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ooh la la paris, réouverture. 02/11/14.
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 LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée.

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MessageSujet: LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée.   LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. EmptyLun 10 Sep - 20:22


Lola Spencer Cellier-Northwood


Nom complet ▲ Lola Spencer Cellier-Northwood Lieu de naissance ▲ Londres Age ▲ 18 ans. nationalité ▲ Franco-Anglaise. diplômes, études ▲ deuxième année de journalisme. métier ▲ Mannequin statut matrimonial ▲ célibataire. orientation sexuelle ▲ hétérosexuelle. situation financière ▲ pétée de thune. idole(s) de vie ▲ Frida Khalo, Terry Richardson, Serge Gainsbourg ... nombre d'amis facebook ▲ 236 moyen de déplacement ▲ mon vélo groupe ▲ La Javanaise avatar ▲ Jac Jagaciak crédits ▲ Tumblr

l'horaire d'la journée

DE 8H00 à 12H00▲ Je me lève le matin vers 8h. Je me lève tôt, simplement parce que je n'aime pas perdre mon temps à dormir. En général, je check mes e-mails en buvant un bon chocolat chaud, je n'aime pas le café. La plupart de mes e-mails me viennent de mon agent, je dois pouvoir être opé, bouger rapidement. Je prends ensuite une bonne douche, et reste dans ma salle de bain et ma penderie jusqu'à genre 9h.. 9h30. Après ça, faut bouger. Parfois je vais à mes cours, alors je prends mon vélo en direction de ma fac. Mais le truc c'est que la plupart du temps je les prends par correspondance. Parce qu'il faut que j'aille gagner ma vie sur les défilés ou sur les shooting pour être indépendante financièrement par rapport à papa. Mais on est pas toujours en période de fashion week, hein...


DE 12H00 à 14H00▲ Vers midi, souvent je suis dans mon restau favori avec une copine. On y déjeune peut-etre jusqu'à 13h, j'ai enfin le temps de me poser après une longue matinée, discuter, rigoler, fumer. Bref, me détendre un peu. Ensuite, soit je suis au boulot, soit je suis dans les rues de Paris à shopper, à dessiner dans un café, ou encore à lire un bouquin sur le banc d'un parc.


DE 14H00 à 17H00▲ Parfois, je peux être sur un shooting ou en cours, tout dépend. Ca peut paraitre bizarre, mais j'ai souvent l'impression de mener une double vie. Un jour je suis avec des camarades entrain de préparer un exposé pour des partiels, et le lendemain, je serai dans un studio d'un quartier chic, à me faire prendre en photo par un célèbre photographe. Mais il arrive aussi que je n'ai rien de tout ça. Alors dans ces cas là, je dois être encore à traîner au café du coin avec des potes, dans un musée ou une expo, dans le marais, ou peut-être simplement dans mon appart à dessiner encore et encore... Et oui, dans la journée, je suis une fille plutôt calme. D'ailleurs, c'est souvent à cette heure-ci que je planifie ma soirée.


DE 17H00 à 20H00▲ Je privilégie souvent ce moment pour être seule. J'aime bien passer ce temps là dans mon appartement du 7ème arrondissement parisien, afin d'être au calme, travailler, écrire. Je n'écris pas sur mon mac, non, parce que je préfère le contact de la pointe de mon stylo sur le papier. C'est doux, et rien que ça, ça me donne bien plus d'inspiration. Vers 19/20h, je suis entrain de me préparer un dîner, je prends mon temps pour manger, et je continue d'écrire. Parfois pour mon école, parfois pour moi, tout dépends de mon envie, lorsqu'on m'impose quelque chose, souvent ça me donne envie de faire le contraire... Mais là n'est pas la question.


