bout du compte et il n'avait jamais cherché à comprendre qui je pouvais être. Je crois qu'à ses yeux, je ne suis qu'une erreur de la nature et il me le faisait toujours bien comprendre, comme maintenant. Pourtant, je ne pense pas avoir fait quelque chose de mal puisque j'étais assise à la table de la salle à manger en train de faire mes devoirs. Travailler n'est pas quelque chose de terrible après tout, mais à ses yeux oui, surtout quand cela vient de moi. Il a soupiré pendant un bon moment avant de se mettre sur ses jambes et s'approcher de l'endroit où je me trouvais avant de prendre la parole. « Qu'est-ce que tu fiches encore ? » J'ai gardé le silence pendant un moment, ne sachant pas si je devais prendre la parole ou pas et c'est donc d'une petite voix que j'ai réponde. « Mes devoirs de mathématiques. » Il a rigolé d'un rire sans joie avant d'attraper mon cahier pour y jeter un coup d'oeil avant de l'envoyer valdinguer de l'autre côté de la pièce sans même que je me rende compte de son geste. Pourquoi est-ce qu'il faisait ça, c'était la grande question. Je n'ai rien dit pourtant, par ce que je savais qu'il cherchait que je me rebelle afin de pouvoir s'en prendre à moi, mais j'étais moins bête que lui. Mais ça n'a pas semblé suffire, il a attrapé ma queue-de-cheval et m'a tiré si fort qu'un cri à passer mes lèvres et que j'ai récolté la première gifle de la journée. « Pourquoi travailler quand on sait tous que tu ne seras qu'une misérable comme ta mère, capable de ne rien faire de ses dix doigts. » J'avais envie de rétorquer que c'était elle qui nous faisait vivre pendant qu'il vivait comme un pacha entre quatre murs, mais cela ne ferait qu'augmenter sa fureur et je savais qu'il pouvait complètement déraper. Toutefois, je sais qu'il n'a besoin de rien pour s'en prendre à moi et les coups commencent à pleuvoir et les souvenirs affluent, les horreurs qu'il m'a déjà fait vivre auparavant. Mon père est un monstre sans cœur. Je le laisse prendre son plaisir pendant je ne sais combien de temps avant que je ne sente plus rien que le silence autour de moi. Un bruit dans la cuisine me fait comprendre que ma mère est revenu des courses, c'est donc ce qui l'a poussé à mettre fin à son petit jeu favori. Je me relève avec difficulté, la douleur est terrible, je crois bien que c'est la première fois que je la ressens de cette manière. Avant de me rendre dans ma chambre, je m'arrête dans l'embrasure de la porte mais ma mère ne se retourne même pas, mais je sais qu'elle a conscience de ce qui vient de se passer. Je la déteste pour ça, pour être faible et se laisser dominer. Une larme coule sur ma joue et je pars tranquillement vers mon antre. Une fois arrivée, je ferme la porte avant de me laisser tomber sur mon lit pour laisser les larmes couler librement et je fais ce vœu qui est le même depuis que je suis toute petite. « Faite qu'il reparte bientôt, s'il vous plaît, faite qu'il reparte bientôt. »

