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 When the past is still here || Andrew S. Tood

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MessageSujet: When the past is still here || Andrew S. Tood    When the past is still here || Andrew S. Tood  EmptyLun 10 Oct - 18:13

When the past is still here♥






« Feat Andrew S. Tood »



« L'amour n'est pas l'amour s'il fane lorsqu'il se trouve que son objet s'éloigne, quand la vie devient dure, quand les choses changent. Le vrai amour reste inchangé. »

Etre une star, gagner bien sa vie ne veut pas automatiquement dire être heureux. La solitude nous habite, l’ennui parfois et même la routine. On a une idée bien faite du « showbiz » des strass, paillettes , gloire et beauté. Quand on est dans le bain, rien de tout ça ne vous plait. Les gens sont hypocrites, se font des sals coups. J’ai toujours aimé la comédie et le mannequinat mais le milieu ou je me retrouve n’est pas le mien. Je fais semblant d’aimer ce que je déteste, sourire aux gens qui n’ont aucun interet pour moi, comme tel est le cas pour notre cher internationale : Paris Hilton, si bête mais si bien considérée grâce à son argent (son héritage). Elle n’a pourtant aucun talent artistique, elle ne chante pas, elle ne danse pas, elle ne joue pas… Je commenceais à ne rien comprendre.

Venir à Paris il ya maintenant six mois me faisait le plus grand bien. La vie était comme même moins folle qu’à Los Angeles, ou la superficialité prime. C’est dommage mais c’est l’image que donnait Hollywood, être refaite par les plus grands chirurgiens esthétiques était une fierté et non un pretexte pour cacher leur complexe d’inferiorité. Je ne juge pas, chacun est libre mais je donne mon avis ! Ici à Paris, je me sens comme chez moi même si je n’étais pas française. Je me suis fait une vie ici et sincére. J’ai des relations d’amitié, d’amour ou d’interet avec un peu tout le monde. Chacun vit sa vie … à son rythme et à son aise.

Changer d’horizon m’avait permis de voir ce qui m’entourait. J’étais toujours dans ma bulle, dans la voie des célébrités mais ici… j’étais toujours connue de tous, on me demandait des autographes etc mais cela restait comme même dans le domaine du possible et du respectable contrairement aux fans aux Etats Unis qui t’obligent presque à leur signer leur bout de papier. Ils étaient jeunes et donc pas conscients mais cela pouvait être désagréable à chaque sortie. Ne pas profiter de sa sortie, ne faire que signer et prendre des photos avec eux mais bon je faisais ce que j’aimais. J’étais à l’affiche de plusieurs films, j’étais l’égérie des sacs Mademoiselle de Chanel, une de mes plus grandes fiertés, épater Karl Lagarfeld, lui plaire surtout n’était pas donner à tout le monde. D’ailleurs, c’est l’une de mes raisons pour m’être installer dans ce magnifique pays qui pour l’instant ne m’a apporter que du bonheur, pas de scandale mais que du positif !

C’est après une journée de tournage, un shooting pour le magazine « Elle ! » que je rentrais à la maison toute fatiguée. Je fis un somme d’environ une heure . C’est quand je me levais que mon iphone me rappellait que je devais aller en boite, j’étais l’invité d’honneur. Oh mais j’avais complétement oublier ! Comment vais-je pouvoir ça ? J’appellais donc en urgence, mon maquilleur et mon coiffeur suivi de ma styliste pour voir ce que je porterais. Je pris une douche en les attendant. J’en sortis toute fraiche, avec une serviette au niveau de la poitrine. C’est là que j’ai entendu la porte , ils étaient enfin là !
Ma durée de préparation a été comme même longue, fallait compter deux ou trois heures pour être parfaite. J’optais donc pour un maquillage « Smokey Eye » accompagné d’une robe bustier noir pour enfin finir avec des talons aiguilles, hauts de 15 cm . Pour la coiffure, je les lachais et mis quelques boucles aux bouts. Je pris direction de la boite au volant de ma mini cooper et finit par garer. Les paparazzis se sont acharnés mais je continuais jusqu’à l’entrée. C’est quand je rentrais que je vis du monde, jamais je ne pensais interesser autant de population parisienne, exigente comme même ! C’est quand j’avancais avec deux gardes du corps qu’avait engager la boite que je bousculais quelqu’un et quand il se retournait, je voyais quelqu’un que je connais même très bien. Je ne disais rien pendant un moment et lacher un seul mot, son prénom … Je ne savais plus du tout quoi faire…

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