DE 20H00 à 24H00▲ Vers 20h, je suis encore entrain de manger, parfois je mange vers 21h, ma journée n'est pas planifiée à la seconde près, et je ne suis pas toujours bien organisée, même si mon métier le veut. Vers 21h, je reçois souvent des textos du genre 'Tu fais quoi ?' ou encore 'Bouge'. Alors j'obéis. Je bouge... mais d'abord en direction de ma penderie. Elle fait la taille de ton appart, du coup ça met du temps, tu vois ? Mais en général, vers 22h tapantes, je suis prête à enfin sortir de mon appart, et je rejoins des amis dans un bar, chez eux. Il y a aussi des soirs ou je suis invitée à des soirées mondaines, organisées par les gens avec qui je bosse. Ils aiment bien voir ma jolie petite gueule là-bas, mais je préfère être avec mes amis, je peux me lâcher et boire par la même occaz !


DE 24H00 à 8H00▲ Généralement, à minuit, la fête commence tout juste à battre son plein, alors pourquoi partir ? Je suis pas du genre à faire la relou, rentrer chez moi avec mes dix chats, et m'endormir devant amour, gloire & beauté, alors je m'amuse. Et vas-y que je bois un verre de Tequila par-ci ou une coupe de champagne par-là. Du coup, vers 3h du mat', tu me trouveras souvent à faire la contre-soirée dans la cuisine, avec des gens que je connais ou pas. Je refais le monde avec eux, je ris, je ris encore, parfois même, a force de trop vouloir refaire le monde avec un mec, je refais les couvertures aussi avec lui. Mais je n'aime pas trop ça ... non, parce que j'aime bien me réveiller dans mon lit. Du coup vers 5h, je rentre bourrée à vélo, et manque de me faire écraser cent fois par des voitures. Mais au moins je suis chez moi. J'arrive vers 5h30, et je me fais un petit encas avant d'aller au dodo... Ouais, je sais c'est bizarre... vous devez vous demander comment je fais pour tenir ma journée en dormant à peine trois heures par nuit ? Une warrior je vous dis !

l'heureux propriétaire

Prénom ▲ Joyce Pseudo ▲ Lola (et oui, comme le prénom de mon perso.. original, tu dis ? âge ▲ bientôt 19 ! pays ▲ France j'ai connu ollp grâce à .. ▲ un autre forum suis-je un ex-membre, un dc, ou un petit nouveau? ▲ Une petite nouvelle est-ce que je souhaite participer à l'intrigue des équipes ? ▲ oui/non venir ici pour plus d'information l'type de lien que je préfère ▲ Les liens bien compliqués ma chanson du moment ▲ Foals - Blue Blood ma fréquence de connexion ▲ Normalement tous les jours, après on verra bien à partir de la rentrée recenser son avatar ▲ Monika 'Jac' Jagaciak ◈ Lola S. Cellier-Northwood et mon super mot d'la fin .. ▲ FIN.


Dernière édition par Lola S. Cellier-Northwood le Mar 11 Sep - 18:44, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée.   LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. EmptyLun 10 Sep - 20:23


L'HISTOIRE DE MA VIE



Tout à un début:

J'aimerai commencer à vous parler de moi, mais le truc c'est qu'avant moi, il y a eu mes parents, et sans une brève explication, comment pourriez-vous comprendre mon histoire ? Tout à commencé avec cette idylle entre un londonien et une parisienne. Lui, Ashley Thomas Northwood, héritier d'une compagnie pétrolière qui a préféré devenir architecte plutot que de succéder à son géniteur, au plus grand désarroi de ce dernier. Elle, Nathalie Cellier, une artiste dans l'âme, un peintre, en réalité. Tous deux se sont rencontrés dans un musée à Paris, lui était en voyage, elle habitait dans le coin. Et depuis ils ne se sont plus jamais quittés. Ils s'aimaient énormément, et mon père voyait en elle ce sentiment de liberté qu'il avait toujours éprouvé, étant enfermé dans les habitudes protocolaires de sa famille. Ils se marièrent à la fin de l'été 91, ma mère était enceinte de mon frère Nathan. Mes grands-parents paternels qui n'avaient jamais approuvé cette union, n'ont jamais voulu nous rencontrer mon frère et moi. Je n'ai jamais connu mes grand-parents maternels. Et moi, c'est un jeudi 16 Septembre de l'année 1993 que j'ai pointé le bout de mon nez dans un hôpital d'un quartier huppé de Londres, en fin d'après-midi. Mes parents étaient très heureux, oui, tout avait commencé pour le mieux, dans le meilleur des mondes pour moi. J'étais très bien née.