Ça tourne drôlement, beaucoup trop même, j'ai l'impression d'être dans un manège alors que mes pieds sont bien ancrés dans le sol. Un petit rire passe mes lèvres avant que je pose une de mes mains sur mes lèvres. L'appartement est silencieux, tout le monde est dans les bras de Morphée depuis bien longtemps et quand je regarde la pendule, un nouveau rire essaye de m'étreindre. Il est un peu plus de quatre heures du matin, je parie que ma mère a dû se faire un sang d'encre à attendre que je rentre de chez Mylène avec qui je devais étudier pour notre contrôle de chimie. Ça avait été sympa, même si ça avait fini par littéralement dégénéré et tourné en fiesta du tonnerre. Ses parents allaient péter littéralement un plomb en voyant l'état de la maison, la pauvre, je la plains mais heureusement son père n'est pas comme le mien. J'avance dans le noir après avoir réussi tant bien que mal à fermer à double tour la porte d'entrée, mais ce n'est pas très facile quand le sol n'est pas très droit, je me demande qui a fait ça pendant mon absence. Au bout de la troisième collision avec je ne sais quoi, j'arrête de compter et j'avance encore plus rapidement afin de rejoindre ma chambre pour enfin pouvoir me reposer un peu. Mais à ma grande surprise, quand je rentre dans mon petit repère, il y a déjà quelqu'un sur mon lit et je sens que je vais en prendre pour mon grade. Mon frère allume la petite lampe qui se trouve sur ma table de chevet avant de se redresser de toute sa hauteur, je n'avais jamais remarqué qu'il était aussi grand et je ne peux m'empêcher de laisser passer une exclamation surprise de ma bouche. « Waouh, t'est un géant. » Il ne fait même pas attention à ce que je dis, ce qui n'est pas vraiment sympa, mais ça ne m'atteint pas et je m'installe sur mon lit pour enlever mes chaussures. Lui ne bouge pas d'un pouce et m'observe attentivement avant d'attraper mon visage à deux mains pour faire je ne sais trop quoi, en tout cas je vois qu'il n'est pas heureux de ce qu'il voie. « Tu es complètement défoncé. » C'est loin d'être une question, mais plutôt une constatation. Je penche la tête et le regarde avant de soupirer, il vient de me casser ma super ambiance, moi qui étais de bonne humeur. « Qu'est-ce que ça peut te faire, t'est pas mon père. » Les mots le touchent, je le vois très bien et pendant une seconde je ne peux pas m'empêcher de m'en vouloir. Je peux réellement être idiote quand je le veux et ça peut vraiment frôler le summum, pourquoi est-ce que j'ai parler de cet idiot, là maintenant, alors qu'il n'avait rien à voir dans cette maudite conversation. « Encore heureux pour toi, tu sais bien ce qu'il aurait fait s'il t'avait vu dans cet état. » Un petit rire passe mes lèvres pendant que je me redresse difficilement pour m'approcher de lui tout en enlevant mon haut, je me retrouve en soutien-gorge devant lui mais cela m'importe vraiment peu. « Ouais je sais très bien, cela aurait peut-être rajouter une ou deux cicatrices à mon palmarès, tu veux voir ? » Je me retourne sans lui laisser le temps de répondre et je sens ses yeux courir le long de mon dos avant qu'il ne détourne le regard. Entre les coups de ceinture et les cigarettes écrasées, j'ai eu mon compte, mais je crois qu'il n'avait pas conscience qu'il allait aussi loin. Il pensait peut-être que les baffes lui suffisaient. « Ça t'en bouche un coin, ouais, il aime bien s'amuser avec moi... Alors oui je suis complètement défoncé, dans un état complètement déplorable même, mais tu sais quoi, je ne me suis jamais senti aussi bien de ma pauvre petite vie. » Il est choqué, mais je m'en fiche complètement, je crois que c'est dur pour lui de voir sa petite sœur de quinze ans se détruire comme ça, volontairement. Mais qu'est-ce qui m'attend pour mon avenir, rien de bien passionnant, alors autant profiter du moment présent. Je me retourne vers lui et plante mon regard dans le sien, je ne sais pas combien de temps on reste comme ça, mais il brise le silence à nouveau. « Tu te rends compte que les mecs peuvent abuser de toi dans les soirées quand tu n'est pas dans ton état normal ? » Alors là, je pose une main devant ma bouche afin de retenir mon éclat de rire. Il pense que je suis encore la gentille petite fille qui joue à la poupée, il se fout le doigt dans l'oeil jusqu'au coude. Je ne lui réponds pas pendant que j'ouvre mon lit et attrape mes affaires pour me rendre à la salle de bain, mais quand je suis à la porte je ne peux pas m'empêcher de lui asséner le coup de grace. « Ils n'ont pas besoin que je sois complètement défoncé pour abuser de moi, je leur offre mon corps de bonne grâce. » Ne voulant pas voir sa réaction, je me détourne rapidement et m'enferme dans la petite pièce qui nous sert de salle de bain, c'est tellement petit qu'on ne pourrait pas y tenir à deux. J'allume à la lumière et observe mon visage dans la glace en face de moi, c'est vrai que je ne suis pas très belle à voir, mes yeux sont rouges et mes pupilles complètement dilatées. Le réveil va être assez difficile demain, mais je ne regrette rien, j'ai le droit de faire ce que je veux de ma vie, personne n'a le droit de commander mes faits et gestes, surtout pas ma famille. Mais au fond je le sens, je le sais très bien, je suis misérable.