Ma tendre enfance :

J'ai vécu une enfance des plus douces. C'est vrai, j'avais absolument tout pour être heureuse. Des parents aimants, des copines, une télévision avec des dessins animés dedans, et tout plein de bonbons. Oui, on va dire que la vie parfaite existait pour moi de 0 à 14 ans. J'ai eu la chance de grandir dans un milieu ou je ne manquais de rien, j'aurai pu être hargneuse et égoïste tel le tempérament d'une petite fille pourrie gâtée, au lieu de ça, j'ai été la gentille petite fille parfaite. J'étais mignonne, polie, respectueuse, assidue à l'école et généreuse, et ce, grâce à l'éducation et aux valeurs que mes parents m'ont donnée à mon grand frère et moi. Ils nous ont éduqués dans un univers chaleureux et aimant, nous avions tout d'une famille parfaite, nous étions beaux, nous étions unis. Contrairement aux grands frères habituels, le mien était protecteur, nous avions toujours été très proches, très complices. Enfant, il voulait toujours tout sacrifier pour moi, et à l'école, si quelqu'un m'embetait, il aurait pu aller se battre pour moi.
Ma mère était pour Nathan et moi la réincarnation de la douceur. Elle était belle et toujours joyeuse. Elle aimait mon père et c'était réciproque. Lui, c'était mon meilleur ami. Je me confiais bien plus à lui qu'à ma mère, non pas que je fasse de préférence, mais j'avais beau avoir pris les traits de ma mère, j'avais hérité mon caractère posé et réfléchis de mon père. Nous nous ressemblions.

Les complications :

Dans la vie, on dit que toutes les bonnes choses ont une fin. Seulement cette fin fut brutale. Je m'en souviendrai toujours de celle-là. C'était pendant les vacances de la Toussaint, ma mère et moi étions parties à Londres rejoindre mon père et mon frère qui eux étaient partis plus tôt. Nous avions une voiture de fonction à l'époque, et c'était mon père qui l’occupait. Un soir, alors que ma mère et moi rentrions dans notre appartement londonien, nous avions décidé de prendre le métro. Et oui, ça ne nous arrivait pas bien souvent... Je me souviendrai toujours de ce quai sur lequel elle et moi attendions le train, j'avais 14 ans, il devait être 23h passé, et des hommes s'avançaient vers nous, et ils n'avaient pas l'air de nous vouloir du bien. Ma mère avait l'habitude de porter ces bijoux hors de prix que mon père lui offrait, leur lueur à la lumière défaillante du métro avait du les attirer. Alors qu'elle les sentait venir doucement, elle pris mon bras et me recula aussi doucement derrière elle pour les affronter. Ne jamais tourner le dos à son ennemis ? Pas sur.. peut-etre qu'ils auraient simplement décroché les diamants de son cou et se seraient enfuis à toute allure, malheureusement le scénario fut quelques peu plus tragique. Moi je sentais déjà le danger, l'adrénaline commençait à monter en moi. Un des trois hommes demanda à ma mère ses bijoux, elle le leur donna sans dire un mot. Puis il lui demanda également sa bague et son porte-feuille. Elle donna l'argent, mais retirer son alliance qui représentait l'amour qu'elle portait pour mon père fut bien plus compliqué pour elle. Mais un gars derriere n'hésita pas, il s'approcha rapidement d'elle, lui calant un couteau dans la poitrine, avant de s'enfuir à toute vitesse avec ses acolytes.
Sous mes yeux, ma mère s'écroula contre le sol sans que je ne puisse rien faire. Je m'accroupi, tremblant comme une feuille, les larmes aux yeux. Aucun mot ne sortait de ma bouche, seules les larmes tombaient à flot, se mélangeant au sang de ma mère dont je stoppais l'écoulement de mes petites mains, en vain. Elle me regardait triste, triste de partir de cette façon, triste de quitter ce monde, de me laisser seule, ou triste que j'ai du assister à cette scène qui me hantera toute ma vie ? Elle avait ce regard de défaitiste, l'air de dire, 'ça sert à rien ma belle, sois forte, je suis entrain de partir'. Mais moi, je ne voulais pas la regarder dans les yeux, de peur justement de voir dans ces yeux la, des adieux. Alors je n'avais d'autres choix que d'avoir le regard rivé sur cette plaie béante de laquelle s'écoulait du sang à n'en plus finir. Mes doigts se noyaient dedans, et mes larmes aussi. Puis je sentais qu'elle partait alors je finis par la regarder, elle avait du mal à parler, mais elle réussit tout de même à balbutier entre deux grands soupirs un 'je t'aime', ce fut le dernier. Elle ne mourut pas tout de suite, elle fermait juste les yeux, sa tête reposée sur mes genoux, elle respirait encore. Un coup de couteau était suffisant pour une mort lente et douloureuse, et moi je pleurais en silence, ne comprenant pas vraiment pourquoi elle, pourquoi ma mère. Dans ce genre de situation, on se pose souvent ce genre de question, on se dit que c'est injuste. Ça l'est. Pas deux minutes plus tard, un train fit son arrêt sur notre quai, et c'est avec stupeur que les passagers vinrent auprès de nous. Certains me demandèrent si je n'avais rien, d'autres, ce qui s'étaient passé, et d'autres encore appelaient les ambulances. Les figurants restaient là, planté autour de nous, reculant d'un pas chaque fois que le sang de ma mère menaçait de salir leur chaussures. Je ne répondais rien, la voix ne sortait pas, je voulais simplement que tout s’arrête, et tout s’arrêta pour ma mère, à l’hôpital, à minuit et 17 minutes exactement.

Et ensuite, on te dit qu'il faut avancer :

Bizarrement, après la mort de ma mère, je n'avais pas l'impression d’être malheureuse. En fait, je crois que je ne le ressentais pas, je ne ressentais plus rien. Trop d'émotions chamboulées dans mon esprit, de la tristesse, de la colère, de la haine, de l'incompréhension et tant d'autres ...j'étais déconnectée de la réalité. Et puis j'ai été tellement entourée, surtout par mon frère qui m'a surprotégée s'oubliant lui-même. A vrai dire, j'avais vu ma mère vivante il n'y avait pas une semaine, du coup le manque ne se ressentait pas tant que ça... C'est pour ça que je n'étais pas si malheureuse... au début. Après, ça a été vraiment dur. Mes amis ont bien arrêté de m'entourer à un moment, eux aussi avaient leur problèmes, et vient un moment ou ils oublient, c'est normal. Et je ne pouvais pas me montrer constamment malheureuse lorsque le manque se fit ressentir, un moment, les gens en ont marre. Du coup, quand on me demandait si j'allais bien, je souriais et je disais machinalement 'ça va'. Seul Nathan était là. Mon père, lui a été anéanti. Et si notre superbe relation fusionnelle père/fille s'est retrouvée inchangée, celle entre mon grand frère et lui est devenue invivable pour tout le monde. Ils se querellaient sans arrêt, il n'avait que 16 ans à l'époque et ce n'était de toute manière pas la bonne période pour une relation père/fils. Ils ne s'entendaient plus, moi je jouais le rôle de l'intermédiaire. Puis ils a eu une copine, il a fugué, fugué encore, si bien que je lui en ai voulu, de m'abandonner. Je l'ai tant détesté de m'avoir laissée tomber, il n'était plus là pour moi, il m'avait laissée pour elle ! La salope, le bâtard, je les haïssais. Du coup, je ne sais pas si ce fut pour lui faire payer en lui faisant culpabiliser, mais moi aussi j'ai commencé à foutre ma vie en l'air.