Dopwelgangy. Je suis devant le bâtiment depuis pratiquement une heure, mais je n'ai toujours pas eu le courage de pousser la porte et je ne sais pas si je le trouverais aujourd'hui. Pourtant je sais que je dois le faire, pour moi, pour pouvoir avoir l'espoir d'un avenir et tout simplement car je ne veux plus avoir à revivre ce que j'ai vécu. Quand j'ai ouvert les yeux et que je me suis retrouvé dans cet environnement complètement inconnu, j'ai flipper comme jamais, j'ai pensé que quelqu'un m'avait enlevé ou quelque chose dans le genre. Puis en tournant la tête, j'ai découvert le visage fatigué de mon frère, les yeux rougis par les larmes qui avaient certainement coulé pendant un bon moment, un air plus qu'attristé peignant ses traits. J'ai eu le cœur qui a manqué plusieurs battements, c'était horrible de le voir comme ça, lui qui avait toujours été le plus fort de nous deux et qui me semblait tout simplement indestructible. J'ai détourné les yeux pour regarder de l'autre côté et j'ai compris en voyant ma mère endormie sur un fauteuil, où je me trouvais. L'hôpital. Sur le coup je ne comprenais pas pourquoi j'avais atterri ici, j'avais seulement été à une soirée... Petite fête dont je ne me souvenais pas du tout, qui me semblait n'avoir jamais eu lieu. J'avais eu un accident ça ne pouvait être que ça, mais pourquoi est-ce que je ne ressentais aucune douleur, sauf dans ma tête, j'avais l'impression qu'elle allait littéralement exploser. La panique à commencer à m'envahir et j'ai commencé à tirer sur les fils attacher à mes bras, arrachant la perfusion. Il ne fallait pas que je reste ici, non ce n'était pas possible que je sois arrivé dans ce lieu sans savoir pourquoi. J'avais déjà eu quelques trous de mémoire, mais pas comme ça. « Brune, calme-toi s'il te plaît, sinon j'appelle les infirmières pour qu'elle le fasse à leur manière. » La voix de mon frère me détend un peu, mais je n'arrive toujours pas à comprendre ce que je fiche ici et je n'ai pas le temps de parler qu'une femme entre avec un sourire. Elle me jette un regard et voit les dégâts que je viens de proférer, elle ne dit pas un mot et ressort presque aussitôt. Je dois être en train de devenir folle, ça doit être ça et j'ai fini à l'asile, il ne peut pas y avoir d'autre réponse à tout ça. Tout un tas d'idée plus folle les unes que les autres envahissent mon esprit quand je vois revenir l'infirmière avec du matériel dans les mains, elle va devoir reposer ma perfusion, mais je ne suis pas d'accord. « Je veux pas, laissez-moi tranquille. » Je me débat comme une folle, bougeant les bras afin qu'elle ne puisse pas les atteindre et il faut avouer que je suis surprise d'avoir autant de force alors que j'ai l'impression de ressembler à de la pâte à chewing-gum. Mon frère tente de lui donner un coup de main et je remarque que ma mère est réveillée à cause de mon comportement, mais je m'en fiche complètement. Tout ce que je veux, c'est partir d'ici et pouvoir retrouver ma chambre le plus rapidement possible et peut-être savoir pourquoi j'ai atterri dans cet endroit. Mais je peux même ne pas parler, la rescousse de l'infirmière entre dans la chambre et en quelques secondes je me retrouve attaché à mon lit, une nouvelle perfusion au bras. Il faut avouer qu'ils gèrent plutôt bien, je ne dois pas être leur première hystérique dans le service. Ils repartent sans un mot et je laisse les larmes glisser sur mes joues, sans réellement comprendre pourquoi je suis en train de pleurer. Je me sens vraiment mal au bout du compte et je ne sais toujours pas pourquoi, mais je n'ai pas le temps de poser une question qu'une main s'abat sur ma joue, brûlant ma peau comme un fer chaud. C'est comme quand mon père me bat, sauf que là, c'est ma mère qui a eu ce geste envers moi et ça me brise encore plus le cœur. Je recommence à me débattre et je hurle comme une folle avant de la voir quitter la pièce et de sentir l'étreinte de mon frère sur moi, m'apaisant. « Tu es dingue, petite sœur, pourquoi est-ce que tu as fait ça ? Hein ? Pourquoi est-ce que tu as essayé de mourir ? » Quoi ? C'est donc ça la raison de mon hospitalisation, j'ai tenté de me suicider ? Ce n'est pas dans mon caractère de faire ce genre de chose et je n'ai pas l'impression que quoi que ce soit m'aurait poussé à avoir ce genre de geste. Même si je suis complètement désespérée, je n'aurais jamais le courage de faire ça, j'en suis certaine. « Je voulais pas mourir, je voulais pas... » Il se redresse et me jette un regard terrible, je ne peux même pas dire ce que je vois à l'intérieur tellement il y a de sentiment visible en même temps, ça me coupe la respiration. Tout en passant une main sur son visage, un soupir passe ses lèvres et j'entends sa voix résonner doucement dans la pièce. « Tu es allé à cette soirée, maman t'avait pourtant interdit de sortir, mais comme à chaque fois tu as décidé d'en faire qu'à ta tête, alors elle a baisser les bras. Une chance que je n'étais pas là. Enfin bref, il paraît que tu as consommé plus que d'habitude, beaucoup plus. Thomas était là-bas aussi, il a vu ce que tu as fait, que tu as doublé ta dernière dose tout en sachant très bien ce que cela pourrait avoir comme conséquence... Heureusement qu'il t'a suivi, sinon tu ne serais plus là. » Les mots résonnent encore dans ma tête aujourd'hui, alors que ça fait deux semaines que cette discussion a eu lieu. Pendant mon séjour à l'hôpital, j'ai été obliger de voir un psychiatre afin de parler avec lui de ce qui m'avait poussé à avoir ce geste malheureux, mais n'ayant aucun souvenir je n'ai pas pu lui en parler en profondeur. Mais je dois avouer que discuter, parler de ce mal-être qui m'envahit depuis toujours, ça m'a fait du bien. C'est même-moi qui lui est parler de cette association dans mon quartier et il m'a dit qu'il en avait aussi entendu parler et que ça pouvait être une bonne idée que je m'y rende. Tout était partie de là, de mon envie aussi de m'en sortir. Je peux le faire, je le sais très bien et c'est presque sans m'en rendre compte que j'ouvre la porte et que j'entre à l'intérieur, me sentant gêner sous les regards qui se posent sur moi. Il y a une personne un peu plus loin, un homme qui semble être l'un des membres de l'association et je m'approche de lui doucement, appréhendant un peu le futur. Mais au bout du compte, les mots sortent tout seuls. « Je crois que j'ai besoin d'aide. » Ça y est, c'est fait, maintenant je vais pouvoir reprendre ma vie en main.