Quand ça part en couilles :

Je me retrouvais seule avec mon père à la maison. On s'adorait, on avait l'habitude de tout se dire, mais là, tout avait changé. L'assassinat de maman, le départ de Nathan, notre famille était détruite. Mon père n'était plus joyeux comme avant, je ne me rappelais même plus de son sourire, c'était si lointain. Mon frère, mon meilleur ami n'était plus là, et du coup, j'ai commencé à traîner avec les mauvaises personnes. Certes c'était les gens qu'on pourrait qualifier de populaires dans mon lycée, tous des héritiers, ou un truc du genre, qui le vendredi soir donnent des soirées pendant que papa maman partent dans leur résidence secondaire sur l'Ile d'Yeu. Tu trouveras tout chez eux. C'est un mélange de paradis et d'enfer, il y a des bouteilles, tout pleins de bouteilles, des jolies petites pilules colorées, de la poudre blanche et autres substances euphorisantes. Ils sont tous beaux, riches et bien fringués, et comme je faisais partie de leur milieu, je n'ai pas eu de bizutage pour rentrer dans leur clan. Ils m'ont accueillie à bras ouverts parce que j'étais d'accord pour me défoncer avec eux dans la cuisine à 3h du mat', et aussi parce que je faisais semblant d’être comme ces putes à trois sous, qui laissent tomber aussi facilement leur robe Lanvin que tu les laisserai tomber le lendemain après avoir tiré ton coup. Mais moi, je ne voulais pas aller jusque là ... non je ne voulais pas.
Puis il y a eu lui. Ouais ce mec, LE mec. Arthur. A première vue, j'ai cru qu'il était comme tous les autres, il devait penser pareil de moi, mais apparemment nous étions différents des autres, et semblables l'un à l'autre. Je devais avoir 15 ans, il en avait à peine 16. Je n'avais plus entendu parler de mon frère depuis des mois, et Arthur a été la pour moi, parce qu'il me comprenait et parce que je le comprenais, on était tous les deux bien trop paumés alors on s'est aimés. Il a été mon premier amour, et je l'ai été pour lui. Nous avons d'ailleurs fait l'amour pour la première fois ensemble, je n'avais jamais aimé quelqu'un comme ça, et je crois que nous étions bien trop jeunes pour cerner ce sentiment. Trop immatures. Il était tout pour moi, et il aurait pu donner sa vie pour moi. Je ne pouvais concevoir mon monde sans lui, et le problème, c'est que sans s'en rendre compte, on s'en rendait malades. On a décidé ensemble, avant qu'on ne se perde totalement de se quitter. Je ne savais pas pour lui, mais moi je l'aimais toujours, mais je me suis forcée à guérir. Mon frère n'était toujours pas là. Pour moi, il m'avait définitivement oubliée.

Et maintenant ..

Lorsque j'ai eu 16 ans, un talent scout m'a repérée alors que je faisais du shopping avec mes amies. Tout est allé très vite. Quelques polaroids, un contrat dans une grande agence, et voilà mon visage dans les pages des magazines de mode. Ça m'a permis de gagner pas mal d'argent, et d'être indépendante financièrement vis-à-vis de mon père. Du coup, dès que j'ai atteint la majorité, j'ai quitté le nid familial, du moins ce qu'il en restait pour mon propre appart'. Mon père s'est retrouvé seul, j'ai culpabilisé, mais je me donnais bonne conscience en allant le voir de temps à autres. Il n'avait pas plus de nouvelles de Nathan que moi. La je me suis rendue compte que ma mère avait bel et bien été le pilier fondamental de notre famille. Il a suffit de sa mort pour que tout s'écroule. Je n'avais jamais été au plus haut, tant au niveau de ma carrière que de mon succès auprès de la gente masculine, pourtant j'étais malheureuse. Pauvre petite fille riche. Beaucoup de filles de mon age auraient rêvé échanger leur vie contre la mienne, en apparence, j'avais tout pour être heureuse, une bonne notoriété dans la mode, des potes, des soirées, du fric... mais au fond, il me manquait quelque chose d'important, d'essentiel ...