La soirée est plutôt pas mal, mais la chaleur est plus que pesante et il faut que je prenne l'air si je ne veux pas me retrouver au sol après avoir fait un malaise. Je m'approche d'une de mes amies et colle presque ma bouche à son oreille pour qu'elle puisse bien m'entendre, avec la musique aussi forte je sens que je vais finir avec une migraine incroyable demain. « Je sors un peu, je vais me griller une cigarette. » Elle acquiesce de la tête pour me dire qu'elle a compris et je commence à jouer des coudes afin de prendre la direction de la sortie. Je ne sais même pas pourquoi j'ai accepté de venir à cette petite sauterie, l'anniversaire d'une fille que je ne connais même pas mais qui je dois l'avouer, c'est organiser ce genre d'événement. Une fois en bas des escaliers, je m'approche des vestiaires pour récupérer ma veste et mon sac, nous sommes en avril, le temps est frisquet à cette période de l'année. Je n'ai pas envie de tomber malade, surtout que je bosse après-demain et que j'ai vraiment intérêt à être en forme. Il me faut au moins cinq minutes pour monter les marches et je ne peux m'empêcher de soupirer de soulagement quand j'arrive enfin à proximité de la porte de sortie. L'air frais, je vais pouvoir respirer de l'air potable pendant une dizaine de minutes. Que ça fait du bien, ce n'est pas croyable comme une chose aussi simple peut être revigorante. Je m'adosse contre un mur et sors mon paquet de cigarettes pour en prendre une, c'est la seule dépendance qui m'est resté, ce n'est pas super pour la santé mais je ne pouvais pas tout laisser tomber. Et encore, je ne fume pas comme un pompier. Mais comme la chance n'est pas de mon côté, je n'arrive pas à remettre la main sur mon briquet et c'est lorsqu'une flamme apparaît dans mon champ de vision que je relève la tête. J'en fais presque tomber ma clope, je n'arrive pas à croire qu'il se trouve devant moi, lui. Un petit rire passe mes lèvres et sans m'en rendre compte, je le serre dans mes bras. Cela fait un petit moment que je ne l'ai pas vu, deux ans pour tout dire, depuis que j'ai pris mon indépendance et que je me suis faite émanciper. Au bout d'un petit moment je me recule et l'observe attentivement, il n'a pas changé d'un pouce. « Qu'est-ce que tu fiches ici ? » Il passe une main dans ses cheveux avant de me tendre son briquet que j'attrape pour allumer ma dose de nicotine. J'inspire profondément avant de le lui rendre, ça fait vraiment du bien. Pourtant, je retourne mon attention sur lui et il voit bien que j'attends sa réponse. « J'habite dans le coin maintenant. » J'ouvre de grands yeux surprise, c'est vrai que je ne m'attendais pas à ça, après tout il est natif de la même banlieue que moi et il faut avouer que pour arriver dans cet arrondissement de Paris, il en faut de la volonté. « Non, ce n'est pas vrai ? » Il hoche la tête positivement avant de s'allumer une cigarette, en tout cas, il n'a pas changé depuis la dernière fois où je l'ai vu sauf peut-être un petit détail. J'avance mon doigt et caresse la peau de son avant-bras qui est visible, un nouveau tatouage à pris possession de son corps et je ne peux m'empêcher de pencher la tête pour l'observer. Il a toujours eu une passion pour cet art et je le comprends très bien, moi-même je me suis laissé tenter quelques mois auparavant. Il m'observe faire avant de rire doucement. « C'est l'un des avantages d'avoir un beau-père friqué à mort. » Je me redresse pour le regarder, c'est donc pour cela qu'il habite maintenant dans ce quartier, sa mère avait fini par pêcher à un gros poisson. Elle le méritait bien, elle n'avait pas eu une vie très facile. On avait tous changé, pris une direction à laquelle nous nous attendions pas. « Et toi, qu'est-ce que tu fais ici ? » Je tire une nouvelle fois sur ma cigarette avant de répondre. « La vie, voilà ce qui fait que je suis arrivée ici. Non, en fait j'ai une amie qui est copine avec l'organisatrice de cette petite sauterie et j'avais envie de me changer un peu les idées. Avec le boulot, j'ai envie de décompresser un peu. » Il m'écoute attentivement, au fond je sais qu'il essaye de voir si tout va bien pour moi et je sais aussi que tout ça va finir dans les oreilles de mon frère. Je sais qu'il a compris que j'avais vu son petit jeu, mais je ne lui en veux pas, après tout c'est son meilleur ami et il ne peut pas lui cacher le fait qu'il a vu sa petite sœur. « Où est que tu bosses ? » Je laisse tomber ma clope sur le sol et l'écrase du bout de ma chaussure avant d'expirer la fumée. Mes yeux se ferment et je me laisse reposer sur le mur derrière moi, au bout du compte, ça me fait vraiment bizarre de le revoir. « Je suis vendeuse en boulangerie, ce n'est pas un super boulot, mais ça me permet de vivre à peu près normalement. » Il a un sourire sur les lèvres, depuis que je suis gamine je n'arrête pas de rabâcher à qui veux l'entendre que je serais infirmière, autant dire que je suis loin d'avoir atteint mes rêves. Mais je n'ai pas à me plaindre, ça aurait pu être pire, je pourrais être six pieds sous terre aujourd'hui et ne plus avoir d'avenir du tout, je suis plutôt chanceuse au bout du compte. Je le sens plus que je ne le voie s'approche de moi, son corps colle presque le mien mais ça ne me dérange pas une seule seconde, en fait j'apprécie plutôt ce rapprochement. « Tu sais que tu lui manques plus que tout ? » Son haleine sens la bière et la cigarette, j'inspire doucement avant d'ouvrir les yeux et les planter dans les siens. « Il me manque aussi, terriblement. » C'est la vérité, j'ai été à plusieurs reprises à deux doigts d'appeler mon frère une centaine de fois depuis que je suis partie de la maison, mais j'ai pensé qu'ils étaient certainement mieux sans moi. J'avais toujours été de trop et je ne voulais plus être un fardeau pour personne, seulement pour moi et ça me convenait très bien ainsi. « À moi aussi, tu le sais ça ? » Mon cœur manque un battement et je détourne la tête pour qu'il ne voie pas le trouble dans mon regard, il y a bien longtemps que je n'ai pas repensé à tout ce qu'il y a eu entre nous. Ça a été beaucoup trop loin, ça a été beaucoup trop douloureux. J'étais encore une gamine rêveuse qui croyais que le prince charmant existait avant d'être ramené brutalement sur terre en le voyant avec une autre fille quelques jours après lui avoir donné ce que j'avais de plus précieux, ma virginité. Je soupire avant de déposer un baiser sur sa joue et de reprendre la direction de la porte pour aller rejoindre la soirée, mais avant de faire mon retour dans la fournaise, je lâche ces quelques mots qui me hantent depuis toujours. « Tu as laissé passer ta chance. » Et je laisse la porte se refermer derrière moi et surtout, sur lui.