Dernière édition par Lola S. Cellier-Northwood le Mar 11 Sep - 15:32, édité 5 fois
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Bienvenue LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. 2486224328
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MERCI !! LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. 3817709046
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Jac, l'est trop bandante c'te fille LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. 2684926262 bienvenue à paname et bon courage pour ta fiche !
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MessageSujet: Re: LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée.   LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. EmptyLun 10 Sep - 21:27

Haaaaan mais Siri aussi est trop bandante !!! Merci merci ! moh
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MessageSujet: Re: LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée.   LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. EmptyLun 10 Sep - 21:33

I met her in a club down in old soho where you drink champagne and it tastes just like coca-cola

J'y peux rien, j'vois l'prénom la chanson viens.
Bienvenue parmi nous, (a)
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Je suis contente de voir que ce prénom référence à de très bons gouts musicaux, sinon.. merci Nais ! moh
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MessageSujet: Re: LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée.   LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. EmptyLun 10 Sep - 22:15

EXACTEMENT ; mais dans l'ensemble, lola j'kiff ce prénom.
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MessageSujet: Re: LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée.   LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. EmptyLun 10 Sep - 22:33

bienvenue LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. 3681609067
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Merci Sephora ! LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. 2486224328
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Wow moh
Bienvenuuuue !
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MessageSujet: Re: LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée.   LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. EmptyMar 11 Sep - 11:29

Bienvenue à Paris Razz
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MessageSujet: Re: LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée.   LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. EmptyMar 11 Sep - 11:39

Merci vous deux !! moh Super Moutmout
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Bon, je crois que j'ai fini ma présentation !!!! LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. 3817709046
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elleesttropbellecettefille.
bienvenue !
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Camel Al-kâtib
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MessageSujet: Re: LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée.   LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. EmptyMer 12 Sep - 16:22

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Félicitation, tu es désormais officiellement un Ooh la la Parisien. LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. 239769179 Nous t'invitons maintenant à faire grandir ton personnage parmi nous à travers les liens et les topics. Évidemment, la chatbox et le flood sont deux moyens très efficaces pour t'intégrer aux autres et nous vous encourageons à y participer pour connaître l'ambiance de fou qui règne ici. LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. 3846838978 Si les moyens cités plus haut sont inefficaces, n'hésite surtout pas à demander à un administrateur ou à un habitué d'ollp de te parrainer. Lumen N'hésites pas à t'inscrire à l'intrigue en cour : le festival de musique ! Nous recherchons des groupes, des danseurs mais aussi des spectateurs et même des bénévoles pour veiller à l'encadrement de la fête (a) Nous te souhaitons de merveilleux moments parmi nous et nous espérons que tu pourras trouver ton bonheur ici. LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. 3909417325

Yannie, Grayson, Ella, Cora, Bloko, Albane & Anaëlle
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MessageSujet: Re: LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée.   LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. EmptyMer 12 Sep - 16:48

Ooooooh je suis validééééééééééééééééééééééééééééééééééeeeeeeeeeeee !! What a Face

Merci merci tout le monde, et quel super accueil !!! LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. 713858961
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MessageSujet: Re: LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée.   LOLA - nous vivons dans le monde du visible, du vérifiable, du matériel. Ma douleur n'est pas matérielle, elle est occultée. Empty

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