Dernière édition par Brune Orsini le Jeu 16 Mai - 23:35, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune   faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune EmptyJeu 16 Mai - 23:33

Bienvenue parmi nous Razz
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MessageSujet: Re: faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune   faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune EmptyJeu 16 Mai - 23:35

    Merci beaucoup, Jennifer est sublime sur ton avatar faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune 3967998059.
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MessageSujet: Re: faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune   faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune EmptyVen 17 Mai - 0:33

Bienvenuuuuuuuuuuuue moh
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MessageSujet: Re: faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune   faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune EmptyVen 17 Mai - 0:39

BIENVENUE SUR OLLP



wow, j'ai vraiment aimé lire ta fiche. le trois quart de ton histoire est triste mais j'ai beaucoup aimé ta manière de rédiger. :*-*: ta fiche est parfaite, rien à redire. donc j'te valide. ö j'te souhaite un bon retour à la maison, bon jeu. faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune 3846838978

T'es canon, t'as fini ta fiche et on peut officiellement tebouffer, te considérer comme un sexy ollpiens. Évidemment, on va pas t'laisser comme une âme en peine va. Pour bien démarrer ton aventure, on t'a préparé une liste de liens à consulter, pour pas que tu te sentes perdu sur OLLP. Pour que tu saches où les sujets les plus importants se trouvent. faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune 3846838978

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Sur ce, on te souhaite une nouvelle fois la bienvenue parmi nous. On est ravis de t'avoir, maintenant on te lâchera plus, c'est fini pour toi. faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune 2684926262

Ella, Camel, Ana, Tiago, Sephora et Saad. faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune 3681609067
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MessageSujet: Re: faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune   faites l'amour pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires - brune EmptyVen 17 Mai - 11:59

    Merci pour l'accueil et les compliments sur ma fiche, c'est la première fois que je suis vraiment fière d'une de mes histoires. Je vais faire tout ce qui est demander de suite.
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